Oscar1965 a écrit:

Je remarque aussi que les pronoms "il" et "elle" pour Oscar alternent dans le chapitre, comme pour marquer un peu plus la confusion de cette dernière...

Merci Oscar1964 ! Je suis contente que tu ais remarqué cela... Oscar l'avait dit dans le chapitre précédent, elle n'allait pas se mettre à parler d'elle au féminin d'un coup de baguette magique !
J'ai voulu garder le "il" quand il s'agissait particulièrement du Commandant, et laisser venir le "elle" lorsque ses émotions remontent à la surface, quand elle s'octroie le droit d'être fatiguée aussi. Il est le Commandant et escorte ses Majestés à l'église; puis seule dans son bureau une fois la porte refermée, elle est Oscar.
*oui c'est Loup qu'il va bientôt falloir soigner là!*

Comtesse du Blabla a écrit:

Non ,non, elle ne va pas le faire...? Et si ! Boum !
T'as pas honte de nous frustrer comme ça ?  Ceci dit je me demande où tu vas nous mener comme ça

J'avoue, j'ai joué à pile ou face : pile, le désir, elle le retient / face, la raison, elle le laisse partir.
J'ai joué une centaine de fois avant de me décidé pour la raison.  

J'aurai eu moi aussi envie que tout ça finisse en incendie charnel sur le tapis, mais j'avais également le désir qu'Oscar soit fidèle à l'image que j'ai d'elle : à savoir une combattante de mauvaise foi qui préférera mourir seule la tête haute plutôt que d'avouer une faiblesse.
Elle s'est déjà laissé embrassé deux fois me direz-vous. Mais justement, c'est déjà énorme pour son image non ?! Il faut lui laisser un peu le temps de mouliner dans sa tête avant de remettre de l'huile sur le feu mal éteint...


Tigresse, merci pour ton passage

Silène a écrit:

Merci Loup, d'avoir posté aujourd'hui. Je crois que, depuis mercredi, c'est la première fois que je sens mon coeur s'alléger, penser à tout autre chose. Je les ais vus, Oscar et Girodelle, sous ta plume. Et crois moi, ce n'est pas rien.

C'est moi qui te remercie. Tout simplement.

Silène a écrit:

J'aime la légèreté que tu mets avec l'arrivée de Grand mère dans le récit, même indirectement. On se prend à sourire de la découverte d'Oscar au petit matin, alors qu'au final la scène n'a rien de drôle !

Oh, tu le formules très bien ! C'était exactement ça que je voulais montrer. Le côté enfant qu'Oscar revêt encore aux yeux de Grand-Mère qui la soupçonne de faire des bêtises... des bêtises d'adultes.. Et peut-être suis-je un peu glauque, mais imaginer Oscar, si parfaite à Versailles, se laisser aller, et lâcher un peu le joug qu'elle exerce sur elle-même, ben je trouve ça hyper troublant. C'est à la fois douloureux et sensuel.

Silène a écrit:

Je me suis esclaffée, qu'est ce que ça m'a fait du bien ! Bon, en fait la mouche que j'ai vu dans mon esprit ressemblait plus à un corbeau, celui là même qui passait souvent au dessus de la tête de Nicky Larson. Une grosse mouche, quoi ...

Là c'est moi qui rigole.

Silène a écrit:

Le boudoir de la reine est intensément féminin et je vois parfaitement Girodelle, droit et révérencieux, terriblement masculin et pourtant discret au milieu de cet univers de femmes. On "voit" que c'est un poste qu'il a l'habitude de tenir.

Dans mes bras très chère ! C'est fou, tu déduis exactement ce que je voulais suggérer ! Ça me fait vraiment plaisir. J'ai rien d'autre à ajouter, tu as tout dis.

Silène a écrit:

Ouep, on dirait pas mais je me suis limité dans ma citation ! Quelle belle opposition ! Oscar qui connait tout du militaire, mais rien de l'homme. Sauf qu'il l'aime. (ses feintes favorites au combat .... Ah, je me pâme ! C'est con, hein, mais je l'imagine donc l'épée à la main et il est à tomber. )
Et j'entends avec elle les bruits de couloirs, ces dindes qui prétendent avoir fait succomber le jeune Lieutenant, mais lesquelles disent vrai ? Il y en a forcement, je vois Girodelle comme un homme aimant les femmes, mais beaucoup sans doute se vantent, dépitées qu'il ne leur jette même pas un regard ... Et Oscar ne doit pas savoir lesquelles disent vrai, et si toutes ne mentent pas, puisqu'il doit exister exactement les mêmes bruits à son égard (or on sait que ...)

Oulah tu t'emballes ma belle ! Tu avais raison, tu peux me parler de Girodelle durant mille et une nuit dis donc !
Mais j'avoue, j'ai pensé à toi en écrivant ce passage. Je me suis dis ça va faire plaisir à Silène qu'Oscar s'interroge vraiment sur l'homme qu'est son Lieutenant. Et moi aussi j'aime rappeller que nos charmants gentilhommes sont avant tout des hommes à la fine lame...

Silène a écrit:

Je sais qu'il me faut être patiente mais je brûle déjà de lire la suite, de savoir ou tu vas nous mener.

Tu l'as fais exprès, le jeu de mot ?!
La suite justement, parlons-en... je suis embêtée. Oh pour une fois, elle est déjà prête. L'idée était en tête depuis deux semaines environ, l'écrit s'est fait hier et aujourd'hui. Le problème c'est que... j'ai pris conscience en l'écrivant que ça risquait de tomber très mal à propos présentement. Ça m'emm**rde beaucoup.
...

**

Loup a écrit:

Elle s'est déjà laissé embrassé deux fois me direz-vous. Mais justement, c'est déjà énorme pour son image non ?!

Oui selon des critères Oscariens, c'est plausible. Mais c'est sympa de la voir se lâcher de temps en temps ( dans le bon sens)

Loup a écrit:

Girodelle était contrarié. Doublement contrarié.
En premier lieu, parce-qu'il ressentait à présent le danger permanent dans lequel évoluait son supérieur.

Oh il est trop chou... Il se fait du souci pour son Oscar...

Loup a écrit:

-Et ne me regardez pas avec cet air consterné ! aboya Oscar, de plus en plus échauffé.

Ecoute poulette, vu ce qu'il sait de toi, à ta place je serais plus gentille avec lui...

Loup a écrit:

-Nous avons attrapé une femme… Une drôlesse vêtue en homme, elle cherchait à s'enfuir ! Et..

ça c'est de l’inattendu... Je me demande vraiment qui c'est.

Loup a écrit:

Le tiroir du secrétaire derrière eux était resté ouvert. Il contenait un coffret, ouvert lui aussi. A l'intérieur, le velours creusé indiquait clairement qu'il servait d'ordinaire à contenir un pistolet. Il était présentement vide de son locataire.

Là j'ai pas trop compris pour quoi faire. Pour tirer sur Girodelle ou pour s'en servir contre elle même  Mais pourquoi elle est partie avec Grrrrrr

On veut la suite !!!

Mon coeur a dégringolé dans mes chaussures lorsque j'ai lu tes parenthèses, en haut de chapitre. Mais que vas tu leur faire arriver ? (et là je te vois qui ris sous cape, je reconnais que c'est une juste vengeance)

J'ai beaucoup aimé ce chapitre, mais il me fait trembler, car je le trouve plus sombre que les précédents (si si, c'est possible, les autres n'étaient qu'abominablement triste)
J'aime les petits détails que tu y insères (mon pauvre Girodelle) et l'évocation des terres de Victor me rend toute chose. Et tu as raison !!! Oscar arrive au débotté, Girodelle prévient ses gens !

Citation :

Quoi ?! s'exclamèrent deux voix en choeur tandis que Girodelle se plaçait instinctivement entre le nouveau venu et son Commandant hébété.

*Soupire d'aise* c'est tellement lui ...

Je me retourne le cerveau pour savoir qui est cette femme, et je me demande si ce n'est pas Rosalie.
Et puis il y a l'arme et ça, ça me fait peur. Elle ne voulait pas tirer sur Girodelle (le pourrait elle seulement sans se tirer dessus par la suite ?) juste lui casser la gueule. Je ne la vois pas non plus se suicider, et pourquoi donc ? Son secret n'est pas éventé.
J'ai remarqué qu'elle a ouvert le tiroir en entendant juste le COMMANDANT ! Peut être réagit elle en fait ainsi depuis des années, prête à se défendre à chaque fois qu'un de ses soldats semble agité, comme l'animal traqué qu'elle est. 
Elle l'emporte, cette arme, avec elle, mais pour s'en servir ? Sur qui ? Sur la femme qui, si elle la connait, risquerait de tout dire ? En prévention ?

Je crains le pire, mon Loup. Tu veux pas juste les faire retourner auprès d'un feu ? Genre en sortant de son bureau, Oscar choppe Girodelle, lui dit qu'elle en a ras le bicorne de toutes ces conneries et lui demande de l'emmener sur ses terres (oh oui, emmène moi sur tes terres )
Et une fois la bas, ils allument un grand feu dans la cheminée, parce qu'on se caille les miches dans ces vieilles baraques, ils enlèvent leurs uniformes parce que ça gratte et hop, ils finissent ce qu'ils auraient du finir !

Silène a écrit:

Citation :
Quoi ?! s'exclamèrent deux voix en choeur tandis que Girodelle se plaçait instinctivement entre le nouveau venu et son Commandant hébété.
*Soupire d'aise* c'est tellement lui ...

Je n'avais même pas vu ce passage Il faut vraiment que j'arrête de faire quoi que ce soit avant d'avoir bu mon café... ><

Ohlala !! Comtesse et Silène ! Je vois que j'ai semé l'émoi !  

Tout va bien, ne vous affolez pas... (ou presque). Bon okay, j'arrête, je ne dis rien et je vous posterai la suite dans la journée.

Comtesse a écrit:

Loup a écrit:-Et ne me regardez pas avec cet air consterné ! aboya Oscar, de plus en plus échauffé.Ecoute poulette, vu ce qu'il sait de toi, à ta place je serais plus gentille avec lui...

justement ! Vu ce qu'il sait, elle est encore plus acariâtre !

Silène a écrit:

Je crains le pire, mon Loup. Tu veux pas juste les faire retourner auprès d'un feu ? Genre en sortant de son bureau, Oscar choppe Girodelle, lui dit qu'elle en a ras le bicorne de toutes ces conneries et lui demande de l'emmener sur ses terres (oh oui, emmène moi sur tes terres )
Et une fois la bas, ils allument un grand feu dans la cheminée, parce qu'on se caille les miches dans ces vieilles baraques, ils enlèvent leurs uniformes parce que ça gratte et hop, ils finissent ce qu'ils auraient du finir !

ce serait bien, hein ? Mais ce serait trop facile, non ...   ?  On dirait que tu as déteins sur moi ! Tout comme toi, je ne vous fais rêver un peu avant de compliquer joyeusement les choses et de jeter nos personnages dans tes tourments dont ils se seraient bien passés... tu vois l'élève apprends vite de son maître !
Quand je pense que ça devait être un charmant licencieux one shot...

Loup a écrit:

Quand je pense que ça devait être un charmant licencieux one shot...

Ouais, bah puisque'on y est , fais attention à la direction que tu vas faire prendre au Titanic, toi !

Oscar ressent le vide laisser par Victor au moment même où celui-ci s'en va ...
Les quelques courtes heure à venir vont être bien longues pour elle ^^

Et la voilà qui n'écoute en rien ce qui se passe dans la Chapelle, trop perdue qu'elle dans ses pensée de la nuit dernière.
J'aime bien elle s'inquiétait de revoir Girodelle, mais il agit comme si de rien était, du moins face à tous car il demeure bien gentil et intentionné avec cette tasse de thé toute chaude et j'adore la suspission d'Oscar. J'imaginait bien la scène

Ah les robes de Bertin, je me disais aussi et M-A se rend bien compte de la fatigue et de l'état du comte, si bien qu'elle le laisse à ses pensées jusqu'à l'arrivée d'Oscar

Citation :

-Très cher Oscar, vous arrivez à point !

L'intéressé eut l'air un peu surpris.

-Il est quatorze heures Majesté, je viens relever Monsieur de Girodelle, comme tous les jours…

J'ai pouffé, je vois bien Oscar, dans ça tête dire "bah j'arrive tous les jours à la même quoi, mais bon hein ..."
Et la mouche, on imagine bien la scène, Oscar, Gigi, M-A et ... une mouche qui passe

Bon, demander son avis à Oscar sur le choix de robes ... on repassera plus tard et se débarrasse habilement de la pattae chaude en lal reforguant à Victor, tout en se vengeant un peu de lui.
Mais étonnement, elle se mit à penser et à le détailler. Pour se rendre compte qu'auu final, elle ne le connaissait pas si bien au final ...

*s'en va lire le second chapitre*

Alors, on commence le chapitre avec un Girodelle pas content, de un parce que maintenant qu'il savait Oscar femme, il ne la voyait plus que comme telle et percevait tous les dangers et la crainte permanente de la découverte de son secret dans lequel elle vivait.
Et la deuxième était qu'Oscar s'était empressée de le mettre en congé suite à la demande de M-A, qui partait d'une bonne intention. Mais pour lui, c'était mauvais, comme si elle cherchait à se débarasser de lui, devenu menace de son lourd secret.

Il trouve d'ailleurs un moyen, avec toute bonne argumation, de gagner un jour de plus avec elle.
Et il ne tarde à voir que c'était le Commandant qui avait reprit le dessus sur Oscar et celle-ci s'impatientée déjà d'aller casser quelles fgures dans un estaminet le soir afin de se vider la tête.

Mais la confrontation entre les deux officiers ne sera pour maintenant. Un soldat vint les interrompre.
Et déjà Oscar, pistolet comme compagnon était sortie.
Quelque chose me dit, que cette femme déguisée en homme qui a été arrêtée va jouer un certain rôle pour la suite ...

Girodelle envoye sur ses terre comme on envoie un chien a la niche ca part bien, en meme temps un lieutenant se presentant cerne ca ne fait pas  tres serieux.

Mais c'est qu'elle a bouffe du lion notre Oscar a force d'aboyer apres Girodelle elle va finir par le mordre:twisted:.

Mais voila qu'un soldat de garde royale vient perturber la quietude de nos offiicers.

Qui est cette perturbatrice?

Moi aussi j'ai noté (et cela me fait trembler) le fait qu'Oscar se dépêche de prendre son pistolet... Elle n'avait pas l'intention de s'en servir sur elle-même?

Merci et vite la suite! :bounce:

Poussée dans ses retranchements, Oscar a vite fait de retrouver le masque du colonel et décide de se débarrasser aussi vite de Girodelle. Elle fait d'une pierre deux coups, sauf que le lieutenant n'a pas envie de ces foutues vacances et peut-être qu'il a raison de ne pas vouloir s'éloigner qui sait ce que Oscar veut faire de son arme ?

Toujours aussi captivante cette fic, je suis contente que tu prennes le temps d'écrire malgré les événements perturbateurs qui se sont passés...J'adore la paranoïa d'oscar qui l'a transmise à Girodelle! Ils voient des sous entendus partout! Mais qui peut bien être cette femme qui use d'une identité masculine...et que va faire Oscar?

La suite! La suite! La suite!!!!


mel

Voilà, je me suis décidée à poster la suite. Rien d'évident. J'espère que vous ne m'en voudrez pas trop.

Mel77, Cath, Oscar1965, Tigresse et Aurore F, merci pour toutes vos réactions.
Ca fait tellement plaisir, vous me suivez dans les mots et cernez parfaitement les petites touches que j'essaye de glisser par ci par là.. que du bonheur pour votre cher Loup.

Quel chapitre palpitant! Tu nous en fais voir de toutes les couleurs! Je dirai simplement la même chose que Girodelle:

Loup a écrit:

-Je vous en supplie, Monsieur, sauvez-la!

Et je t'en supplie Loup (même si je reconnais que tu écris remarquablement vite et que nous sommes toutes en train de devenir des enfants gâtées, à force): la suite bientôt!

Et tu te demandais ou était ta résistance ! Mais elle est là, chère Loup ! Elle est là parce que rien ne t'a empêché d'écrire, de publier, et j'ai lu ce chapitre à deux niveaux, j'ai imaginé combien il avait du t'être dur de le poster là, juste aujourd'hui, et je t'en remercie.

A un niveau plus trivial, je suis ravie de t'avoir soudoyée pour que nous fassions succomber Comtesse sous le charme de Girodelle, car tu dépeins les actions avec une plume que je suis bien incapable d'égaler !
C'est vif, vivant, vibrant, bien amené, bien troussé, bref, en un mot comme en cent, j'ai vu Oscar bondir de son cheval.

Bon...
Comme tu es cruelle (et après on se plaignait de moi ! Mais c'est comme tomber de Charybde en Scylla !) tu nous amoches fortement Oscar, mais je garde espoir qu'elle s'en sorte. Girodelle est tellement ... Tellement Girodelle !
Je l'imagine parfaitement la tenir contre lui sur son cheval (un fanart, un fanart !) puis la déshabiller sans oser ôter les bandes et cette présence d'esprit qui lui fait penser à mander Lassonne ! 

J'espère que s'être trouvée proche de la mort lui aura fait comprendre à quel point elle tient à lui, elle ... (non parce que tu ne peux pas la tuer. C'est juste pas possible si tu veux préserver mon petit coeur. Je veux ma scène incendiaire !!!!!!!!!!)

Loup a écrit:

Son Oscar était allongée dans la neige, la tête soutenue par un de ses gardes, une vilaine tâche sombre venant salir la manche droite de son uniforme et souiller la neige en-dessous d'elle.
Elle gisait là, inconsciente.

Quand je lis ça, je me dis , c'est cuit pour son secret... Il va bien falloir la déshabiller pour la soigner...

Loup a écrit:

-Excuse-moi, je te fais mal mon Amour… mais je t'en supplie, ne me laisse pas sans toi, ouvre-tes yeux… Tout est fini maintenant, on va te soigner, Oscar, je vais te ramener à l'abri… c'est fini ma toute belle, c'est fini, tu vas t'en sortir… ce n'est pas trois tuiles qui vont avoir raison du Commandant de Jarjayes quand même, non ? Tu ne le permettrais pas ça, Oscar !

Ca me surprend un peu de la part de Girodelle, celui qui est dans ma tête, que je vois quand je lis le manga ou lis l'anime, a autant d'émotions qu'une plante verte. Je préfère le tien bien sur! (attention je me cache, Silène va me lancer des tomates ) Il fait très "André" je trouve

Loup a écrit:

Heureusement pour lui, on annonça l'arrivée du docteur. Avant d'aller ouvrir la porte, Girodelle pris soin de poser la veste d'Oscar sur son torse pour la protéger de tout regard indiscret.

Ca, c'est le genre de détail que j'adore dans une fic ! Des petits trucs qui font "vrai" auquels on ne penserai pas forcément , mais qui font tellement réel.

Loup a écrit:

-Vous le saviez Monsieur ?

Girodelle referma la porte avant de répondre à voix basse.

ça me rappelle dans "Orpheus no mado" seul le médecin ( et la mère de Julius bien sûr)et personne d'autre ( du moins au début) sont au courant, c'est même là que commence le début des emmerdes

Loup a écrit:

Je suis vraiment désolé, mais je me dois de vous prévenir : ÂME SENSIBLES, si vous sautez cette partie, je comprendrais très bien.
J'ai conscience que ce passage tombe très mal à propos présentement, mais je le rappelle ici : ceci est entièrement une FICTION.

Avec toutes mes excuses,

Votre Loup.

t'en fais pas petit loup-chou , on commence à te connaitre... Tu n'as pas eu trop de chance c'est tout

C'était parti pour être un One Shot de jambes en l'air GirodellexOscar... C'est vrai que des fois on croit savoir parfaitement où on va mener notre fic, et on se rend compte que c'est elle qui nous mène, là où on ne l'attendait pas forcément.

Finalement on va avoir droit à une fic à suspens façon Aurore ou Mel77

Silène a écrit:

A un niveau plus trivial, je suis ravie de t'avoir soudoyée pour que nous fassions succomber Comtesse sous le charme de Girodelle, car tu dépeins les actions avec une plume que je suis bien incapable d'égaler !

Hu hu hu ^^ J'ai failli cracher dans mon assiette de stupéfaction en lisant ce commentaire, surtout vu ce que j'ai dit plus tôt :parencouran:

*reste en faction devant la planque, les tomates à la main*

Ouai, reste cachée. Parce que le Girodelle de Loup ne ressemble pas DU TOUT à André ! Il ressemble à Girodelle, mais nous finirons bien par t'y faire prendre gout
(Girodelle est un homme d'une sensibilité folle ! Et quand il est amoureux ... Ah, quand il est amoureux ...)

Loup agite un petit drapeau blanc entre les fourrés respectifs de Silène et Comtesse

Heuuu, si je puis me permettre ?! *Loup baisse la tête pour éviter une tomate*

Comtesse n'a pas si tort ! Le coup de Girodelle qui pense qu'Oscar ne se laisserait pas abattre par une tuile dans la poire, c'était une pensée que j'ai emprunté à l'idée que je me fais d'André.
*Silène, ne me vise pas s'il te plaît, j'ai pris une douche ce midi !*
Il y a plusieurs passages où j'ai donné à Girodelle un peu du statut et de l'âme d'André... parce-que moi non plus je n'étais pas Girodelienne jusqu'à présent et parce que j'ai évincé André de l'existence d'Oscar dans cette fic donc Girodelle pouvait récupérer quelques petites miettes de l'ombre habituelle d'Oscar.
Mais rassure-toi Silène, il est bien question de notre Girodelle là maintenant, ce n'est pas un André déguisé ! (car André aurait enlevé les bandes et aurait soigné Oscar lui-même jusqu'au bout... pas de pudeur entres frères, s'pas ?!)

je vous répondrais plus longuement, merci de me suivre... *Loup se sauve au petit trop tandis que les tomates se remettent à voler joyeusement dans les airs derrière lui*

Loup a écrit:

je n'étais pas Girodelienne jusqu'à présent

Alors pour ça, tu te prends une tomate de ma part

Loup a écrit:

Comtesse n'a pas si tort ! [...]
Il y a plusieurs passages où j'ai donné à Girodelle un peu du statut et de l'âme d'André...

Pour ça tu vas te prendre des tomates Silèniennes

Mais t'en fais pas c'est bon les tomates, même un peu écrabouillées ! Tu pourras t'en faire une bonne sauce pour des pâtes ^^

IL FAUT CONTINUER . C'EST LE PLUS BEAU PIED DE NEZ À TOUS CEUX QUI VEULENT TUER NOTRE LIBERTÉ DE PENSÉ ET NOTRE LIBERTÉ D'EXPRESSION. ALORS CHAPITRE SUIVANT.

Merci Nanou pour ce message. Je suis heureuse de savoir que tu es passé par ici. Je vais continuer oui. Promis.

Silène a écrit:

J'espère que s'être trouvée proche de la mort lui aura fait comprendre à quel point elle tient à lui, elle ... (non parce que tu ne peux pas la tuer. C'est juste pas possible si tu veux préserver mon petit coeur. Je veux ma scène incendiaire !!!!!!!!!!)

Mais attends Silène ! J'ai foutu le feu dans le coeur de Girodelle, dans les sens d'Oscar et dans la forge royale ! Et tu en veux encore plus ? C'est qui la pyromane dans cette histoire ??!  

Comtesse a écrit:

Hu hu hu ^^ J'ai failli cracher dans mon assiette de stupéfaction en lisant ce commentaire, surtout vu ce que j'ai dit plus tôt

J'imagine d'ici le tableau.
La grande table de banquet du Forum LO, avec tous ses convives à table en train de grignoter de la fanfiction aux petits oignons et du fanart en délicates tranches fumées. Avec couverts en argent s'il-vous-plaît.
Et Comtesse qui recrache brusquement dans son assiette sous les yeux éberlués de Silène et Loup, ses voisines de table.
(suite à quoi Loup disparaît sous la table pour cacher son fou rire)

Oui je crois que je vais arrêter de manger devant mon PC ou même de boire , j'ai failli m'étouffer aussi une fois en lisant ta fic Titanic ... En plus ça ne se fait pas de manger devant le PC... J'engueule toujours monsieur le Comte quand il le fait...

Euuuh... ce n'est pas moi qui te reprocherais de faire ça... j'emportais mon ordi jusque dans la cuisine pour me tenir compagnie pendant la préparation. Bon entre temps notre wifi a rendu l'âme, je suis reliée par câble et il n'est pas assez long pour aller jusqu'aux fourneaux.
Je cuisine plus du coup. (j'rigole. (Presque.))
*Wouah, ça fait la grosse geek là*
Non mais sinon j'ai une vie sociale, et je déventouse de l'ordi aussi, parfois, mais en ce moment, entre écriture, forum et suivit des actualités pour comprendre ce qui se passe de votre côté de la frontière... bref.

Oscar est grievement blessee en sauvant le roi.


Girodelle est partage entre l'amour et le devoir hesite a laissdrr son grand amour.

Lassonne la sauvera-t-il?

vu ces derniers evenements qui ont  secoue la France j'espere que ta fic aura une happy end sinon ce serait trop triste :698$^2: .

Bien flûte! J'avais posté (du moins je l'ai cru) un message et il n'y est plus...
J'espère ne pas m'être trompée de fics...

Quoiqu'il en soit! Je reprends:
Si Oscar survit, j'espère qu'elle prendra conscience que son secret en est toujours un grâce à Victor. Qu'elle se permettre de lui faire confiance et qu'elle peut retourner prêt du foyer admirer son torse...

Sur ce, j'attend la suite!

mel

Loup a écrit:

notre wifi a rendu l'âme, je suis reliée par câble et il n'est pas assez long pour aller jusqu'aux fourneaux.
.

Et du coup c'est comme ça qu'on crame des pois chiches, manquant ainsi de foutre le feu à la tanière

Comtesse a écrit:

Et du coup c'est comme ça qu'on crame des pois chiches, manquant ainsi de foutre le feu à la tanière

ah non, là j'avais une autre excuse. Il y avait de la visite dans ma tanière (finalement vaut mieux être en mode geek associal en fait, c'est moins dangereux )

Aah! Elle a survécu ! Et fidèle à elle-même, elle tyrannise tout le monde parce qu'elle (enfin, il tyrannise...) se sent inutile...

Bon, il sont de nouveau seuls tous les deux... les étincelles du désir vont-elles rejaillir?

Merci Loup!

Bon, loup, je n'ai plus d'excuse, il va falloir que je prenne mes crayons (mais si le résultat n'est pas à la hauteur, tu auras la gentillesse de me pardonner, hein ?)

Ce chapitre est d'une douceur ! Elle est furie, elle est Oscar, mais c'est doux de la retrouver, de la voir vivante et vociférante. Je suis allée voir sur internet ce que voulais dire pizzicato (attends, ce soir je te dirai mon nom de famille, et tu vas rigoler de voir combien, avec un nom pareil, je ne connais rien à la musique !) et j'ai trouvé l'image oh combien attendrissante ! C'est terriblement bien trouvé, je la voyais, assise sur sa chaise, le violon sur les genoux, à essayer de pincer les cordes de sa main valide.
Dès que Girodelle entre dans la pièce, d'ailleurs, il devient elle, Oscar a bien du mal à rester le commandant face à son lieutenant.

As tu déjà vu Katia, le film avec Romy Schneider ? Je ne saurai vraiment dire pourquoi, mais ta scène des derniers chapitre m'y a fait penser fortement (enfin, si. L'attentat me fait tellement penser à celui du tsar Alexandre)

Citation :

-Mais je me repose ! protesta l'intéressée. Je ne fais que ça depuis une semaine ! Monsieur Lassonne, saviez-vous qu'il y a exactement soixante-quatorze lattes au plafond de cette chambre, trois cent quatre-vingt deux motifs de cachemire sur ce couvre-lit et…

C'est tellement ça ! bon sang, quand on est alité on compte tout ce qui nous entoure, tant le temps semble passer lentement ! Et surtout quand les visites n'arrivent pas et qu'on espère le bruit de la porte s'ouvrant ...

J'ai adoré la lettre de Jarjayes, et comme Girodelle je l'ai relue à plusieurs reprises. Mais quel foutu caractère ! Mais comme il a du être heureux de la recevoir ! Pourquoi n'est il pas venu plus tôt ? Par crainte de la manière dont il se ferait recevoir ? Ou alors avait il envie, quelque part tout au fond, de lui manquer un peu ?
En tout cas il arrive, et j'aime autant la manière dont tu décris grand mère que la vie que tu mets dans Jarjayes ! Quelle bonne idée que d'utiliser la musique ! Non, vraiment, plus je te lis plus je me dis que j'ai des leçons à apprendre de ta part (mais comme ça tombe bien ... )

Une fois encore, Oscar est désarmante. Elle est colonel, forcement, elle est militaire, héritier, mais bon sang que la fêlure est proche ! Et combien, comme Girodelle, on a envie de la prendre dans les bras et de lui dire que non, elle n'est pas inutile, elle est irremplaçable ! (mais comment tu fais ça ? Nous retourner comme ça, en deux coup de plume ?)
Tu la tiens parfaitement bien dans ta fic, elle reste fidèle à elle même de bout en bout, jusqu'à la chaise qu'elle traine en refusant son aide.

J'avais en tête l'image de fin, qui doit être chère aussi à Girodelle. Ce n'est pas donné à tout le monde de voir le colonel de Jarjayes admettre sa fatigue, sa faiblesse, et s'allonger devant lui !
J'attends avec une graaaaaaaaaaande impatience la suite, j'ose espérer une récompense pour le doux comte   (il y a une partie de moi navrée d'aimer tant écrire la nuit, me doutant que tu es peut être réveillée. Mais une autre ravie, je dois le confesser. Allez, je taille mon crayon et je tente un truc !)

Merci Oscar1965 et Silène, je vous répondrais plus longuement plus tard

Le commentaire de Silène concernant le violon vient de me rappeler une chose : j'ai mis trois astérisques dans le texte et j'ai oublié d'annoter. Je file corriger ça. Désolé.

Oscar est passée à un cheveu de faire un petit tour avec les anges... J'ai aimé voir Louis se préoccuper plus de son colonel que de lui-même. Voir Girodelle courir au "chevet" de son roi alors qu'il ne pense qu'à rejoindre Oscar. Sa délicatesse en la déshabillant, son désir de garder le secret de son colonel. Quel homme !

Oscar est sauvée et a retrouvée sa gouaille, VIVE OSCAR !!!! et son tempérament de feu...

Bon, pas fini pour le moment et comme d'hab je crains la mise en couleur alors je te le poste, au moins tu auras quelque chose (je me suis aidée d'un fanart pour leurs positions, que j'ai modifié à mon gré pour coller à ta fic)
J'espère que ça ressemble un peu à ce que tu avais imaginé (et j'espère au moins qu'on reconnait le moment ). Bon, suis plus douée au clavier qu'au crayon. Mais je l'ai dessiné en écoutant en boucle un certain Canon ....

Silène c'est trop beau

Quant à toi Loup , je ne peux que continuer à te féliciter pour la rapidité à laquelle tu publies ,et c'est toujours un plaisir de lire cette histoire .
Même si tu as mis Oscar aux portes de la mort et que Girodelle se révèle être très chevaleresque (c'est comme ça que je l'ai toujours vu) , je suis toute de même ravie de la tournure des évènements.
Ca permettra à une certaine d'ouvrir les yeux sur ses véritables sentiments , la petite en pince pour Victor ,mais en fière créature qu'elle est ,ça ne fera pas briller son ampoule.

Je veux un autre chapitre et tout de suite , et le prochain je le commenterai plus en détail la prochaine fois