Et voilà la suite: Où une couronne fendille une tour

Chapitre plus long à écrire car la formulation d'un élément majeur posait problème. La formulation en question devait rester...ambiguë.

En espérant que le tout vous plaise

Bonne lecture

Mmmm...quelque chose me dit que les mots rayés ne sont pas ce qu'Oscar croit

Pauvre de vous Môssieur de Fersen ,je crois que vous auriez plus de chance de vous en sortir vivant en choppant le scorbut qu'en croisant de nouveau Oscar !

Lona a écrit:

Citation :

Mmmm...quelque chose me dit que les mots rayés ne sont pas ce qu'Oscar croit

Tu as probablement raison, Lona Je pense que Oscar, aveuglée par ses sentiments, a bien perçu ce qu'elle voulait dans ces mots.

Citation :

Pauvre de vous Môssieur de Fersen ,je crois que vous auriez plus de chance de vous en sortir vivant en choppant le scorbut qu'en croisant de nouveau Oscar !

Eh oui, la demoiselle en question est vraiment en colère. Le temps des confrontations sera en effet mémorable pour Fersen Le pauvre, lui qui a laissé une Oscar épanouie le matin même, va retrouver une furie.

Merci pour ces intuitions très plausibles, Lona

Heu oups? Je ne sais pas pourquoi, mais je sens qu'une autre guerre va commencer, et peut être encore plus meurtrière.

Voila qu'elle tombe sur les écrits, de son cher amant pour la Reine de France. Y'a de quoi etre vexée, j'comprends. Cependant, je pense, comme Lona et Aurore, que ces écrits, qui ne sont même pas complets, ne sont pas ce qu'ils paraissent.
Fersen, même s'il continue d'écrire à la Reine, n'est pas forcément amoureux. De plus, je ne pense pas qu'il puisse couper le contact comme cela, de son côté, la Reine doit vouloir aussi de ses nouvelles.

Citation :

En guise de paraphe, les usuelles fioritures ajoutées d’un « votre fid... (fidèle ? Le mot était rendu illisible à cause des traits qui le barraient) et dévoué serviteur, Axel de Fersen ».

Est-ce le "fidèle" et "dévoué serviteur" qui font bondir Oscar? Je pense que toutes les lettres adressées à Marie Antoinette devaient se finir de la même manière, on n'écrit pas " tchao, Marie, à la prochaine", à la Reine de France.

Oscar aveuglée par la jalousie ( hum...jalousie, quand tu nous tiens), et aussi par l'impression fort désagréable de s’être faite avoir, du fait qu'elle soit la seule femme à des océans à la ronde,

Citation :

La seule raison pour laquelle Fersen s’est tourné vers toi, eh bien, c’est parce que tu étais la seule femme sur laquelle il pouvait mettre le grappin ! Et toi, tu n’as rien vu... Tu as même cru que peut-être... »

... commence peu à peu a se rendre compte des sentiments qu'elle porte à Fersen. Hum, et apparemment ça fait mal

Citation :

Que je vous déteste, Fersen, cracha-t-elle. Sa voix se cassa et les larmes dévalèrent maintenant librement sur ses joues.

La limite entre la haine et l'amour est très mince...

Bien, j'ai hâte de lire la suite, de voir comment Oscar va se comporter, j'hésite entre plusieurs choix, soit elle va s'enfermer dans un mutisme complet, et rejeter Fersen qui ne va rien comprendre, soit elle va hurler ( mais j'en doute, chut, faut pas ébruiter cette histoire!) et tout briser, soit elle va être glaciale et balancer ses quatre vérités à Fersen, et donc s'humilier puisque Fersen l'aime de tout son cœur.
Soit elle va le tuer sans explications. C'est une hypothèse à ne pas écarter.

Ça avait si bien commencé!!!!

Aurore a écrit:

Citation :

Oscar tombe sur les carnets de Fersen.
Elle se fait sans doute des idées, mais qu'y peut-elle ?
Elle ne connait pas grand chose à tout ceci, mais, la colère est réellement là et quelque chose me dit que les prochains jours vont être électrique.

Eh oui, il est facile de tirer des conclusions sur un texte raturé, surtout lorsque l’œil qui le lit est aveuglé par la colère et la...jalousie. Je crois bien que Fersen va remarquer assez rapidement le changement survenu chez Oscar.

Merci pour ton commentaire, Aurore

Sara a écrit:

Citation :

Cependant, je pense, comme Lona et Aurore, que ces écrits, qui ne sont même pas complets, ne sont pas ce qu'ils paraissent.
Fersen, même s'il continue d'écrire à la Reine, n'est pas forcément amoureux. De plus, je ne pense pas qu'il puisse couper le contact comme cela, de son côté, la Reine doit vouloir aussi de ses nouvelles.

En effet: Fersen n'a fait que résumer ses dernières semaines, ce qui est tout à fait normal. D'autant plus que Marie-Antoinette devait sûrement attendre des nouvelles de son cher ami.

Citation :

Est-ce le "fidèle" et "dévoué serviteur" qui font bondir Oscar? Je pense que toutes les lettres adressées à Marie Antoinette devaient se finir de la même manière, on n'écrit pas " tchao, Marie, à la prochaine", à la Reine de France.

Une autre bonne observation Mais Oscar s'attarde plus à ce qui est écrit - et là encore, sa lecture est déformée par ses sentiments (la colère et la jalousie comme tu l'as si bien noté) - que à ce qui est barré.

Citation :

Bien, j'ai hâte de lire la suite, de voir comment Oscar va se comporter, j'hésite entre plusieurs choix, soit elle va s'enfermer dans un mutisme complet, et rejeter Fersen qui ne va rien comprendre, soit elle va hurler (mais j'en doute, chut, faut pas ébruiter cette histoire!) et tout briser, soit elle va être glaciale et balancer ses quatre vérités à Fersen, et donc s'humilier puisque Fersen l'aime de tout son cœur.
Soit elle va le tuer sans explications. C'est une hypothèse à ne pas écarter.

Il y a bien une de tes hypothèses qui s'avérera vraie, mais laquelle

Citation :

Ça avait si bien commencé!!!!

Eh oui ! Mais à un moment ou un autre, il aurait bien fallu que le sujet de la Reine aboutisse sur le tapis. Axel de Fersen possède une réputation qui peut bien torturer l'esprit d'Oscar. Ajoutons à cela les rumeurs d'un amour possible avec la Reine de France et cette lettre qu'elle vient de trouver et c'est bien assez pour que les doutes ressurgissent.

Merci beaucoup pour ton commentaire, Sara :flower:

Je crains que Fersen aura quelque petit problème avec le colonel Jarjayes , dans leur prochain rencontre...
Je pense qu'Oscar se trompe, à propos de la lettre, mais...aura Fersen la possibilité de s'expliquer avant de finir embroché comme un poulet?

Rudyjak a écrit:

Citation :

Je crains que Fersen aura quelque petit problème avec le colonel Jarjayes , dans leur prochain rencontre...
Je pense qu'Oscar se trompe, à propos de la lettre, mais...aura Fersen la possibilité de s'expliquer avant de finir embroché comme un poulet?

Ah la belle image de Fersen embroché Évidemment, j'imagine un petit poulet avec une tête de Fersen. Car ça ne serait pas drôle du tout s'il venait à être tué par cette chère Oscar :enviedemeutre:

Mais je te l'avais bien dit que le souvenir de la reine reviendrait hanter nos deux tourtereaux. Maintenait, si j'étais Fersen, je resterais caché pendant quelque temps...mais ça risque d'être difficile puisqu'il partage la même tente que la belle (qui ne peut pas déménager à cause de son damné secret). Les nuits risquent d'être moins chaudes

Merci pour ton commentaire, Rudyjak

La liaison amoureuse tourne au vinaigre, les sentiments d'Oscar sont plus fort qu'elle ne le laissait paraitre... Ce mot de Fersinou est'il juste un brouillon ou a t'il omis volontairement de l'envoyer.



En tout cas, l'indomptée est belle et bien accrocher à son suédois. Oscar l'avoue en disant que Fersen est son unique amant.

Chapitre XX : Où une couronne fendille une tour

La couronne est sans doute celle de Marie-Antoinette ; il fallait bien qu’à un moment ou à un autre, celle qui a été le grand amour de Fersen s’immisce entre Oscar et lui. Mais la tour est-elle censée représenter Oscar ? Je trouve celle-ci bien fragile pour cela.
Mais, comme toujours, j’anticipe avant de lire. Laisser courir mon imagination et bâtir bien des hypothèses et des possibles est l’un de mes plaisirs dans la lecture.

Le scorbut en mer était fort courant mais sur terre ? Les soldats français n’ont-ils donc pas varié leur nourriture en débarquant ? A moins que leur méfiance à l’égard des produits étrangers ne leur ait fait refuser d’avaler les légumes et les fruits locaux inconnus d’eux.
Je suis sûr que les décoctions des natifs seront efficaces.
Et j’espère que les Anglais n’attaqueront pas d’ici là. Il y a tout de même un avantage à être aussi ignorante des événements qui se sont déroulés pendant la guerre d’Indépendance : la surprise sera complète pour moi.

Citation :

Une jeune femme, qui pourtant avait délaissé peu à peu la façade de son grade, s’était retranchée derrière sa muraille de froideur.

Allons bon ! C’était trop beau aussi. Axel de Fersen se serait-il trop approché ? Commence-t-elle à comprendre que son cœur est touché, ce qui ne peut que l’angoisser ?

Citation :

Les frêles fondations de cette tour d’ivoire.

Que je suis bête ! J’aurais dû penser à la « tour d’ivoire », qui dépeint parfaitement Oscar, si incertaine et ignorante dans certains domaines et si pleine de doutes derrière ses certitudes apparentes.

Citation :

Maintenant, il pouvait détailler à loisir ce visage endormi.

Je suis bien d’accord avec toi, Zalzal, et avec Fersen : contempler son amour endormi est un moment privilégié et très doux.

Citation :

Petite correction, monsieur : « croqueuse d’un homme ».

Vous avez de drôles de doutes, Hans. Évidemment... (…) qu’il s’agit de vous.

Très jolie correction. Oscar se rend-elle compte combien, à travers mille détails et paroles, elle découvre et livre ses sentiments, même si elle ne les reconnaît pas encore elle-même ?

Citation :

Que voulez-vous dire ? demanda Oscar en fronçant les sourcils. Avait-elle commis inconsciemment quelque impair qui aurait dévoilé sa véritable nature ?

Ainsi, la première pensée d’Oscar est pour sa « couverture ». Bien sûr, si son véritable sexe était dévoilé, sa position dans le corps expéditionnaire deviendrait très délicate. Isolée en Amérique, loin de son père et des quelques autorités dans la confidence, je ne sais pas trop ce qu’elle pourrait faire et où elle pourrait se réfugier.
Mais cette petite phrase souligne, je pense, combien la reconnaissance de son amour pour Fersen et, surtout, son éventuelle inscription dans le futur et une vie quotidienne, poseront d’immenses problèmes à Oscar.
Comme toujours dans ce cas de figure, je ne vois Oscar ni se contenter d’un amour clandestin, à la sauvette et à la merci des indiscrétions, ni accepter de « rentrer dans le rang » et de se contenter d’une vie de femme traditionnelle. Et il est évident pour moi que, reconnue femme, Oscar ne saurait plus avoir sa place dans l’armée. Ce me semble un défi pour les auteurs de fanfictions de gérer ce dilemme de façon plausible et je me demande comment tu dénoueras cette situation, Zalzal.

Citation :

Elle l’aurait sans nul doute remis à sa place si elle n’y avait pas lu le mot « Reine ».

Aïe ! Oscar va, bien sûr, lire la fameuse lettre et en tirera des conclusions, vraies ou fausses, qui vont modifier radicalement son attitude envers Fersen. Elle va redevenir « glaciale », comme tu le précisais en début de chapitre.

Citation :

de nombreuses ratures

Un brouillon, en outre, et, visiblement, une lettre difficile à rédiger pour Fersen. Sans doute parce que ces sentiments pour la reine ont changé. Et c’est là-dessus qu’Oscar va se buter ? Pauvre Fersen : il risque d’en voir des vertes et des pas mûres et de mettre quelques temps à reconquérir sa belle.

Citation :

Étrangement, le cœur d’Oscar se pinça à cette idée. Elle avait naïvement pensé que la chère souveraine s’était dissipée de l’esprit – et du cœur – du Suédois.

Tiens, tiens ! Si cela ne signe pas un amour naissant.
Mais cela ne va faire qu’accentuer les doutes d’Oscar devant cette lettre. A moins qu’inconsciemment, la lettre ne serve de paravent et ne la protège de ces sentiments dérangeants qui l’envahissent peu à peu ?

Citation :

C’est que tu oublies que tu n’es qu’un simple colonel, ma chère, et tellement féminine en plus, que tous croient réellement que tu es un homme !

Et voici la folle du logis qui se déchaîne avant même qu’Oscar ne lise la fameuse lettre. Et voici les fragilités qui surgissent. Il est bien naturel qu’Oscar doute de sa « féminité ». En plus, elle a été témoin des succès mondains de la reine, du coup de foudre de Marie-Antoinette et de Fersen ; elle a été la confidente de Fersen. Il est plus que logique que la pensée de la reine la déstabilise et la rende vulnérable. Oscar déteste se sentir vulnérable ; elle va réagir avec d’autant plus de violence.

Citation :

La seule raison pour laquelle Fersen s’est tourné vers toi, eh bien, c’est parce que tu étais la seule femme sur laquelle il pouvait mettre le grappin ! Et toi, tu n’as rien vu... Tu as même cru que peut-être... »

Ça y est ! Oscar est déjà en train de se faire tout un cinéma. Elle est mûre pour lire de travers le mot le plus anodin.

Citation :

Tu es une sotte, Oscar. Tu t’es conduite justement comme ces péronnelles dont tu te gausses habituellement. Ah qu’il doit bien rire maintenant ce bélître de Fersen !

Qu’Oscar est loin des mots doux qu’elle recherchait activement pour désigner Hans, il n’y a pas si longtemps. Belle réaction classique d’amoureuse qui se croit bafouée. Et comme Oscar ne fait rien à moitié, Fersen va avoir droit à une mauvaise surprise et à une douche glacée. S’il ne prend pas un poing dans la figure !

Citation :

Pourquoi, malgré cette haine, elle avait l’impression que l’on venait de comprimer son cœur dans un étau ?

Oscar est bel et bien amoureuse de Hans, qu’elle le reconnaisse ou non. Elle va de nouveau se réfugier derrière son masque. Je parierais qu’elle n’ouvrira pas la bouche et ne posera pas une question. Elle aurait bien trop peur des réponses. Ce serait se dévoiler, dévoiler ses interrogations et ses angoisses. Dévoiler aussi qu’elle a lu une lettre destinée à une autre, ce que ne fait pas un gentilhomme.

Mais je persiste à me demander si tout cela ne lui sert pas de prétexte pour éloigner Fersen d’elle et ne pas avoir à approfondir la vérité de son cœur.

J’ai l’impression que nous allons de nouveau assister à quelques duels verbaux acides dont tu as le secret, Zalzal. Et Oscar risque d’être d’autant plus mauvaise et blessante qu’elle est blessée, profondément.

Cath a écrit:

Citation :

La liaison amoureuse tourne au vinaigre, les sentiments d'Oscar sont plus fort qu'elle ne le laissait paraitre...

Il fallait bien que le souvenir de la Reine ressurgisse à un moment donné Si Oscar l'avait oublié, cette lettre lui rappelle bien durement que son amant a une vie bien à lui.

Citation :

Ce mot de Fersinou est'il juste un brouillon ou a t'il omis volontairement de l'envoyer.

La lettre étant visiblement raturée, il s'agit donc d'un brouillon. Mais une copie a-t-elle été envoyée ? Bonne question

Citation :

En tout cas, l'indomptée est belle et bien accrocher à son suédois. Oscar l'avoue en disant que Fersen est son unique amant.

Elle ressent des sentiments pour lui qu'elle ne parvient pas à définir. Mais amoureuse ou non, Hans est tout de même le seul homme avec qui elle partage son intimité. Je ne considérerai pas cela comme une preuve d'amour. Par contre, sa réaction à la lecture de la lettre montre que la relation n'est pas seulement physique pour Oscar. Elle s'est "attachée" à cet homme sans s'en rendre compte. La blessure n'en est maintenant que plus amère. On verra bien où ça va les mener.

Merci beaucoup pour ton commentaire, Cath

Maïlys a écrit:

Citation :

Le scorbut en mer était fort courant mais sur terre ? Les soldats français n’ont-ils donc pas varié leur nourriture en débarquant ? A moins que leur méfiance à l’égard des produits étrangers ne leur ait fait refuser d’avaler les légumes et les fruits locaux inconnus d’eux. Je suis sûr que les décoctions des natifs seront efficaces.

Je n'ai pas vraiment trouvé plus de détails sur cet épisode, mais j'imagine que les soixante-dix jours passés en mer n'ont pas aidé. Les carences devaient probablement déjà être là et ne se sont fait sentir qu'en arrivant sur la terre ferme.

Citation :

Très jolie correction. Oscar se rend-elle compte combien, à travers mille détails et paroles, elle découvre et livre ses sentiments, même si elle ne les reconnaît pas encore elle-même ?

Je pense que cette naïveté fait qu'elle demeure spontanée, elle qui pourtant a beaucoup de difficulté à se livrer. Beaucoup d'indices laissent poindre l'amour qu'elle ressent pour le jeune Suédois, mais la reconnaissance des sentiments n'est pas encore là. Évidemment, avec ce qu'Oscar va découvrir sous peu, cela risque de ralentir le processus quelque peu

Citation :

Mais cette petite phrase souligne, je pense, combien la reconnaissance de son amour pour Fersen et, surtout, son éventuelle inscription dans le futur et une vie quotidienne, poseront d’immenses problèmes à Oscar. Comme toujours dans ce cas de figure, je ne vois Oscar ni se contenter d’un amour clandestin, à la sauvette et à la merci des indiscrétions, ni accepter de « rentrer dans le rang » et de se contenter d’une vie de femme traditionnelle. Et il est évident pour moi que, reconnue femme, Oscar ne saurait plus avoir sa place dans l’armée. Ce me semble un défi pour les auteurs de fanfictions de gérer ce dilemme de façon plausible et je me demande comment tu dénoueras cette situation, Zalzal.

Eh oui, tu soulèves toute la problématique du personnage: la carrière versus la vie de femme. Combiner les deux, c'est se contenter d'un amour clandestin ou se dévoiler. Je doute aussi qu'Oscar pourrait continuer à occuper le poste de colonel de la garde en tant que femme. Mais ferait-elle un choix ? Si les deux survivent à cette guerre, que feront-ils de retour en France ? Beaucoup de questions J'ai bien ma petite idée, mais si je me prononce, je me dévoile

Citation :

Un brouillon, en outre, et, visiblement, une lettre difficile à rédiger pour Fersen. Sans doute parce que ces sentiments pour la reine ont changé. Et c’est là-dessus qu’Oscar va se buter ? Pauvre Fersen : il risque d’en voir des vertes et des pas mûres et de mettre quelques temps à reconquérir sa belle.

Oh que tu mets le doigt sur quelque chose d'important !!! Tu es la première à le remarquer. Pourquoi la lettre est-elle raturée, pourquoi fut-elle vraisemblablement difficile à écrire pour Fersen ? Une copie de ce brouillon fut-elle envoyée ? Oscar ne voit malheureusement plus assez clair pour se poser ces questions. Sans même avoir parcouru entièrement la missive, elle se crée déjà tout un scénario. Sa perception ne peut qu'être faussée par la suite...

Citation :

Oscar est bel et bien amoureuse de Hans, qu’elle le reconnaisse ou non. Elle va de nouveau se réfugier derrière son masque. Je parierais qu’elle n’ouvrira pas la bouche et ne posera pas une question. Elle aurait bien trop peur des réponses. Ce serait se dévoiler, dévoiler ses interrogations et ses angoisses. Dévoiler aussi qu’elle a lu une lettre destinée à une autre, ce que ne fait pas un gentilhomme.

Mais je persiste à me demander si tout cela ne lui sert pas de prétexte pour éloigner Fersen d’elle et ne pas avoir à approfondir la vérité de son cœur.

Quelle amère façon pour son amour de se rappeler à elle en effet ! Mais je ne pense pas qu'ils auraient pu continuer ainsi: à un moment ou un autre, le passé de séducteur de Fersen se serait immiscé entre eux. Il a toujours fui les explications quant à ce sujet (en passant, Oscar n'a jamais été la confidente de Fersen dans cette fic. Ils étaient loin d'être amis avant d'embarquer sur le Duc de Bourgogne. Oscar ne se base donc que sur les rumeurs qui courent à Versailles quant à un possible amour entre Marie-Antoinette et le gentilhomme suédois). Sans doute sera-t-il temps pour lui de fournir quelques explications...si Oscar est apte à les entendre, ce qui pour l'instant est peu probable

D'un autre côté, comme tu le mentionnes, peut-être qu’inconsciemment, Oscar tente d'éloigner le jeune homme. Quelle situation idéale pour l'éconduire ! Il est effectivement plus facile d'avorter une relation jugée trop sérieuse en rejetant la faute sur les "infidélités" de Fersen plutôt que d'admettre en être amoureuse. Mais tout cela est bien complexe et si insidieux qu'elle ne s'en rend vraiment pas compte.

Citation :

J’ai l’impression que nous allons de nouveau assister à quelques duels verbaux acides dont tu as le secret, Zalzal. Et Oscar risque d’être d’autant plus mauvaise et blessante qu’elle est blessée, profondément.

Ah mes duels verbaux Vous ai-je déjà dit que je m'en ennuyais ? Peut-être, dans le fond, que je me suis arrangée pour qu'ils se détestent à nouveau afin de me gâter un peu ? Que voulez-vous ? J'ai tellement eu de plaisir à écrire ces joutes oratoires ! Non, je blague (enfin à moitié)... Il fallait bien que la relation évolue et suive son cours. Mais je suis quand même bien contente de me farcir les répliques assassines !

Merci beaucoup pour ton commentaire toujours aussi agréable à lire, Maïlys :flower:

Je dois avouer que ce chap ma serré le coeur, je comprends que trop bien ce que ressent notre belle colonel. Meme si elle ne voulait pas se l avouer ou qu elle ne pouvait réellement mettre de mots sur ce qu elle ressentait il est clair pourtant qu elle nourrit de vrais sentiments pr Hans et la découverte de cette lettre lui fait découvrir les premiers maux de l amour et quelle meilleur défense que de revétir la carapace du colonel.
Fersen va t il comprendre la réaction soudaine de sa partenaire, va t il savoir expliquer le comment du pourquoi. Car si au départ je me suis dit que Fersen était un vrai goujat, au fur et à mesure de la lecture ma réaction première à changé. on peut aisément pensé que M A ait demandé à Fersen de lui écrire régulièrement et celui ci avec les nouveaux évènements se voit faire cette demande avec une réelle difficulté.Le voilà dans une position bien délicate.
Bien qu Oscar savait pr M A il est clair que ds sa naïveté de femme elle se soit laissée emporté ds ses sentiments.

arf! que j aime se retournement de situation auquel je ne m attendais pas. A présent mon cerveau imagine nombre de suite différentes et je suis donc impatiente dans connaitre la suite.

Ma foi, je suis bien contente que ce revirement de situation t'ait surprise, Amber Je ne voulais justement pas que Fersen passe pour un goujat. Il ne l'est pas. Cette lettre a bien sa raison d'être de même que les ratures cachent autre chose que ce qu'Oscar en a perçu. Oui, il doit donner des nouvelles à la reine, mais comme tu l'as remarqué, l'écriture de la lettre en question est loin d'être facile. Pourquoi donc Les sentiments qu'il ressent pour Oscar doivent bien le tarauder un peu lorsqu'il écrit à Marie-Antoinette, non ? Car il aime Oscar. On ne peut même pas dire qu'il a été hypocrite avec elle parce qu'il lui a tu son amour.

Mais comment empêcher Oscar de réagir ainsi ? C'est sûr que si elle se compare à la Reine, elle se croit immédiatement perdante. Alors de réaliser que Fersen entretient une correspondance avec cette souveraine dont les rumeurs affirment qu'il est amoureux, ça ne peut qu'ébranler la femme (amoureuse) en elle.

Mais je ne pense pas que la relation entre Hans et Oscar aurait pu continuer ainsi. À un moment ou un autre, le sujet de la reine aurait ressurgi. Fersen a quelques explications à fournir à Oscar, chose qu'il a évitée jusqu'à présent parce que c'est loin d'être facile de jongler avec tous ces sentiments. Il va cependant réaliser assez vite que quelque chose cloche. Mais ça, c'est pour plus tard

Merci beaucoup de ton commentaire, Amber ! Bien contente que ça t'ait plu

J'ai commencé à lire les 6 premiers chapitres de cette fic. Non seulement elle est superbement écrite, avec une recherche de vocabulaire assez étonnante (les mots anciens, ou en suédois), mais en plus elle est hilarante. Le comique est fin. J'adore !!! C'est un vrai régal !!!

Ma quééééé ! *o*

Zal', ta fic est absolument... géniale !
Crois-moi que j'ai eu vite fait de la lire, c'est vraiment prenant.
Comme beaucoup ici, j'attends la suite avec impatience, voir Fersen au tourne-broche est une idée assez jouissive il est vrai , mais laissons ton imagination nous guider !

Au plaisir de lire le prochain chapitre, histoire de voir si cette pauvre Oscar, dévastée par ses sentiments, ne gâchera pas là la plus belle histoire de sa vie...

Un grand merci à vous deux, Arlène et Liiliistorm ! Ça me fait toujours extrêmement plaisir de savoir que ce que j'écris plaît

Arlène: Il est vrai que cette fic m'a demandé de la recherche mais plus pour le côté historique (que tu verras plus tard puisque les six premiers chapitres tournent plus autour de Fersen et d'Oscar). Je dois t'avouer que j'ai eu beaucoup de plaisir à écrire ces réparties entre nos deux héros. Alors, je suis bien contente si ce plaisir a été contagieux

Liiliistorm: Merci pour ce compliment à propos de cette fic. Je ne savais trop si elle était pour être appréciée du fait que j'y ai volontairement effacé ce cher André pour me centrer sur un personnage qui, habituellement, n'est pas très populaire. Alors que tu trouves cette histoire "géniale et prenante", ça me touche beaucoup

Liiliistorm a écrit:

Citation :

Au plaisir de lire le prochain chapitre, histoire de voir si cette pauvre Oscar, dévastée par ses sentiments, ne gâchera pas là la plus belle histoire de sa vie...

Bah ! Certaines argueraient ici qu'il y a quand même un palefrenier aux yeux verts qui l'attend en France Mais bon, il s'agit ici d'une autre histoire, n'est-ce pas ? J'espère toujours que la suite comblera tes attentes

Merci encore à vous deux pour ces gentils commentaires !

Citation :

Bah ! Certaines argueraient ici qu'il y a quand même un palefrenier aux yeux verts qui l'attend en France Mais bon, il s'agit ici d'une autre histoire, n'est-ce pas ?

Ayant bien compris la configuration de cette histoire, j'ai bien fait attention à ne pas prendre compte d'André (comment peut-on oublier Dédé, de toute manière ?), ne t'en fait pas !

Bonne continuation et à très vite !

Pfiou!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Que de nouveautés!!!

Tu en as fait des recherches et chapeau pour la transmissions d'infos c'est génial!!!

J'avais cru comprendre aussi lors de mes recherches (un grain de sable par rapport aux tiennes ) Qu'on ne pouvait affirmer que MA et Fersen avait été amants. Cependant je ne pense pas que Fersen aurait dépensé autant de temps et d'argent sans raison (il ne s'est pas marié, il a payé de sa poche la fuite à Varennne,... ) bref autant de chose qui me font penser que soit il aimait MA... Soit y avait Anguille sous roche (mais qui ou quoi est l'anguille??? :vvxwww: ).

Totor te remets le bonjour, il est dans un autre camps (eh oui, je bosse encore ailleurs ) et me rappelle que ça fait longtemps que je n'ai plus déliré sur son compte et que tu risque de t'habituer. Aussi voici un p'tit délire que j'offre à ta critique (et puis aussi pour consoler Oscar!!! )

"Après la lecture de la lettre, et surtout de ses nombreuses ratures. Oscar remit de l'ordre dans un geste rageur. Ensuite elle sortit de la tente pour prendre un peu l'air et surtout, recouvrer ses esprit.
Elle traversa le camp au pas militaire pour enfin déboucher sur un sentier champêtre conduisant droit à un bois, dont l'obscurité lui garantissait l'intimité dont elle avait grandement besoin.

Une fois à l'abri des cimes, elle déversa son fiel avec autant d'insultes que le paradis comptait de saints.

Une fois un peu calmée, elle écouta attentivement les bruits de la forêt. Hormis quelques oiseaux et le bruit du vent dans les branches, elle crut entendre un sifflotement. Curieuse d'en connaître l'origine, elle s'avança tel une souris entre les fourrés.

Elle finit par débouché sur une coulée ( un chemin emprunté par les animaux) et pût observé un jeune homme musculeux en train d'abattre un arbre au proportion respectable (l'arbre pas l'homme! ). Afin d'être à l'aise pour effectuer cette besogne, l'homme était torse nu portant simplement une culotte foncée ne gâchant en rien l'apparition d'Apollon.

La veste posée plus loin laissait entendre que notre homme n'était en rien un bûcheron, il s'agissait de toute évidence d'un militaire venu chercher un peu de bois, pour agrémenter les rempart.

On pouvait lui observer des jambes agréablement proportionnées ainsi qu'un buste qui aurait fait pâlir d'envie Michelange accompagné par un visage volontaire. Marqué par la vie.

Les yeux bruns de l'homme pétillait de joies et d'insolence, celle-là même que possède les esprits éveillés et décidés à mener une vie remplie de joie et non de peines.

Il avait même choisis de différencier son uniforme en portant au cou un foulard de couleur rouge, couleur de la passion, sans doute pour se distinguer du lot.

Oscar en était là dans ses observation quand... Un castor mauve à poids verts, pas content pour un sous qu'on lui vole sa nourriture, planta ses quenottes d'un blanc immaculés dans la cuisse saillante et musculeuse de notre ami le militaire fraîchement découvert par notre Oscar...

...Mais qui est ce beau militaire????? (Attention question à mille points!!! Totor tient les paris!!!! :khyuyaaq: )

Plutôt soft le délire

Pas grave, je ferai mieux la prochaine fois

Sinon, a quand la suite???!!!!!
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Oh que j'adore toujours autant lire tes commentaires, chère Arizonna La suite que tu proposes ici m'a tellement fait rire Mais ce Totor est arrivé au mauvais moment !!! J'aurai bien aimé découvrir davantage cet Alain moi

Arizonna a écrit:

Citation :

Sinon, a quand la suite???!!!!!
:bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

J'ai recommencé à travailler, donc l'écriture de cette histoire s'en trouve inévitablement ralentie Mais la suite est entamée; je n'ai seulement pas eu une minute à moi cette semaine pour m'y replonger. Peut-être qu’aujourd’hui je vais avoir le temps, mais j'ai encore des trucs à faire pour le boulot

Néanmoins, merci beaucoup pour tes délires ! Tu sèmes des p'tits sourires à chacun de tes commentaires

arizonna a écrit:

Pfiou!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Que de nouveautés!!!

Tu en as fait des recherches et chapeau pour la transmissions d'infos c'est génial!!!

J'avais cru comprendre aussi lors de mes recherches (un grain de sable par rapport aux tiennes ) Qu'on ne pouvait affirmer que MA et Fersen avait été amants. Cependant je ne pense pas que Fersen aurait dépensé autant de temps et d'argent sans raison (il ne s'est pas marié, il a payé de sa poche la fuite à Varennne,... ) bref autant de chose qui me font penser que soit il aimait MA... Soit y avait Anguille sous roche (mais qui ou quoi est l'anguille??? :vvxwww: ).

Totor te remets le bonjour, il est dans un autre camps (eh oui, je bosse encore ailleurs ) et me rappelle que ça fait longtemps que je n'ai plus déliré sur son compte et que tu risque de t'habituer. Aussi voici un p'tit délire que j'offre à ta critique (et puis aussi pour consoler Oscar!!! )

"Après la lecture de la lettre, et surtout de ses nombreuses ratures. Oscar remit de l'ordre dans un geste rageur. Ensuite elle sortit de la tente pour prendre un peu l'air et surtout, recouvrer ses esprit.
Elle traversa le camp au pas militaire pour enfin déboucher sur un sentier champêtre conduisant droit à un bois, dont l'obscurité lui garantissait l'intimité dont elle avait grandement besoin.

Une fois à l'abri des cimes, elle déversa son fiel avec autant d'insultes que le paradis comptait de saints.

Une fois un peu calmée, elle écouta attentivement les bruits de la forêt. Hormis quelques oiseaux et le bruit du vent dans les branches, elle crut entendre un sifflotement. Curieuse d'en connaître l'origine, elle s'avança tel une souris entre les fourrés.

Elle finit par débouché sur une coulée ( un chemin emprunté par les animaux) et pût observé un jeune homme musculeux en train d'abattre un arbre au proportion respectable (l'arbre pas l'homme! ). Afin d'être à l'aise pour effectuer cette besogne, l'homme était torse nu portant simplement une culotte foncée ne gâchant en rien l'apparition d'Apollon.

La veste posée plus loin laissait entendre que notre homme n'était en rien un bûcheron, il s'agissait de toute évidence d'un militaire venu chercher un peu de bois, pour agrémenter les rempart.

On pouvait lui observer des jambes agréablement proportionnées ainsi qu'un buste qui aurait fait pâlir d'envie Michelange accompagné par un visage volontaire. Marqué par la vie.

Les yeux bruns de l'homme pétillait de joies et d'insolence, celle-là même que possède les esprits éveillés et décidés à mener une vie remplie de joie et non de peines.

Il avait même choisis de différencier son uniforme en portant au cou un foulard de couleur rouge, couleur de la passion, sans doute pour se distinguer du lot.

Oscar en était là dans ses observation quand... Un castor mauve à poids verts, pas content pour un sous qu'on lui vole sa nourriture, planta ses quenottes d'un blanc immaculés dans la cuisse saillante et musculeuse de notre ami le militaire fraîchement découvert par notre Oscar...

...Mais qui est ce beau militaire????? (Attention question à mille points!!! Totor tient les paris!!!! :khyuyaaq: )

Plutôt soft le délire

Pas grave, je ferai mieux la prochaine fois

Sinon, a quand la suite???!!!!!
:bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

Mwaaaahhh Arizonnaaaa..elle est où cette forêt ????

Si Alain à besoin d'une volontaire pour porter du bois ,je me dévoues CORPS et âme !

Hey Zalzal ,pas de soucis pour la suite on va attendre ,j'ai déjà planté la tente ....

Zalzal a écrit:

Oh que j'adore toujours autant lire tes commentaires, chère Arizonna La suite que tu proposes ici m'a tellement fait rire Mais ce Totor est arrivé au mauvais moment !!! J'aurai bien aimé découvrir davantage cet Alain moi

Arizonna a écrit:

Citation :

Sinon, a quand la suite???!!!!!
:bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

J'ai recommencé à travailler, donc l'écriture de cette histoire s'en trouve inévitablement ralentie Mais la suite est entamée; je n'ai seulement pas eu une minute à moi cette semaine pour m'y replonger. Peut-être qu’aujourd’hui je vais avoir le temps, mais j'ai encore des trucs à faire pour le boulot

Néanmoins, merci beaucoup pour tes délires ! Tu sèmes des p'tits sourires à chacun de tes commentaires

Que de louanges!!! Que de louanges!!! Mais mes commentaires son censés TE louanger (ça se dit "Louanger" :vvxwww: au pire j'aurai inventer un nouveau mot, on s'en remettra! ) Pour ce qui est du boulot, crois-moi je compatis. Après trois semaines, w-e et nuit comprise je suis contente de me reposer. Alors courage!!! On t'attendra!!

Tant mieux si tu voulais mon petit délire t'as laissé sur ta faim!!! C'est fait exprès (et puis je ne savais plus quoi inventer )

Même si je t'ai dit que j'attendrai, pas sûr que Totor soit de mon avis!!! il saute partout en réclamant la suite (lui aussi il est rentré )...

...

...

...

...Oh et puis zut!!! La suite! La suite! La suite!!!! :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

Lona a écrit:

arizonna a écrit:

Pfiou!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Que de nouveautés!!!

Tu en as fait des recherches et chapeau pour la transmissions d'infos c'est génial!!!

J'avais cru comprendre aussi lors de mes recherches (un grain de sable par rapport aux tiennes ) Qu'on ne pouvait affirmer que MA et Fersen avait été amants. Cependant je ne pense pas que Fersen aurait dépensé autant de temps et d'argent sans raison (il ne s'est pas marié, il a payé de sa poche la fuite à Varennne,... ) bref autant de chose qui me font penser que soit il aimait MA... Soit y avait Anguille sous roche (mais qui ou quoi est l'anguille??? :vvxwww: ).

Totor te remets le bonjour, il est dans un autre camps (eh oui, je bosse encore ailleurs ) et me rappelle que ça fait longtemps que je n'ai plus déliré sur son compte et que tu risque de t'habituer. Aussi voici un p'tit délire que j'offre à ta critique (et puis aussi pour consoler Oscar!!! )

"Après la lecture de la lettre, et surtout de ses nombreuses ratures. Oscar remit de l'ordre dans un geste rageur. Ensuite elle sortit de la tente pour prendre un peu l'air et surtout, recouvrer ses esprit.
Elle traversa le camp au pas militaire pour enfin déboucher sur un sentier champêtre conduisant droit à un bois, dont l'obscurité lui garantissait l'intimité dont elle avait grandement besoin.

Une fois à l'abri des cimes, elle déversa son fiel avec autant d'insultes que le paradis comptait de saints.

Une fois un peu calmée, elle écouta attentivement les bruits de la forêt. Hormis quelques oiseaux et le bruit du vent dans les branches, elle crut entendre un sifflotement. Curieuse d'en connaître l'origine, elle s'avança tel une souris entre les fourrés.

Elle finit par débouché sur une coulée ( un chemin emprunté par les animaux) et pût observé un jeune homme musculeux en train d'abattre un arbre au proportion respectable (l'arbre pas l'homme! ). Afin d'être à l'aise pour effectuer cette besogne, l'homme était torse nu portant simplement une culotte foncée ne gâchant en rien l'apparition d'Apollon.

La veste posée plus loin laissait entendre que notre homme n'était en rien un bûcheron, il s'agissait de toute évidence d'un militaire venu chercher un peu de bois, pour agrémenter les rempart.

On pouvait lui observer des jambes agréablement proportionnées ainsi qu'un buste qui aurait fait pâlir d'envie Michelange accompagné par un visage volontaire. Marqué par la vie.

Les yeux bruns de l'homme pétillait de joies et d'insolence, celle-là même que possède les esprits éveillés et décidés à mener une vie remplie de joie et non de peines.

Il avait même choisis de différencier son uniforme en portant au cou un foulard de couleur rouge, couleur de la passion, sans doute pour se distinguer du lot.

Oscar en était là dans ses observation quand... Un castor mauve à poids verts, pas content pour un sous qu'on lui vole sa nourriture, planta ses quenottes d'un blanc immaculés dans la cuisse saillante et musculeuse de notre ami le militaire fraîchement découvert par notre Oscar...

...Mais qui est ce beau militaire????? (Attention question à mille points!!! Totor tient les paris!!!! :khyuyaaq: )

Plutôt soft le délire

Pas grave, je ferai mieux la prochaine fois

Sinon, a quand la suite???!!!!!
:bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

Mwaaaahhh Arizonnaaaa..elle est où cette forêt ????

Si Alain à besoin d'une volontaire pour porter du bois ,je me dévoues CORPS et âme !

Hey Zalzal ,pas de soucis pour la suite on va attendre ,j'ai déjà planté la tente ....

Alors , d'abord tu vas jusqu'en Amérique, ensuite tu cherche un luciole éclaireuse (les lucioles, pas contente qu'Oscar ai déviée de l'histoire d'origine, l'ont suivie jusque là-bas ) elles t'indiqueront le "bois des soupirs" ou tu auras une chance de croiser Alain .

Finalement, après une éternité, j'ai enfin pu terminer ce chapitre En espérant que cette suite intitulée "Où la Méduse devint statue à son tour" vous plaise !

Bonne lecture

Heureuse de te retrouver chère Zalzal

La confrontation est telle que je l'avais imaginée; Oscar, dure, fuyante, injuste et piquante. Préférant s'enivrer plutôt que d'ouvrir son coeur et continuer à se persuader du bien-fondé de son mutisme.(une Oscar comme on les aime quoi !)
Fersen est , ma foi, fort patient avec elle; mais connaissant le phénomène, il a judicieusement deviné qu'il s'agissait d'un malentendu et qu'il fallait crever l'abcès immédiatement; de façon cavalière, certes, mais c'était certainement la seule qui convenait à ce moment précis.

Oscar, au pid du mur, laisse sa fougue prendre le pas sur la raison, et livre ses blessures au comte qui n'en croyait pas ses oreilles; craintes qu'il s'est empressé de balayer dans toute sa touchante vérité...

Bigre: ENFIN! Chapitre très tendre, profond et néanmoins noir malgré l'humour toujours omniprésent: désormais l'amour semble bien partagé, loin de France. Qu'est ce que l'histoire et l'Histoire vont réserver?..


Et de grâce zalzal, quand nous termineras-tu Chemins de croix?..

Morbleu pas de cassage de gueule ? Juste une morsure dans le cou !? (Voilà qu'Oscar se prend pour une Cullen ! )



Alors on a le choix entre deux option :

1/Oscar ne le croit pas (et là je vais l'avoir mon cassage de gueule )
2/Elle le croit (et ...le chapitre suivant sera chaud )

Dans les deux cas ,ça me va !!!!

Oscar met de la distance entre elle et Fersen, distance que Fersen s'empresse d'effacer.

L'amant ne supporte plus d'être éloigné de son "garde du corps".



Rancune et incompréhension fusent à tout va, et hop après un chargement assez laborieux, les sentiments se dévoilent, derrière sa colère, Oscar avoue à mots couverts sa jalousie, quant à Fersen, il se déclare tout bonnement. Je dirais qu'il n'attendait que ce moment de pouvoir enfin libérer son coeur de ses sentiments.



Oscar va t'elle en rester coïte ou se jeter dans le bras de son suédois ???

Héhé... Oscar dans toute sa splendeur de femme compliquée... Le pauuvre Fersen déboussolé devant une telle attitude, je comprends qu'il se pose des questions... Il a quitté au matin une femme tout sourire, qui le reluquait, et un peu plus tard, il la retrouve en digne glaçon. Il y a de quoi est perdu!

On retrouve Oscar dans la taverne, de un, c'est normal, car Oscar et les tavernes est une grande histoire d'amour, qui, elle, ne sera jamais trahie, ou jamais décevante ( la taverne n'écrit pas elle, à Marie Antoinette) , et de deux, la cuite typique du mal d'amour.

Mais pour Fersen ce malentendu n'est point surportable, il va donc affronter le dragon, ou plutôt le dragron qui a trop bu, pensant retirer quelques informations... Mais c'est sans compter sur Oscar, qui ne peux dire ce qu'elle a vu ce matin. Bon, elle est tombée par erreur sur ce brouillon, mais bon, avouer que cela l'énerve, déclaration indirecte d'amour envers un homme à qui elle s'est donnée, et qui n'est même pas amoureux d'elle, je parle du point de vue d'Oscar, il n'y a rien de plus horrible ( Et ma fierté dans tout cela????? s'écria Oscar---------> petit délire passager.)

Discussion vive dont tu as le secret, comme on les aimes, échanges salés, poivrés, mais Oscar refuse de le suivre...

Citation :

Ah, ah ! Mais qu’est-ce qui vous fait croire que je vais vous suivre bien docilement, hein ?, railla-t-elle en levant un menton frondeur vers lui.

J'ai su à ce moment là, très précis, qu'Oscar allait perdre sur le champ sa superbe... Et ce qui devais arriver arriva, elle fut emportée

Citation :

Sorry to disburb your Sirs, but my fellow here is so drunk that he is unable to walk. So, you know how it is in such cases: I can only help even if the drunkard yells at me ! Hopefully, he’s as light as a young lady !**

Tu m'étonnes qu' "il" soit aussi léger qu'une demoiselle... Il a de l'humour ce Fersen!!!

Une morsure plus tard, vient enfin le temps des éclaircissements... Oscar parle avec son coeur ( sa rage aussi ) et Fersen sait enfin ce qui ne tourne pas rond... La fameuse lettre raturée n'a jamais été envoyée, Fersen ne saurait mentir...
Déclaration d'amour qui laisse Oscar sans voix.

La question est, va elle y croire, ou pas? ( jamais je n'ai d'hypothèses sérieuse avec toi Zalzal, tu es imprévisible, mais il me semblerait bien facile que la chose se termine ainsi...allez...une seconde morsure? )

Liberta a écrit:

Citation :

Heureuse de te retrouver chère Zalzal

Merci beaucoup ! Je n'ai que très peu de temps pour moi ces temps-ci avec le retour en force au boulot. Ainsi, je ne passe qu'en coup de vent sur le site (et ça, c'est quand j'ai le temps de passer ). J'ai l'impression d'avoir loupé un paquet de trucs. Et moi qui avais presque rattrapé mon retard dans la lecture des fics !!!

Tu as très bien cerné ce chapitre: Oscar ne peut pas parler (de un, elle est bornée et fait tout pour être insupportable et de deux, elle ne peut évidemment pas révéler être jalouse de la Reine surtout pas à ce coureur de jupons de Fersen qui s'est amusé à ses dépends - selon la perception qu'Oscar s'en fait, bien entendu).

Heureusement que Fersen se montre patient car Oscar finit par s'ouvrir. Implicitement, elle avoue sa jalousie envers la reine, ce qui encourage l'amoureux à se confier à son tour. Reste à savoir si la belle va se laisser charmer à nouveau par les belles paroles du Suédois

Merci beaucoup pour ton commentaire, Liberta.

Sudena a écrit:

Citation :

Bigre: ENFIN! Chapitre très tendre, profond et néanmoins noir malgré l'humour toujours omniprésent: désormais l'amour semble bien partagé, loin de France. Qu'est ce que l'histoire et l'Histoire vont réserver?..

Eh oui, enfin ! Mais ce n'est pas par manque d'inspiration: cette suite était entamée aussitôt que le chapitre précédent avait été posté. Mais comme je l'ai écrit à Liberta plus haut, je manque de temps dernièrement. Je suis retournée au travail, je suis en plein dans le tourbillon de la rentrée scolaire.

Comme ça, tu as trouvé ce chapitre noir ? Mon dieu que je ne dois pas être objective, car je ne vois pas une once de noirceur dans cette partie. J'ai, au contraire, plus misé sur le côté humoristique et acerbe des réparties. Il y a bien le petit côté fleur bleue à la fin, mais il va falloir que tu me dises ce que tu as trouvé de sombre, parce que je ne vois pas

Citation :

Et de grâce zalzal, quand nous termineras-tu Chemins de croix?..

Je vais t'avouer que je ne suis pas très motivée à continuer (pour l'instant) cette fic. De un, pas beaucoup de temps, et de deux, je ne sais pas si c'est parce que je l'ai laissée en plan pendant quelques temps, j'ai l'impression qu'elle n'intéresse plus grand monde. Je vais la finir, ne t'inquiète pas...mais, pour l'instant, je préfère prendre une pause plutôt que de pondre un chapitre qui me satisfera plus ou moins (comme le dernier qui m'a laissé un arrière-goût d'insatisfaction. Mais j'ai voulu continuer et j'imagine que mon manque de plaisir s'en est ressenti à travers ma plume. Je ne sais pas). Donc, en gros, avec le peu de temps dont je dispose, je ne me sens pas plus disposée pour le moment à bûcher sur une fic qui n'intéresse qu'une poignée de personnes. On écrit pour être lu D'autant plus que l'écriture de Chemins de croix a toujours été laborieuse, le manque de réactions m'a fait réfléchir. Je ne me plains pas. Si les réactions ne sont pas là, c'est peut-être parce que je suis passée à côté de quelque chose. Je ne fais que m'auto-critiquer, voilà tout

Néanmoins, merci beaucoup pour ton commentaire Pour ma part, tu m'en vois désolée d'avoir mis sur la glace cette fic à laquelle tu es si fidèle, mais j'espère que tu comprendras mes raisons

Lona a écrit:

Citation :

Morbleu pas de cassage de gueule ? Juste une morsure dans le cou !? (Voilà qu'Oscar se prend pour une Cullen ! ! )

Tu as le don d'écrire des commentaires désopilants, Lona ! "Juste une morsure dans le cou"... Mais en voudrais-tu à ce cher Hans ? Mais la suite de ton commentaire me laisse croire que tu l'apprécies quand même un peu...du moins quand il se tait et qu'il montre ses jolies fesses

Citation :

Alors on a le choix entre deux option :

1/Oscar ne le croit pas (et là je vais l'avoir mon cassage de gueule )
2/Elle le croit (et ...le chapitre suivant sera chaud )

Dans les deux cas ,ça me va !!!!

Option trois: un mélange des deux... Mais je n'imagine pas une scène sado-maso entre ces deux-là Ah, Seigneur ! Que de niaiseries tu me fais écrire, Lona !

Mais merci infiniment pour ce petit délire bien rafraîchissant !

Aurore a écrit:

Citation :

Une réconciliation sur la couette peut-être ? ^^

Une autre coquine maintenant ! Dites donc ! Vous avez pris goût à ces chapitres plus osés Et moi qui pensais que je me ferais trucider parce que j'osais imaginer de telles scènes entre Ikéa et Oscar (le scandale: Oscar faisant l'amour avec un autre homme qu'André ) !!!

Merci pour ton commentaire sur ce chapitre qui a tant tardé à venir, Aurore Voyons voir si je vais me laisser influencer par vos coquineries pour la suite

Cath a écrit:

Citation :

Oscar avoue à mots couverts sa jalousie, quant à Fersen, il se déclare tout bonnement. Je dirais qu'il n'attendait que ce moment de pouvoir enfin libérer son coeur de ses sentiments.

C'était probablement le meilleur moment pour se déclarer, en fait. S'il se taisait, Fersen continuait d'entretenir les doutes d'Oscar quant à son soi-disant amour envers Marie-Antoinette. Ce malentendu lui aura néanmoins montré que sa farouche tenait à lui plus qu'elle ne le montrait

Mais comme tu l'écris si bien Cath, est-ce qu'Oscar va tomber sous le charme du Suédois ? Nous verrons bien

Merci beaucoup pour ton commentaire, Cath

Sara a écrit:

Citation :

Le pauuvre Fersen déboussolé devant une telle attitude, je comprends qu'il se pose des questions... Il a quitté au matin une femme tout sourire, qui le reluquait, et un peu plus tard, il la retrouve en digne glaçon. Il y a de quoi est perdu!

Eh oui, il fait bien pitié, le pauvre, face à la froide colère d'Oscar. Lui qui n'a pourtant rien fait (consciemment, du moins) !

Mais ça m'a permis de revenir à mes amours, c'est-à-dire ces passages plus "acidulés".

Citation :

Discussion vive dont tu as le secret, comme on les aimes, échanges salés, poivrés, mais Oscar refuse de le suivre...

C'est sans doute parce que j'éprouve beaucoup de plaisir à imaginer ces dialogues qui fait que le tout passe bien. Et tant mieux si tu aimes cela !

Tout comme Cath et Lona, tu te demandes si Oscar va succomber:

Citation :

La question est, va elle y croire, ou pas? ( jamais je n'ai d'hypothèses sérieuse avec toi Zalzal, tu es imprévisible, mais il me semblerait bien facile que la chose se termine ainsi...allez...une seconde morsure? )

Oh quel compliment tu me fais (en fait, c'en est peut-être pas un, mais je vais le prendre comme tel étant donné que justement, j'essaie le plus souvent possible de vous surprendre ) ! Je n'aime pas lorsque je lis un livre ou regarde un film en savoir la fin dès le début. C'est donc pour cela que j'essaie de transposer cela dans mes écrits.

On verra bien donc ce que mon cerveau plein de surprises va vous réserver

Merci beaucoup pour ton commentaire, Sara


Merci à vous tous ! Je sais que ce chapitre a été long à paraître, mais c'est que le temps me manque terriblement ces temps-ci. J'espère être capable d'écrire la suite plus rapidement.

La noirceur, Zalzal, vient peut-être de mon côté pessimiste: je ne peux m'empêcher de penser à l'autre côté de l'Atlantique et le dire qu'ils vivent une illusion (fersen sans M.A. surtoût).

Je comprends tes raisons pour Chemins de croix, mais je pense avoir une explication au manque de réacions: la noirceur intrinsèque de cette fic, sans rebuter, gêne je pense les lecteurs et empêche beaucoup de commentaires... Je sais ce que tu ressens: dans mes fics sur l'épopée impériale, j'ai ressenti exactement ce que tu dépeins et si j'ai continué c'était parce que je ne voulais pas laisser cette fic "pourrir" et sombrer dans l'oubli (a contrario, ma nouvelle est beaucoup plus "populiste": je peux donc réfléchir plus sereinement aux chapitres). J'attendrai dnc le temps qu'il faudra, et en attendat je me régalerai de tes autres écrits ...

Soudain le froid colonel Jarjayes remplace son "indomptable"...pauvre Fersen, il ne comprends pas ce qui s'est passé...
Après un tour dans une taverne, voila la raison du refroidissement de son amante: Oscar est jalouse...
Mais il y a un'explication pour la lettre qu'elle a trouvé...il n'aime plus la reine, il aime...Oscar
Nous verrons si elle y croit...

aahh!!! J adore qd ça prend ces tournures là...un bon quiproquo, une situation burlesque qui découle sur des aveux.... des sentiments si éguisés qu ils en transperce le coeur de l autre.
Oscar et ni plus ni moins amoureuse de Fersen et cette réaction son mutisme sa confidence et son interprétation sont toutes les preuves les aveux de son amour. aurait elle dit "je t aime" que ces mots n auraient pas eu autant de valeur et de force. Il l aime, elle le sait à présent il lui avoue, on ressent cela comme un soulagement de la part d Oscar comme un poid qui lui est ôté mais va t elle l accepter si simplement ou sera t elle toujours sur la défensive ( avec son caractère on s attend à tout!)

merci pr ce chap qui fut fort plaisant! Tourjours un régal de te lire.


si non j espère que ta rentrée c est bien passée et que tes monstres d élèves te laisseront un peu de tps pr que tu puisses continuer à nous captiver.

Comme j'aime cette fic !! Cela fait longtemps que je n'ai pas été autant prise à l'interieur d'une fic, attendant les prochains chapitres, impatiente.
Ton Fersen me touche terriblement, j'ai toujours adoré le voir amoureux d'Oscar (puisqu'au fond de mon petit coeur de midinette, il l'a toujours été sans le savoir, amoureux ...)
J'apprécie ton langage chatié, je ris (ou, je ris !) à tes traits d'humour. Je retrouve parfaitement leurs caractères et suis étonnée quand tu les exploites si bien pour créer des quiproquos entre eux.

Bref, comme le dis Amber, c'est un régal à lire, dont je ne me lasse pas !

Ah comme vos messages me font tout chaud au cœur Je reviens de ma rencontre de parents à l'école; donc journée très longue, plus de patience, et ça fait vraiment du bien de lire des commentaires comme ceux-ci pour me "booster".

Sudena a écrit:

Citation :

La noirceur, Zalzal, vient peut-être de mon côté pessimiste: je ne peux m'empêcher de penser à l'autre côté de l'Atlantique et le dire qu'ils vivent une illusion (fersen sans M.A. surtoût).

Sans doute as-tu de la difficulté à percevoir cet écrit comme étant de la fiction puisque j'y entremêle des faits historiques. Mais je me suis permise d'imaginer Oscar avec un autre homme qu'André (eh, que veux-tu ? J'essaie toujours de révolutionner le monde. Voilà donc pourquoi je tente d'imaginer une histoire nouvelle dans cette marée de fictions sur Lady Oscar. Pas facile de faire original ) et cet homme est Fersen. Mais pas le Fersen du dessin animé, pas celui qui a existé pour vrai... Je dirais un mélange de tout ça additionné de ma vision à moi de ce qu'aurait pu être un Fersen amoureux d'Oscar. Mais je sais... Je suis bien loin de la réalité avec ce Fersen qui oublie bien vite sa Reine. Mais pourquoi pas ?

Citation :

Je comprends tes raisons pour Chemins de croix, mais je pense avoir une explication au manque de réacions: la noirceur intrinsèque de cette fic, sans rebuter, gêne je pense les lecteurs et empêche beaucoup de commentaires... Je sais ce que tu ressens: dans mes fics sur l'épopée impériale, j'ai ressenti exactement ce que tu dépeins et si j'ai continué c'était parce que je ne voulais pas laisser cette fic "pourrir" et sombrer dans l'oubli (a contrario, ma nouvelle est beaucoup plus "populiste": je peux donc réfléchir plus sereinement aux chapitres). J'attendrai dnc le temps qu'il faudra, et en attendat je me régalerai de tes autres écrits ...

Peut-être que c'est ça, Sudena, peut-être que c'est autre chose, je ne sais pas. Je sais que je t'avais écrit un commentaire semblable lorsque tu t'inquiétais du manque de réactions quant à tes fics sur l'époque napoléonienne. Je sais seulement que je vais prendre une pause de cette fic (ce que j'ai déjà fait de toute façon cet été, emportée comme je l'étais par mes délires entre Oscar et Fersen). Mais je veux la terminer. J'ai passé tellement de temps dessus ! Il y a quand même des chapitres dont je suis réellement satisfaite du travail d'écriture, de la narration proposée. Je ne la laisserai certainement pas pourrir, oh que non ! Mais pour l'instant, comme je le disais, par manque de temps, de motivation et d'intérêt en général, je préfère employer mon temps libre à autre chose. Tu devras donc te satisfaire de mon humour débridé (à défaut de ma poésie noire) à travers De tout mon cœur, je te déteste

Rudyjak: Tous comme les autres qui t'ont précédée, tu plains ce pauvre Fersen qui ne sait vraiment pas ce qui prend à Oscar. Il y a de quoi à être déboussolé après la matinée torride qu'ils viennent de passer Mais peu à peu, tout s'éclaircit (in vino veritas !): Oscar est jalouse et n'a pas du tout digéré cette lettre que Fersen a écrite à la reine (peut-on la blâmer ?). Ce quiproquo permettra néanmoins au jeune homme de déclarer son amour.

Rudyjak a écrit:

Citation :

Nous verrons si elle y croit...

Ça, c'est une très bonne question !

Merci beaucoup pour ton commentaire, Rudyjak

Amber Queen a écrit:

Citation :

aahh!!! J adore qd ça prend ces tournures là...un bon quiproquo, une situation burlesque qui découle sur des aveux.... des sentiments si éguisés qu ils en transperce le coeur de l autre.

Fallait bien qu'un de deux parle à un moment ou l'autre !!! C'était d'ailleurs l’occasion rêvée (nonobstant la soirée sans queue ni tête) pour Fersen de se déclarer. S'être tu davantage, il n'aurait que confirmé les doutes d'Oscar, et ça, le Monsieur tenait à l'éviter.

Citation :

Oscar et ni plus ni moins amoureuse de Fersen et cette réaction son mutisme sa confidence et son interprétation sont toutes les preuves les aveux de son amour. aurait elle dit "je t aime" que ces mots n auraient pas eu autant de valeur et de force.

C'est qu'elle est toute en subtilité notre Oscar, du moins pour les sentiments (pas pour les insultes ). Mais oui, elle éprouve plus que du désir pour celui qu'elle appelle désormais Hans...sans nécessairement lui dire (puisqu'elle vient tout juste de réaliser l'ampleur de ses sentiments). Va-t-elle s'ouvrir à Fersen ou se murer dans son silence ? Va-t-elle se laisser aimer par le Suédois ou va-t-elle l'écarter parce que cela devient trop sérieux ? Va-t-elle seulement le croire ? Ah que de questions !!!

Citation :

merci pr ce chap qui fut fort plaisant! Tourjours un régal de te lire.

Et merci pour ce compliment ! Ça fait du bien après trois semaines d'écriture (pas trois semaines intensives, je te rassure. Mais avec le peu de temps dont je dispose, c'est le temps que ça m'a pris pour terminer ce chapitre). Étant donné que les chapitres précédents ont quand même écrits dans un laps de temps rapproché, j'avais peur d'avoir perdu la main avec cette fic. Tu me rassures

Pour ce qui est de la rentrée, j'ai un meilleur groupe que l'an passé, mais ils sont plus jeunes, donc ils demandent toute mon énergie. Je suis donc crevée Mais, je m'en sors chaque année ! C'est seulement le début qui est énergivore

Merci beaucoup pour ce gentil commentaire, Amber ! Je suis très contente que ce chapitre t'ait plu.

Silène a écrit:

Citation :

Comme j'aime cette fic !! Cela fait longtemps que je n'ai pas été autant prise à l'interieur d'une fic, attendant les prochains chapitres, impatiente.

Alors là, tu me fais drôlement plaisir (surtout venant de quelqu'un de talentueux comme toi qui me surprends à chaque écrit par son style et son art de raconter les petites choses de la vie de façon si touchante). Tant mieux si mon (puis-je écrire "mon" ? J'imagine que oui, car ce Fersen-là, comme je l'ai écrit à Sudena, est différent de celui de l'animé et du manga ainsi que différent du personnage historique qui, raconte-t-on, était un homme plutôt froid et réservé) Fersen te plaît. Je me devais de le rendre attachant un peu si je voulais éclipser André Mais il est vrai que notre cher comte suédois peut être touchant avec toute sa patience et sa tendresse envers Oscar. Enfin, c'est ce que j'ai voulu rendre...mon homme idéal sur papier quoi !

Citation :

J'apprécie ton langage chatié, je ris (ou, je ris !) à tes traits d'humour. Je retrouve parfaitement leurs caractères et suis étonnée quand tu les exploites si bien pour créer des quiproquos entre eux.

Bref, comme le dis Amber, c'est un régal à lire, dont je ne me lasse pas !

Merci, merci, merci ! Contente de te faire rire avec mes niaiseries, de te surprendre avec mes quiproquos, de te rendre impatiente dans ton attente pour la suite. Ton commentaire me touche beaucoup, Silène