J'ai commencé à la lire! Je ne ferais pas un gros pavé comme certain. Mais tu as l'art du suspens!! :tredfr:

Tu as l'art et la manière du suspens...et de nous laisser sur notre faim!!
Hâte de lire la suite...

Ushi de Bray et Angelanthea06, merci pour votre visite !  

Ça fait plaisir de vous lire, et je suis ravi de savoir qu'INCENDIE vous plait.

**Marine qui ne peut se détacher de la majesté de ce chapitre si polyvalent en merveilles stylistiques ,métaphoriques et poétiques qu'elle en ferait une insomnie ** (petite précision : Marine c'est moi hihi)

* Se dépêche d'aller imprimer les chapitres d'Incendie avant la grande pénurie d'encre & que la fainéantise atteigne son paroxysme .*

Seigneur! Aidez-moi à trouver les mots adéquats ,je me sens comme une oasis en plein désert . Sauf qu'Incendie est ma bouée de sauvetage .

Mais comment diable fais-tu pour trouver le moindre ingrédient dans Oscar et Victor , deux officiers caractériels pour les rendre si licencieusement délicieux et à matière enrichissante , très humains avec une profondeur déconcertante  .
Faudra m'envoyer un fax parce que je suis incapable de me formuler une réponse ...

Girodelle et Oscar , le sel et le sucre , l'eau et le feu .

Je suis conquise par la dimension de ces personnages , tout d'abord avec ça pour Oscar :

(Je vais développer pour mon Loup adoré )

Loup a écrit:

-Non pas vraiment… admit Oscar en rougissant. Enfin ! Qu'est-ce que vous racontez Girodelle, je n'imaginais rien, voyons ?!

Fichtre ! Elle reste dans les codes traditionnels ,le cérémoniel militaire quotidien ,mais ce qu'elle peut être charmante et si candide dans sa façon de le dire ,avec un zeste de rigidité . Une association typiquement oscarien que je ne retrouve pas ou très peu quand je lis du lemon. Il faut avoir une bonne maîtrise de ce genre (que tu as largement acquise ma chère ) et affectionner ses personnages qui sont utilisés ( bah y'a Madame avec  ses orties devant chez elle qui s'est bien chargé de te le faire aimer le petit lieutenant bouclé ) .

Et lui avec ce'' tu'' si diabolique , ne force jamais sa ''presque '' conquise , voilà aussi pourquoi il m'arrive de soupirer . Des Victor de Girodelle ,y'en a pas beaucoup les coins de rue , bon je vais regarder si je n'ai pas de quoi en créer un et je t'enverrai un pigeon voyageur pour te le fournir , tu es d'accord ? 


J'arrête mes digressons et je reviens vers ce chapitre diablement au corps à corps ô ardemment érotique . Et il y a toujours cet obstacle de malheur que tu ne peux t'empêcher d’énoncer. 

Loup a écrit:

 Ah, il y avait bien ce foutu Fersen, l'amour qu'elle lui portait, mais Fersen n'avait jamais vu ce que lui, pauvre petit lieutenant éperdu, admirait à cet instant.

Ce Fersen de malheur , à la fosse au lion et qui n'aura jamais une seule occasion de connaître ce que Victor a en main (et même de combler Lolotte charnellement car le Suédois est un très mauvais coup au lit   ).


Mais pour le meilleur de tout ,c'est ce trésor descriptif sur Victor qui me fait atrocement craquer sur lui et qui me fait te pardonner  :

Loup a écrit:

Car ce soir, lui n'était que le subordonné, un homme ayant fait don de son corps, un condamné qui attendait son jugement et savait qu'à tout instant il pouvait être transpercé d'une balle en plein coeur, le laissant agonisant sur le bas côté. Or en vérité, à cette seconde précise, il devait bien dire qu'il s'en fichait éperdument.

Citation :

Oh oui, il se sentait infiniment vivant à cet instant, vivant parce que dans ce regard d'azur, il n'y avait que lui.

Mes tripes sont frappées d'extase de savoir à ce moment là ce que ressent Victor , qui n'est évidemment pas que satisfait . L'ombre suédoise est encore pertinente . Et elle ramène le bouclé dans sa tristesse , dans l'imperméabilité de sa personnalité qu'il a confiné pendant toutes ces années , des années auprès d'Oscar , et j'ai cette sensation qu'elle est la rédemptrice de la réelle nature de Victor . Que seule elle peut détenir ce pouvoir de le rendre si intensément vivant . 
Poignant moment , tellement dévorant à lire !



Je crois que l'apothéose du chapitre est bien à partir de cette tirade :

Citation :

Alors c'était ça.

Citation :

Citation :

C'était ça qui transperçait les femmes et les unissaient à leurs maris, royaux ou pauvres hères, jusqu'à ce que la mort ne les séparent à nouveau.

Citation :

C'était sur ça que régnaient les catins des bas quartiers de Paris.

Citation :

C'était ça qui donnait à tous ces hommes cette "mâle" assurance et les poussait à guerroyer et à dominer les femmes, les États, le monde tout entier.

Citation :

Et c'était ça que les prêtres condamnaient vigoureusement à l'enfer.

Citation :

Or son enfer à elle, c'était d'avoir été privé de cela justement. D'avoir endossé la nature d'Eve, alors que son destin était celui d'un héritier, d'un soldat, d'un honneur ancestral à perpétuer.

Citation :

Mais hélas, elle était vide, elle était désespérement creuse et jamais ce sexe orgueilleux ne prendrait place entre ses jambes, lui conférant enfin la légitimité qu'il lui faisait tant défaut. Oscar serra le poing. Elle eut un regain de haine pour cette Nature qui s'était montré si cruelle.

 Regarde ce que tes métaphores , tes idées complètement paraboliques et farfelues sont capables de produire au lecteur . Quand je lis ça ,je me prends une claque , je me transporte véritablement ailleurs ,je m'imagine moult choses . Et c'est ce que tu produis chez Oscar . La jalousie ,l'envie , l'impuissance . Une fournée d'envies autres que de se satisfaire d'un homme qui n'a que d'yeux pour elle . Cruelle vérité présente à ses yeux .
Tu la perfores dans ce qu'elle n'aura jamais , elle est héritier mais née du sexe de sa congénère comme tu l'écris si bien ,Eve et devant lui se trouve le semblable d'Adam . Je frissonne terriblement . Quelle beauté ambivalente . 

Et de fourvoiement total :

Citation :

Elle voulait le voir ployer sous sa caresse, se tordre de désir, prisonnier de ce membre dans sa main ! Qu'il perde raison, tout entier enchainé par les élans de ce sang fluctuant violemment le long de sa verge. Qu'il ne soit plus rien qu'un corps électrisé à la merci de son regard de glace.

Esclave.

Asservi par le désir.

Se pouvait-il qu'elle chercha ainsi à se venger ? A se moquer de la Nature et de ses choix impies ? Un tremblement plus violent le secoua. Non, il n'avait plus le temps de réfléchir ! Il devait agir avant que…

Foutredieu ! Il se donne à elle dans toute son intégralité ,et elle ose lui faire mal ,alors qu'il subit depuis de nombreuses années ,encaisse et reste constant de nature . Toujours et encore et pourtant en lisant ce passage ,je n'arrive pas à lui en vouloir .
Il y a tellement de choses qu'elle ignore ,il lui manque juste la découverte du plaisir et se reposer sur quelqu'un et elle comprendra que un acte d'amour n'est pas domination ,soumission face à l'homme ,surtout quand celui face à vous est le plus sincère et le plus dévot qui puisse exister . 
Il l'aime , il veut lui montrer que faire l'amour ,c'est partager ,ne faire plus qu'un .


Un dernier passage qui fait encore monter l'attente crescendo et ou j'attribue tout un florilège de louanges et un gros coup de pied  :

Citation :

-Tout va bien Oscar, tout va bien…

Et alors que cela semblait impossible deux secondes plus tôt, la jeune femme se laissa lentement englober dans cette rassurante douceur, allant jusqu'à s'appuyer contre le torse solide de son Lieutenant.

-Laisse-toi faire maintenant, je t'en prie, laisse-moi te montrer…

Elle tourna légèrement la tête vers lui, incertaine et il capta aussitôt ses lèvres, les léchant du bout de la langue. Oscar replia ses jambes, la chaleur s'emparant à nouveau de son bas-ventre. Comment faisait-il pour être si tendre alors qu'elle venait proprement de le malmener ?

Comme s'il devinait ses pensées, il la serra un peu plus contre lui, embrassant l'arrête de son nez, ses paupières, son front, ses tempes, ses joues, le lobe de son oreille…

-Oscar, murmura-t-il, je sais que tu t'en moques, mais tu es belle. Très belle. Il ne te manque rien.

A la façon qu'il avait eu d'appuyer ces dernières mots, elle compris qu'il faisait allusion à sa douleur existentielle. A ce détail irréfutable qui aurait fait d'elle un homme, un vrai et qui à ses yeux lui était désespérément manquant.

"Toutes ces années, tu t'es imposée par tes seules forces, ton courage, tes valeurs. Non, Oscar, il ne te manque vraiment rien, si ce n'est un peu de chaleur…"

Il l'embrassa tendrement.

…Un peu de douceur...

Sa main ramena délicatement une boucle blonde derrière son oreille nacrée.

…Un peu de désir…

Ses doigts effleurèrent son entrejambe, la faisant frémir.

…Un peu de passion…

Sa bouche s'abaissa au niveau de sa poitrine et baisa délicatement la pointe de son sein. Elle retint son souffle.

-Oh oui, tu es belle, murmura t'il de sa voix grave. Si belle quand la fièvre te monte aux joues et que ton regard se trouble.

Il prit son visage dans ses deux mains, comme s'il s'agissait d'un trésor inestimable.

"Oscar, écoute-moi, tu es entière, pleine d'une force de vie incroyable, il ne te manque rien, la Nature t'as fait parfaite. Et je vais te montrer, si tu le veux, combien tu es majestueusement femme. "

-…Girodelle…

-Oscar, tu as découvert que tu pouvais me dominer, avec des caresses et ton regard d'azur comme seules armes, mais je te prie de me laisser faire maintenant, et tu apprendras qu'un corps à corps, cela peut-être quelque chose d'infiniment plus doux et plus tendre qu'une question de suprématie. Je te respecte Oscar, je ne chercherai pas à t'abaisser, à prendre un hypothétique pouvoir sur toi, sous prétexte que mon sexe est différent du tien. Tu as la plus belle et la plus douce fleur du monde entre les jambes, Oscar, et elle ne se laissera jamais flétrir par aucun homme.. Si tu m'accueilles en toi, je le prendrais comme un immense honneur et non pas comme une soumission de ta part. Est-ce que tu comprends cela ?

-…Je…

Ses paupières battirent comme les ailes fragiles d'un papillon. Son regard était embué.

Lentement, sa main vint toucher la joue de son Lieutenant.

"je crois… oui."

Pourquoi tu me martyrises ainsi ? Pourquoi je trouve ces deux là si adorables dans un moment pareil ? Pourquoi j'ai envie de passer le couteau sous la gorge à Oscar par jalousie , de profiter d'un tel ange magnifique , avec comme seule arme ses sentiments ,ils en a tellement qu'il ne l'abandonnera jamais. Car il veut encore et toujours lui prouver la créature magnifique qu'elle est . Qu'il est foutu ,qu'il ne peut plus voir l'homme prétendu devant la chrysalide du papillon .
Et elle aussi elle est foute , elle est conquise par lui . 
C'est l'incendie en eux , tout le désir insinué en eux , ça irradie dans leurs comportements , ils s'attirent comme des aimants mais se repoussent à se comprendre réellement .

Il est tombé amoureux d'elle , elle aussi .

Elle aussi l'aime , j'en suis sûre ,j'en mettrai mes cheveux sur le feu , mais elle n'en a pas encore conscience . 

Et tu es tellement infâme que tu coupes encore le moment ou la fusion des corps aura lieu ,ou la femme commencera la fêlure à travers l'apparente carapace d'homme . 



Oui Loup tu m'as faite vraiment vibré du début jusqu'à la fin du chapitre . 

J'adore en superpuissance ton Oscar et ton Girodelle , ils ne sont pas comme les miens non plus . Tu te démarques superbement , avec ta plume fraîche , rustre , crue quelques fois ,mais terriblement ,agréablement juste. 

Tes personnages sont prodigieusement superbes   :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh: :mmlkjh:



Tu mérites bien l'appellation de ficwritteuse à la corde audacieuse et talentueuse . 
Je t'applaudis , je frémis encore et toujours d'impatience de lire la suite .

Je te suivrai jusqu'au bout de l'aventure

Oscar ne change pas meme dans ces moments la elle veut tout controler, Girodelle a eu une hesitation puis ajoute de la douceur, ce qui a pour effet de permettte a Oscar de de laisser aller. Joli chapitre.

Héhé!! Bien trouvé l'idée de la barbe de Romuald!! (oui j'en suis que là! *sifflote*)

J'ai trouvé une technique pour lire cette fic, je bascule tout en Word, je fais quelques modif du style rechercher et remplacer Gigi par Dede et ta fic devient plus cool 

J'ai bien aimé cette scène ou Oscar cherche à dominer même si elle ne maîtrise pas, un Jarjayes ne doit pas perdre la face. J'aurais bien aimé voir le feu d'artifice précoce de ton acteur principal.

La technique du rechercher remplacer...
Diabolique ma chère je vous félicite!

Lol.


Sauf que son Dédé il se retrouve avec des belles boucles cendrées et un regard hypnotique gris !

*Loup sort la tête des fourrés*

Quoi ? C'est quoi ce bazard ?!

Oscar qui se tape André avec une perruque ? Hé ho, c'était pas le concept initial là ! Je suis pour l'humour, mais là ça me donne des sueurs froides (la perruque qui glisse dans le feu de l'action et aaaarglh).

(Lia, merci infinimment pour ton looong commentaires, j'en ai eu la larmichette à l'oeil (si si) Je te répondrais plus longuement, promis.) Merci aussi à Tigresse, Ushi de Bray, et notre incorrigible Jarjayes80.

Silène a écrit:

Lol.


Sauf que son Dédé il se retrouve avec des belles boucles cendrées et un regard hypnotique gris !

Facile tu remplaces les mots gris par vert etc... Bon j'avoue c'est un peu fastidieux mais ça peut vouloir le coup ...

Sabotage ? Oui oui

Oh que l'idée est tentante!

Lia a écrit:

Oh que l'idée est tentante!

Oh hey namého je te vois venir, ça ne marche que dans un sens!
Brevet déposé ! XD

Loup a écrit:

Je suis ravie de partager avec vous une nouvelle création de la part d'Aurore F !  
Je la trouve vraiment superbe et collant parfaitement avec l'atmosphère que j'ai tenté de dépeindre dans cette fanfiction.
Merci beaucoup Aurore  et merci à toutes celles et ceux qui m'ont laissé des commentaires tout au long de cette histoire et m'ont encouragé.
Ça me touche beaucoup.

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en fait, le dessin de base représente Julius et Klaus d'"Orpheus no mado"

caliente .Inchangee, Oscar tient a dominer la situation.

Je ne sais pas quoi dire.... Si ce n'est que j'ai passé un délicieux moment.... J'adore tes personnages, ta façon d'écrire et l'histoire en elle même est passionnante... Pour faire cours, j'attend avec beaucoup d'impatience la suite.... Merci à toi Loup de nous faire rêver....

Oulah, en plus d'avoir pris du retard dans la publication, j'ai pris du retard dans les commentaires ! Je suis vraiment désolé !

Merci beaucoup Tigresse, Comtesse et Laety pour vos messages !
Laety, je suis vraiment très très touché par ton commentaire, je suis émue de savoir que cette fic te plaît ainsi ! Merci...

Enfinininin! LA fin... On la voulait toutes, on se doutait qu'il n'allait pas sortir de la chambre avant de l'avoir "brûlée" cet incendiaire au dos musclé...

Loup a écrit:

Des étoiles dans les yeux. Des étoiles dans la peau, crépitant, tombant en fusion, répandant leur chaleur dorée sur eux, en eux dans un délice sans mots.

Un petit clin d'oeil à la nuit aux lucioles peut-être?

Je suis de nouveau bouche bée et follement jalouse de si belle prose. 

Merci, merci...

J'en ai laissé refoidir mon poulet sur son assiette...

Oscar1965 a écrit:

Maintenant, tu n'as pas un Titanic à faire couler, toi? je dis ça comme ça...

...et m***rde... moi qui croyait pouvoir filer en douce, je vois qu'on m'attendais au tournant !
(il y a quoi avec le poulet ? *Loup lorgne vers l'assiette d'Oscar1965)


Blague à part, merci tout pleins, tu as fais partie de mes lectrices les plus fidèles, et je suis ravie que cette "fin" te convienne. Merci merci !

Y'avait du riz basmati à la lime (merci chéri qui le réussit si bien) et un petit rosé bien frais (lui, je ne l'ai pas laissé réchauffer, cela accompagnait trop bien tes scènes enivrantes )

Super histoire bien écrite. J'ai adoré. Grace à ta prose tu as su me faire aprécier  Girodelle sur un meilleur angle. J'ai hâte de lire d'autres histoires de ton cru. 

Aurore et Angelanthea06, merci d'être passées par ici  


Angelanthea06 ravie d'avoir pu te donner une autre image de ce cher Girodelle. Comme on en a souvent disserté ici, c'est un personnage très intéressant pour les fics, car on peut en tirer le meilleur (faisons un peu de pub pour Silène et Krapagnou... ) ou le pire (coucou Comtesse du Blabla !   ).
Personnellement je ne l'aimais pas du tout au départ (comment ça je ne suis pas crédible ? Comme quoi on peut revenir de loin !) et puis de fil en aiguille, des fanfictions m'ont montré les aspects émouvants (voir séduisant ) de sa personne. L'imagination a fait le reste !

Chère Aurore,  je suis contente que tu ais souligné ce passage des "doutes"... le bad trip après l'envol au paradis... j'ai hésité longuement sur ça, j'avais peur de tout plomber, et en même temps je me suis dis que c'est souvent ça qui te prends au saut du pieux, après ce genre "d'accident"... tu te dis "...et après ?" Or, pour les deux héros, d'un côté et de l'autre, la question est épineuse, pour tout un tas de raisons. Je n'ai moi-même pas vraiment élucidé la réponse, et c'est pour ça que je pense qu'une suite est possible. Un jour. Peut-être.

Une très belle fin pour un couple qui s'est cherché pendant plusieurs chap. (et trouvé). Gigi est un grand seigneur et ne pense qu'au bonheur de sa belle, malgré sa peur de la perdre, mais que nenni monsieur, la colonelle est tombée sous le charme de son lieutenant et de son art amoureux 

Merci beaucoup Cath  

:Star: :Star: :Star:

Whouhou! La suite ! J'ai vu ça ce matin, mais le matin je n'ai pas trop le temps en général... Donc je voulais attendre ce soir, de me poser tranquille pour déguster cette fic comme un macaron Ladurée...

Loup a écrit:

-Mon Ange, veux-tu que j'éteignes les bougies ?

Elle le regarda, chavirée. Girodelle comprit qu'elle n'avait pas saisit ce qu'il avait dit. Il cessa un instant la caresse entre ses jambes et l'embrassa au coin des lèvres. Bon sang ! Il ne comptait plus les baisers qu'il avait déjà déposé sur sa bouche délicieuse comme autant d'offrandes sur l'autel de sa divinité ! En tout cas cela ne risquait pas de s'arranger si elle continuait à le dévisager ainsi de ses grands yeux enflammés.

:mmlkjh:

Loup a écrit:

Il revint auprès d'elle, sa voix au creux de son oreille.

-Commandant ?

-Je… je désa..prouve totalement !

-Je vois ça… répondit Victor, amusé, tandis qu'Oscar laissait échapper un soupir extatique.

-Vous… je vous… déteste...

-Dois-je le prendre comme une déclaration, très chère Oscar ?

-…oh oui…

Jusqu'au bout de mauvaise foi ! Incroyable !!! :khyuyaaq:

Loup a écrit:

Solaire, l'Ange de Versailles, avec sa chevelure éparpillée sur l'oreiller, son bras valide raccroché au cou de son Lieutenant. Ses jambes écartées pour l'accueillir au plus profond d'elle-même.
L'enfer et le Paradis entrelacés dans un seul corps, Oscar décidément cumulait les dualités.

Sublime !

Loup a écrit:

-Ça va aller mon Ange, détends-toi, ça va a… mmh...

Il l'embrassa pour étouffer son frémissement de plaisir, et approfondit son mouvement. Leurs respirations se mêlèrent l'une à l'autre, s'affolant ensemble tandis qu'Oscar se mettait à imiter le mouvement de son partenaire.
S'accélérant.
Des étoiles dans les yeux. Des étoiles dans la peau, crépitant, tombant en fusion, répandant leur chaleur dorée sur eux, en eux dans un délice sans mots.
Des sensations puissantes, torrentielles, volcaniques. De l'excitation à l'état brut.

Comme il est attentionné.
Et quelle belle description !

Loup a écrit:

Dans un dernier réflexe de lucidité, il s'était retiré d'elle et avait juste eut le temps de lui tourner le dos avant que son plaisir à lui ne se libère à son tour.

Ce n'était pas vraiment glorieux à ses yeux, mais s'il n'avait pu se retenir de jouir -et comment aurait-il pu, face à elle ?- il ne voulait en aucun cas lui faire encourir le moindre risque. Il préférait encore souiller la couverture.

Je n'avais encore jamais vu ça dans une fic, c'est quelquechose de plausible, mais vraiment pas facile à écrire je pense, ça casse un peu le romantisme, mais encore une fois plus réaliste.

Loup a écrit:

"J'ai peur" songea t-il soudain, le nez dans les replis du drap. "J'ai peur de tes mots ma toute belle, j'ai peur de ce que tu vas dire, de cette porte que tu vas me montrer.
J'ai peur… parce que… parce que je t'aime.
Parce-que je voudrais rester toujours auprès de toi et ne plus lâcher ta main… parce que je me suis condamné tout seul dans le bleu de ton regard.
Oscar… je t'en supplie…
Oscar, je ne veux pas retourner dans la froideur de l'ombre ! Laisse-moi me consumer encore dans les flammes de ton âme et de ton corps… Oh Oscar…"

Geeeez quelle déclaration ! :mmlkjh:

Loup a écrit:

C'en était trop. Trop d'émotions, trop d'absurdité… il lui avait prit sa virginité, avait finalement tout fait pour en arriver là, et c'était elle qui craignait qu'il s'arrache à elle, à cette nuit irréelle, pour retourner dans une polie et froide indifférence ?! Alors qu'il songeait exactement à la réciproque ? Que c'était typiquement l'attitude qu'aurait du endosser son fier Commandant vis à vis de ce… de cet égarement ?!
Le monde n'en finissait pas de tourner à l'envers.
Il en aurait presque éclaté de rire, d'un rire frisant le dissonant tant il était mue par une avalanche d'émotions sans dessus dessous.

Je sais que leur situation est compliquée, mais POURQUOI se poser tant de questions ???

Loup a écrit:

-Cette nuit et toutes celles que tu voudras répondit-il avec feu, les yeux scintillants à nouveau comme deux astres polaires dans l'encre de la nuit.
Réanimés.

Effrayant de constater comme elle avait sur lui pouvoir de vie et de mort, en quelques mots, en quelques gestes.
Il l'avait déjà plus ou moins compris auparavant, mais à présent cela lui sautait pleinement à la gorge.
Il était enchaîné.
Esclave de son âme, de son corps, de son esprit.
Esclave de l'Archange de la guerre.

Mais Dieu, pourquoi donc cette belle jeune noble avait-elle du un jour grandir en uniforme, lui apportant sur un plateau le vice et la vertu étroitement enlacés en un fruit auquel il lui était impossible de résister ?


Ignorant ses tourments, Oscar soupira d'aise tandis qu'il laissait retomber sa tête dans le creux de son épaule, baisant sa peau comme s'il s'agissait d'une relique sacrée. Vaincu.

La jeune militaire se sentait à nouveau emplie de cette douce quiétude. Enfin ! Enfin elle pouvait s'abandonner, pour quelques heures… avec pour seul témoin la lumière de la lune se coulant tranquillement entre les rideaux.
Tout était si calme, maintenant.
Et Victor qui la serrait tendrement contre son coeur, mêlant sa respiration à la sienne, gardien de sa nuit.
Avait-elle connu un jour un tel apaisement ?


Girodelle regarda les yeux de son Commandant doucement se fermer, vaincu par tant de fatigues, de combats intérieurs durement menés. Et elle était là, tout contre lui, confiante, elle s'endormait.
Animal sauvage et magnifique, dans le creux de ses bras. Indomptable. Fragile et si fort à la fois.
Ses boucles blondes caressant la pâleur de sa peau, exhalant une odeur si particulière, son odeur à elle.
Il baisa son front, son nez, ses joues, sa bouche, dans un recueillement que le plus dévot des chrétiens n'aurait pas su égaler.

Puis il resta auprès de ses lèvres, buvant son souffle comme l'eau pure d'une source de montagne.
Alors avec la pâle lueur de la Lune pour seule témoin, Girodelle prêta serment.
Lui, le mécréant, signerait le pacte que le Diable et Dieu lui tendaient d'une seule et même main.


Il la chérirait,

et ce,

jusqu'à en devenir aveugle de l'avoir trop contemplé

je passe ma vie à dire que c'est beau et à citer le texte... C'est très constructif.... -__________- Désolée
Mais c'est vrai, c'est beau sans être mièvre, il y a des passages comme le coup du "retrait" ou des pensées tortueuses qui cassent un peu le romantisme, mais qui ajoute du réalisme et de la complexité au personnages.

En tous cas bravo quel tour de force de me faire "fantasmer" sur Girodelle -_______-
Et je n'oublie pas qu'à la base cette fic est dédiée à moi et à mon chat que même qu'on avait passé Noël toutes seules :khyuyaaq:

Loup a écrit:

Comme on en a souvent disserté ici, c'est un personnage très intéressant pour les fics, car on peut en tirer le meilleur (faisons un peu de pub pour Silène et Krapagnou... ) ou le pire (coucou Comtesse du Blabla !   ).

Ouah Comtesse, ton commentaire c'était mieux qu'un macaron pour moi, je dirais même un moelleux fondant au chocolat avec de la cannelle dessus   (et pas de céleri rassure-toi, je n'irais pas jusque là.) 



et oui, par contre, tu as cité presque tout le chapitre là, non ?!

Ça me fait vraiment très très très plaisir ce que tu en dis, j'ai eu peur de tomber dans le pathos (okay, oui , je me doutais que tu leurs reprocherais d'être trop compliqué, même moi je l'ai pensé ) et dans le niais... et en même temps, bon voilà, c'est une fiction, une romance peut-on dire, et en même temps je voulais être un tantinet réaliste quand même.
J'ai repensé avec émotion à l'époque où j'étais encore un louveteau pur et innocent (si ! Cette époque a existé. Enfin je crois. Il y a longtemps... enfin je ne m'en rappelle pas, mais bref on s'en fout) et que je me suis dévergondée en lisant mes premières... fanfictions (et Sade aussi, mais passons le sujet.) Disons, qu'avec la pratique, j'ai vite compris que la vie n'était pas exactement conçue comme une fanfiction (dieu merci d'ailleurs) mais je souris en songeant que ça peut parfois filer... quelques idées, ou quelques connaissances sur des sujets et d'autres aux lectrices...  
Et donc j'ai pensé que quelque part j'avais envie de contribuer à ça aussi, même si je doute fort avoir des lectrices à instruire sur quoi que ce soit, étant moi-même parmi les benjamines de ce forum.
Bref.
Toute cette tartine pour dire que le choix de parler de Victor qui... ma foi, se rappe le nez (et autre chose) sur la couverture, ce n'était... pas anodin. Voilà.
Une façon certes pas très glamour de retourner pieds sur terre, et de rappeler que les romances, les désirs tout ça, oui oui, mais il y a aussi des petits détails pas vraiment négligeables dans l'histoire. Comme se retrouver en cloque par exemple. Je ne sais pas vous, mais moi j'ai du mal à caser ça en mode "détail" d'ailleurs. Et puis mince, ils sont beaux comme des dieux, à faire tourner de l'oeil toute la cour de Versailles, mais malgré ça, ils peuvent tout de même pas être glamour à 100%, 24h sur 24h non ?? Sinon c'est qu'il y a arnaque sur la marchandise, on nous a filé des modèles en plastique ! Et puis.. et puis ce sont les défauts qui réhaussent toute la beauté, les failures qui rendent fou amoureux non ?
(oulah, je m'emballe un peu là)

*Hum* Loup se cache derrière sa serviette, histoire d'effacer le barbouillage de chocolat sur ses moustaches.

Encore une fois merci très chère Comtesse, pour le commentaire-moelleux et parce-que j'ai toujours plaisir à te voir passer sur les sentiers du forum

Quel choc cosmique ...

Avant tout ma très chère Loup je voulais te remercier de m'avoir mis à disposition un si beau navire et de m'avoir fait embarquer dans cette histoire jusqu'au bout . Tu l'as superbement bien défendu . Il faut le dire. Tu es une passionnée ,tu es quelqu'un qui s'investit à fond dans ses écrits , et permets moi d'ajouter que tu es quelqu'un de très agréable , à l'esprit hyper farfelu , dans les idées et le contenu . Tout le monde est unanime ( t'arrives même à faire ''fantasmer '' une Andrénette endurcie sur Gigi) ,il n'y a pas un problème par hasard ? Si , je dirai de talent , tu en as à l'infini .

J'ai un petit pincement au cœur , c'est la fin de cette histoire qui a duré quelques chapitres , un affrontement entre deux personnalités que tout oppose , et ils sont finalement réunis , Oscar semble s'accepter à part entière , et Girodelle ,il dépasse tout . Je l'adore totalement , je suis redevenue béate et admirative de lui (j'ai eu peur que mon fanatisme me quitte à un moment  )

Je vais détailler encore plus que la longueur d'un fameux paquebot dont il me semble tu avais commencé quelque chose de délicieux à souhait


Il y a des passages qui m'ont marqué dans ce dernier chapitre :

Loup a écrit:

"J'ai peur" songea t-il soudain, le nez dans les replis du drap. "J'ai peur de tes mots ma toute belle, j'ai peur de ce que tu vas dire, de cette porte que tu vas me montrer.
J'ai peur… parce que… parce que je t'aime.
Parce-que je voudrais rester toujours auprès de toi et ne plus lâcher ta main… parce que je me suis condamné tout seul dans le bleu de ton regard.
Oscar… je t'en supplie…
Oscar, je ne veux pas retourner dans la froideur de l'ombre ! Laisse-moi me consumer encore dans les flammes de ton âme et de ton corps… Oh Oscar…"

Je ne vais certainement pas commenter dans l'ordre du chapitre . Tu vois ce que tu as écris ,c'est une pépite ,une déclaration sublime , sensible ,tellement Girodellesque . C'est désarmant le regard que tu peux avoir , moi j'adore ces déclarations écrites de la sorte , avec un tel magnétisme , une touche de réalité . Elle ne fait pas cucu la praline , du tout je te l'assure . Moi en la lisant j'ai fondu comme une guimauve grillée au feu de bois ,Victor me fait ressortir mon petit côté fleur bleue (que je déteste ). Les yeux d'Oscar sont une arme de séduction redoutable . Il est désarmé le lieutenant incendiaire face à leur pouvoir .

Loup a écrit:

Effrayant de constater comme elle avait sur lui pouvoir de vie et de mort, en quelques mots, en quelques gestes.
Il l'avait déjà plus ou moins compris auparavant, mais à présent cela lui sautait pleinement à la gorge.
Il était enchaîné.
Esclave de son âme, de son corps, de son esprit.
Esclave de l'Archange de la guerre.

J'ai l'écho qui me parvient , ce passage est magnifique en symboliques , je suis estomaquée par la recherche dont tu fais preuve , ''Esclave de l'Archange de la guerre '' (ma phrase préférée sans contexte ) . La tu n'es pas farfelue ,tu es ingénue , extrêmement fine et subtile .

Loup a écrit:

Girodelle regarda les yeux de son Commandant doucement se fermer, vaincu par tant de fatigues, de combats intérieurs durement menés. Et elle était là, tout contre lui, confiante, elle s'endormait.
Animal sauvage et magnifique, dans le creux de ses bras. Indomptable. Fragile et si fort à la fois.
Ses boucles blondes caressant la pâleur de sa peau, exhalant une odeur si particulière, son odeur à elle.
Il baisa son front, son nez, ses joues, sa bouche, dans un recueillement que le plus dévot des chrétiens n'aurait pas su égaler.

Puis il resta auprès de ses lèvres, buvant son souffle comme l'eau pure d'une source de montagne.
Alors avec la pâle lueur de la Lune pour seule témoin, Girodelle prêta serment.
Lui, le mécréant, signerait le pacte que le Diable et Dieu lui tendaient d'une seule et même main.


Il la chérirait,

et ce,

jusqu'à en devenir aveugle de l'avoir trop contemplé

Ils resteront ensemble ,j'en suis convaincue . Elle ne lui dit pas les mots si universels ,mais il doit certainement avoir compris que cette femme qui est éveillé grâce à son contact ,est folle de lui . Ils sont si ... beaux ...
Quelle manière de signifier qu'il dépose sa vie à ses pieds  , et que cette rose a le plus valeureux des protecteurs pour le reste de sa vie .

C'est époustouflant .

Petite note : Rendre aussi ton récit plus humain avec les conséquences de la perte de la virginité , ce ''retrait '' de Victor qui est un homme et on sait ce qui se passe généralement , surtout au XVIII ème siècle (une grossesse ) , préserver l'intégrité de son ange ,encore une belle manière de montrer en Victor le soucieux qu'il est de tout . Une cassure avec de petits défauts , bien parsemés par tes pattes de loupiot . Car ils sont avant tout des humains ,animés par des désirs .


Voilà j'en ai fini ...
Ce chapitre est très gracieux ,aérien. Il est magnifique par ce qu'il dégage .

Un beau tour de force de ta part , Oscar & Girodelle sont brillants à souhait , toujours autant complexes , on a pas fini de les réinventer ,les innover .


Le clap de fin est enclenché , mais nous n'en avons pas fini avec eux ,j'en suis persuadée ...

Loup est une source inépuisable , que je remercie du fond du cœur d'avoir consacré autant d'imagination sur le lieutenant bouclé de la Garde Royale et son Colonel qui a changé complètement d'avis sur lui

Lia, pour commencer cette réponse, je vais me permettre de reprendre ta première phase :

"Quel choc cosmique ..."


Car oui, quel choc ton commentaire !
J'en suis restée étranglée devant mon ordinateur, et je n'ai pas de miroir sous la main pour vérifier la chose, mais je crois pouvoir affirmer que je suis plus rouge qu'une tomate trop mûre.

*Quelqu'un aurait un mouchoir ? Je crois que je vais pleurer. Emue, moi ? Noooon, une allergie au pollen, sûrement...*

Merci infiniment pour ce message, pour tous les précédents d'ailleurs, pour ton soutien si solide. (Je cherche mes mots là, mais la vérité c'est que je suis un peu à court et que je ne sais pas où me mettre.   )

Que tu sois infidèle à Victor ne me paraît pas dramatique. Personnellement, je l'ai déjà dis, je mange à tous les râteliers, du moment que mon Oscar est dans le secteur.
Toutefois je suis heureuse de lui avoir relustré son blason auprès de toi. C'est un honneur, moi qui n'était pas une Girodellienne dans l'âme, d'avoir pu convaincre des lectrices comme toi ou Silène.

Sans parler de Comtesse, mouahaha   (et n'oublie pas Comtesse, que les choses ne font que commencer. Il y a une Silène qui m'attend depuis trois mois déjà pour achever de voler ton coeur à Grandier et Alain...)

et c'est maintenant qu'il realise qu'il peut la mettre enceinte,? il est un peu lent a la detente.
tres bon chapitre.

Ah Tigresse, que veux-tu, il y a nombre d'hommes en ce bas-monde que l'idée n'effleure même pas, avant ou après.
Et entre Oscar et Victor, je ne sais pas pourquoi mais j'ai tendance à penser qu'il y ai plus de chance pour que ce soit Girodelle qui réfléchisse à ce genre de conséquences. Oscar doit sûrement connaître toute l'histoire militaire du Royaume de France sur le bout des doigts, mais des cours sur la biologie féminine, et comment se préserver pendant un rapport, je pense qu'on a omis de lui en faire un cours magistral. J'imagine que Victor se chargera d'y remédier, à l'occasion.

Merci d'être passée

Loup a écrit:

Ouah Comtesse, ton commentaire c'était mieux qu'un macaron pour moi, je dirais même un moelleux fondant au chocolat avec de la cannelle dessus   (et pas de céleri rassure-toi, je n'irais pas jusque là.) 

Ben...avec de la cannelle je sais pas trop Mais un jour j'ai mangé à l'insu de mon plein gré un macaron que je croyais à la violette et qui était à la lavande et au poivre (true story) je pense que ça ne peut pas être pire... Ah si, un macaron au réglisse ... Mais je digresse...

Loup a écrit:

et oui, par contre, tu as cité presque tout le chapitre là, non ?!

Mais c'est de te faute aussi! Tout est tellement bien ! :flower:

Loup a écrit:

(et Sade aussi, mais passons le sujet.)

Heu ouais, non merci

Loup a écrit:

Je ne sais pas vous, mais moi j'ai du mal à caser ça en mode "détail" d'ailleurs. Et puis mince, ils sont beaux comme des dieux, à faire tourner de l'oeil toute la cour de Versailles, mais malgré ça, ils peuvent tout de même pas être glamour à 100%, 24h sur 24h non ??

Pas de problème, ça n'était pas du tout un reproche ^^

Loup a écrit:

Sans parler de Comtesse, mouahaha Twisted Evil (et n'oublie pas Comtesse, que les choses ne font que commencer. Il y a une Silène qui m'attend depuis trois mois déjà pour achever de voler ton coeur à Grandier et Alain...)

Mais c'est fini oui ce harcèlement ???

Loup a écrit:

Encore une fois merci très chère Comtesse, pour le commentaire-moelleux et parce-que j'ai toujours plaisir à te voir passer sur les sentiers du forum Smile

La même ici

Et voilà, la fin ( ou pas selon ton inspiration, on ne sait jamais) snif, moi non plus je n' aime pas les fins.... C'est la fin d'une aventure et il faut faire son deuil... Mais bon c'est comme ça toute bonne histoire a une fin c' est dans l'ordre des choses... Merci à toi pour cette fic et peut être à bientôt?