Merci Rudyjak (un com ausi rapide, ça fait du bien, crois-moi!..) .

Je t'avoue que j'ai dû me replonger dans mes livres: cette conjuration m'avait peu marqué mais je sentais qu'elle pourrait être importante pour cette fic (j'espère y avoir réussi )...

Et au fait, j'asume le total cynisme de l'illustration musicale ...


Le prochain chapitre mercredi: préparez-vous au passage à la fois le plus fameux et le plus méconnu de l'épopée...

Cortinarius orellanus

On inverse les perspectives: on lit maintenant une lettre d'Oscar où l'on peut découvrir tout ce qu'elle pense de ce Rospotchine qui a réduit Moscou en cendres. On constate aussi qu'Oscar est encore hantée - qui ne le serait pas - par ses démons:

Sudena a écrit:

Citation :

Devant ce carnage, devant ces cris des malheureux bloqués par les flammes que nous entendions sans rien pouvoir y faire alors que nous quittions la ville, avec au fond de moi les souvenirs d'Eylau, de Saragosse, de la mort du maréchal Lannes,et d'une façon générale de ces guerres et de cs coalitions qui ne nous ont jamais laissé d'autre alternative que la guerre ou le déshonneur, je sens que je perds la foi...

Petite phrase perle en passant:
Sudena a écrit:

Citation :

Mon papier est rouge, ainsi que mes mains: la lueur mortelle s'élevant de la ville transforme mes mots en râles, mon encre en sang noirci...

Cette guerre, où des casaques dissimulés vous enlevaient la vie en jaillissant soudainement d'un buisson, me fait penser à la guerre du Viêt-Nam. La connaissance du terrain a servi d'allié aux Russes tout comme elle avait permis aux Vietnamiens de l'emporter contre les Américains.

La poisse leur court décidément après avec Alain qui tombe malade Ajoutons à cela le froid mordant et les attaques surprises des cosaques.

Merci amigas !..

Et au fait, si vous voulez des précisions sur le titre de l'autre chapitre, vous me le dites (je ne le préciserai pas dans la fic) ...

En même temps...Aurore: d'où vient "Nanard" ?..

Je m'en souviendrai !..

La conjuration du général Malet

Ce coup-d'état est, en soi, assez risible Le pire est que ça aurait pu fonctionner.

Sudena a écrit:

Citation :

"Le plus extraordinaire dans cette affaire, _s'exclama le médecin_ c'est que cette conjuration ait été si près de réussir alors qu'elle était si mal préparée et si manifestement basée sur de fausses informations!

Mais Bernard a raison. C'est sans soute l'aspect grossier de cette conjuration qui a fait que les gens y ont cru. C'était trop gros pour être faux !

Par contre, cette machination a permis de constater que Napoléon n'a pas des ennemis qu'en Russie. Aussitôt déclaré "mort", on s'empresse de balayer de la main cet empire instauré par Bonaparte:

Sudena a écrit:

Citation :

Je pense surtout que parce qu'au fond de chacun il y avait toujours gravée l'idée que l'Empire était une parenthèse qui prolongeait la Révolution, mais qui ne tenait que par le seul Napoléon:: lui mort la parenthèse se refermait et il fallait passer à autre chose... Mais quelle trahison effectivement!

Alors qu'en France cette conjuration est maîtrisée, les troupes impériales sont disséminées par le froid en Russie. Comme quoi ça n'allait pas mieux là-bas.

Merci Zalzal!


Un autre chapitre en ligne (je sais que je me suis fait attendre mais je tenais beaucoup à peaufiner celui-ci [le subjectif viendra plus tard ]) !..

La Bérézina

Brrr...Juste en te lisant, j'avais des frissons:

Sudena a écrit:

Citation :

Et trois fois les pontonniers d’Eblé ont replongé dans l’eau glacée et ont réparé les dégâts. [...] Le reste de l’armée se préparait à un autre bivouac dans la peur, le vent, les températures de -30 à -40…Au cours de la nuit, André et Oscar se sont isolés sous une toile qui faisait office de tente, pendant que la foule des trainards, des femmes et des enfants, les pieds gelés et les cheveux givrés arrivaient et établissaient, parfois dans des sanglots mais le plus souvent dans un silence de mort, des bivouacs sommaires.

Décidément, c'est le froid qui aura raison des troupes impériales ! Je peux comprendre André et Oscar d'avoir tenté de se réchauffer .

Pour ma part (tout comme toi à ce que je vois ) , je dirais que les véritables héros de cette épique journée furent Eblé et ses pontonniers. Non mais, plonger dans l'eau glacée, encore et encore, faut le faire !

La Bérézina...Une victoire, oui. Mais chèrement payée si l'on compte les nombreuses morts de pontonniers et de Eblé...

Merci à vous deux du fond du coeur ... Vous êtes pour ainsi dire les seules que ma fic intéresse et croyez-moi vos commentaires me font un bien que vous n'imaginez pas...

Les combats sont de plus en plus sanglants et les troupes de plus en plus démoralisées.
La bataille de la Bérézina a été si terrible que c'est difficile la voire comme une victoire...
Tous ces morts...les pontonniers, qui ont étés des héros, et les autres, ils ont eu une mort horrible...j'ai l'impression d'avoir froid moi aussi...

Merci Rudyjak: toi, Aurore et Zalzal me donnez l'énergie de continuer... :flower:

Et un autre chapitre en ligne !..

Désastre glacé

Sudena a écrit:

Citation :

Il faut faire un choix: repartir ou mourir! Nous l'avons fait...

Oui, les troupes impériales sont reparties, mais je crois néanmoins que chacun des survivants qui a pu quitter le sol russe a tout de même laissé une partie de lui-même derrière...une petite mort en somme que ce souvenir des embuscades casaques, du froid rigoureux qui les disséminait peu à peu, du courage des pontonniers... Chaque bataille, chaque guerre laisse sa cicatrise. Même si elle ne vous tue pas, elle ne vous épargne pas. Alors, a-t-on vraiment le choix ?

Ainsi, Napoléon vient d'apprendre la tentative du coup d'état mené par le général Malet et décide donc de retourner en France. André a raison lorsqu'il écrit:

Citation :

sa présence [celle de Napoléon] en France est devenue obligatoire pour assumer et relativiser notre désastre: en fait tous nos acquis ne tiennent que sur lui...

Et une énième traîtrise s'ajoute: celle de Murat. Ayant déserté, il laisse derrière lui des hommes qui, sans chef pour les commander, s'en donnent à cœur joie pour piller, violer,... Bref, c'est la débandade.

Ce médecin que Bernard semble reconnaître, ce médecin qui regarde le couple formé par Rosalie et Bernard avec fierté...qui est-il ? Sans doute quelqu'un qui a changé d'identité, mais qui ?

P.S. Je continuerai de te suivre, Sudena. J'aime lire des écrits différents (tu devrais voir le nombre de livres que je lis en même temps. Je papillonne sans cesse de l'un à l'autre selon mon humeur de l'instant). Tu proposes ici une fic probablement moins légère que certaines, mais néanmoins très intéressante de par le contenu historique que tu revisites à ta façon. Mais je peux tout à fait comprendre ta déception (?) lorsque tu t'aperçois que ton travail ne trouve peut-être pas écho, ou du moins n'est pas commenté par beaucoup de personnes. Alors tant mieux si nos commentaires te motivent, car je n'aimerais pas que tu cesses l'écriture de cette fic (ou de futurs écrits).

Le point de vue d'André sur la bataille de la Bérézina...
Il a envié son journal à Bernard pour qu'il sache ce qui s'est passé...
Il parle d'une armée épuisée, contrainte àabandonner les blessés, il parle du sacrifice des pontonniers, morts pour permettre à d'autres de se sauver, il parle des mères qui, pour la peur des russes, tuent leurs enfants et se suicident...tout ça c'est horrible...
Napoléon doit rentrer en France à cause de la tentative de coup d'Etat, et il confie l'armée à Murat, une armée qui a perdue sa discipline à cause de la peur, du froid, de la faim...et Murat déserte...C'est un désastre et l'armée est perdue...
C'est un rècit terrible, et Andrè demande à Bernard de ne poser pas des questions quand ils se reverront...c'est compréhensible, ils ont vécu des jours difficiles, ils ont vu des choses terribles et ils sont bouleversés...

J'ai eu une illumination...
Tout à coup j'ai compris où tu as trouvé le nom terrible du médecin...

Pas un mot aux autres Rudyjak! (par MP si tu veux...)


En attendant un autre chapitre écrit !..

Ah, ah ! Je viens de comprendre aussi J'avais eu une vague idée hier, mais je viens de parcourir à nouveau les chapitres où le nom du médecin apparaît (ce que je n'avais pas fait hier), et oui...c'est bien ça !

Mais je ne révélerai rien, promis

Ma chère Aurore, Simon Bolivar (ne retiens que ce nom: les autres forment son nom complet mais seul ceux-là sont importants) est rien moins que le Libertador! Un homme exceptionnel au destin exceptionnel, aussi important que Napoléon mais en Amérique du Sud. La Bolivie tient son nom de lui, de même que sa capitale administrative (Sucre) tire son nom de son meilleur ami et fils de coeur...

Mais sinon, à part votre découverte (vous voyez que je suis moins fou que j'en ai l'air :jklm98: ): que pensez-vous du chapitre (ça m'aide à envisager les suivants, en particulier dans leur structure narrative...) ?..

Tiens Aurore: voici un portrait de Simon Bolivar:




Et pour faire bonne mesure son meilleur ami Antonio jose de Sucre:

Sudena a écrit:

Pas un mot aux autres Rudyjak! (par MP si tu veux...)

..Je serai une tombe! :silent:

Le nouveau chapitre...
Oscar et André sont encore bouleversés à cause du désastre de la Bérézina...il faut du temps à André pour en parler avec Bernard...
Pourtant, quand les russes et les prussians déclarent la guerre, ils sont prêts à repartir une autre fois...
Et la lettre de Simon Bolivar leur donne une nouvelle force pour se battre...
Pourquoi as-tu choisi Simon Bolivar comme auteur de cette lettre? Est-ce qu'il a eu quelque chose à y voir avec Napoléon et cette guerre?

Citation :

c'est de vous que je tire aujourd'hui l'énergie de me battre encore et de renier celui qui fut toujours mon idole et que pourtant je sais que vous détestiez. Oh combien je sais désormais que vous aviez raison quand vous me parliez de lui comme d'un beau parleur sans énergie, faux et cupide!

Je n'ai compris...de qui parle-t-il?

C'est un beau chapitre, j'aime les échanges épistolaires...
Dans les lettres il y a le récit des évenements et le point de vue (et les sentiments) de qui écrit...je comprends mieux l'histoire, ainsi
Et ce chapitre est particulièrement réussi...

le futur Libertador parle de ce traitre, ancien Girondin acquitté faute de preuve par le Tribunal Révolutionnaire durant la Terreur, de Miranda!..

J'ai choisi Bolivar pour plusieurs raison:
-sa situation à ce moment-là: vaincu par la faute de l'inaction de Miranda qu'il a donné, dégoûté, aux espagnols, et contraint de s'exiler qui ressemble beaucoup à ce que vivait Napoléon à un autre niveau à ce moment-là: les deux sortaient en tout cas d'un terrible désastre
-il en est au commencement de sa carrière quand celle de Napoléon atteint, pense-t-on, son crépuscule: la relève révolutionnaire est en place même s'il faut pour cela regarder du côté de l'Amérique latine
-élevé dans des principes rousseauistes, ayant parfois séjourné et ayant toujours profondément admiré la France révolutionnaire: il est l'homme idéal à mon goût pour parler à nos amis de la pérénité de la Révolution et ainsi leur redonner espoir et combativité

plus personnel:
-j'admire cet homme autant que Saint-Just et l'aime autant que Napoléon (dans ce sens-là): arrivé à une période le concernant je n'ai pas pu m'empêcher d'en parler d'autant qu'inconsciemment j'avais fait du sacre de Napoléon le déclencheur pour Oscar et André, ainsi qu'il le fut pour Bolivar
-c'est aussi un hommage à ma pièce de théâtre favorite qui se situe à cette période dans l'Amérique du Sud pré-bolivarienne: Montserrat de Roblès: un genre de clin d'oeil...


Merci en tout cas pour ton com: il me donne l'envie de continuer sur le même accabit (même si le prochain chapitre traitera de batailles et sera conséquemment plus raconté par le médecin: j'ai une idée claire pour le suivant désormais ...) !..

La sixième coalition

Les événements marquants de la Bérézina semblent avoir laissé une empreinte indélébile dans la mémoire d'Oscar et d'André. J'avoue que si j'avais assisté, ou pire, pris part à de tels événements, j'aurai probablement été marquée à vie aussi.

Mais le désastre n'est pas qu'humain: Bernard pressent que les nations européennes, informées du cours des choses concernant l'armée impériale, préparent une riposte.

Un passage à propos de Joséphine m'a fait penser à Marie-Antoinette:

Sudena a écrit:

Citation :

Elle était certes préoccupée des malheurs qui s'abattaient sur Napoléon mais elle oubliait dans ses roses et ses robes: elle dépensait plus que de raison mais quand je lui parlais des malheurs qui risquaient de s'abattre sur nous, elle s'ennuyait manifestement...

Comme quoi ces deux femmes, pour tromper leur ennui, partageaient les mêmes diversions... Ironie du sort que Joséphine ait été mariée à celui qui a combattu la monarchie et instauré la république.

Je me pose la même question que Rudyjak, à savoir de qui est-il question dans ce passage ?

Sudena a écrit:

Citation :

[...]c'est de vous que je tire aujourd'hui l'énergie de me battre encore et de renier celui qui fut toujours mon idole et que pourtant je sais que vous détestiez. Oh combien je sais désormais que vous aviez raison quand vous me parliez de lui comme d'un beau parleur sans énergie, faux et cupide! Le donner à nos ennemis fut pour moi un déchirement mais j'entends désormais mener la cause en laquelle je crois seule

Mais tu ne laisses jamais rien au hasard. Alors, j'imagine que nous allons découvrir l'identité de cette personne plus tard...

Sudena a écrit:

Citation :

Vous avez choisi de le suivre malgré ses erreurs et ses fautes à mon goût impardonnables (le sacre, le rétablissement de l'esclavage, la noblesse d'Empire, l'alliance avec les monarchies d'Ancien régime qui n'attendent que l'occasion de l'abattre...): s'il y a un moment où vous ne pouvez pas être français et opposés à lui, s'il y a un moment où vous devez le suivre, c'est maintenant!

Et ainsi, le couple formé par Oscar et André repart à nouveau afin de suivre l'empereur.

Tout comme Rudyjak, j'aime bien lorsque tu alternes entre les récits de guerre et les échanges épistolaires. Ça reste instructif tout en allégeant le texte. Toujours intéressant de te lire cher Sudena

Merci Zalzal!


Unn autre chapitre écrit: avis aux amatrices !..

Lützen et Bautzen

Ouf ! Cette journée du 2 mai semble avoir été riche en rebondissements pour les troupes impériales: contourner l'ennemi, s'emparer de Leipzig, découverte de l'armée russo-prussienne au sud de Lützen, perte de Rahna et de Gröss Görschen, reprise de ces deux villages, attaques et finalement la victoire (avec, somme toute, pas "tellement" de pertes du côté de Napoléon) !

D'autre batailles surviennent durant ce mois de mai, se concluant toutes sur des victoires.

Sudena a écrit:

Citation :

Vous vous rendez compte de ce que ces batailles ont signifié?!. demanda le médecin, soudain débordant d'énergie; La Grande Armée, composée de jeunes conscrits, qui était donnée battue d'avance, a en moins d'un mois vaincu à deux reprises les armées rassemblées de la coalition! Nos amis ont retrouvé ainsi, je l'ai constaté à vue d'œil, la joie de vivre! Et l'Empereur est redevenu le maître de l'Europe!! Un armistice a été conclu!..

Et pourtant, comme le dit si bien Rosalie, la guerre reprendra...

Un chapitre qui fourmille de détails (pas évident de condenser le tout en un chapitre, j'imagine) !

Merci les filles !

Chapitre de transition je l'avoue: historiquement riche mais je me réserve un peu pour le suivant ...

Après le dèsastre de la dernière fois, l'Armèe Napoléonienne remporte des importantes victoires, malgré quelque problème, par exemple l'inexpérience de plusieurs généraux...
Oscar, André et Alain sont impatientes de combattre...et Oscar intime à Napoléon de ne pas leur refaire comme en Borodino...
Enfin ils ont pris part à l'attaque décisif...
Cette victoire releve leur moral, mais ils ne se font d'illusions, la guerre reprendra...

Voici la musique et surtoût voici le nouveau chapitre! Merci de ton com Rudyjak ...

Merci Aurore ! Je n'avais pas prémédité de citer de Germain et la Polignac mais j'ai toujours peur de perdre l'esprit LO, aussi je saute sur toutes les occasions à moi présentées ...

Je suis content de ta dernière phrase: c'était le but du chapitre (d'où aussi la musique: ceux qui ont vu le film l'auront sans peine deviné ...) et je vois que pour toi il a été atteint ...

Napoléon semble trouver plus collaboration entre ses ancients ennemis (par exemple les saxons...)que entre les français (par exemple Talleyrand et Bernadotte...)
Malgré les nombreuses victoires de l'armée à l'étranger, la guerre n'est encore terminée...
Et en France il y a un ambiance de pessimisme et défiance, et en cela Talleyrand a quelque chose à y voir...

Ultime sommet

Malgré les nouvelles optimistes provenant d'André et Oscar, Rosalie et Bernard se souviennent d'une ambiance des plus morose en France. Ils craignaient même pour leur vie et se doutaient que Talleyrand se cachait derrière tout cela (bah, un autre traître !).

C'est quand même ironique que Napoléon et ses troupes se battent pour ces Français (pas tous, mais je réfère ici aux nobles aigris, aux ministres sceptiques, aux traîtres désireux de voir Napoléon échouer) qui n'attendent que sa perte...

Finalement, Rosalie et Bernard retrouvent leurs amis à Dresde. Bienheureux temps où ils ont pu se réjouir !

Voilà un parfait exemple de ce que je voulais dire plus haut lorsque je disais qu'il était ironique pour Bonaparte de défendre des gens qui voulaient le poignarder dès qu'il avait le dos tourné alors que des "étrangers" l'appréciaient vraiment:

Sudena a écrit:

Citation :

« Je [le prince Poniatowski] sais que Napoléon est français et a toujours fait passer les intérêts de son pays avant le mien. Mais pour autant il nous a redonné l’espoir, nous a accordé un semblant d’indépendance et a toujours fait ce qu’il pouvait quand nous étions menacés: l’abandonner maintenant serait à la fois de l’inconscience (car sans lui nous ne sommes plus rien) et de la forfaiture à son plus bas degré!.. »

C'est assez risible, non ?

Sudena a écrit:

Citation :

Bernadotte nous a déclaré la guerre

Ah le sale traître !!! (un de plus malheureusement...Ça commence à faire un joli paquet ).

Sudena a écrit:

Citation :

Et durant des semaines et des mois, plus nos ennemis se renforçaient plus nous savourions d’être au sommet!.. Fêtes, banquets, parades: nous avons TOUT fait pour préserver l’illusion de ce qui était encore la vérité et que nous redoutions tant de voir se terminer : Napoléon était le maître absolu de l’Europe !

Ce passage m'a fait penser à Rome, à cet empire de conquérants. Tout n'était alors que festivités interminables, banquets où l'alcool coulait à flots...Et puis, suivit le déclin de l'empire...

Tout ce qui monte doit inévitablement redescendre...loi en physique mais qui s'applique également ici.