"Dieu voulut résumer les charmes de la femme en un seul mais qui fut le plus essentiel et mit dans son regard tout l'infini du ciel".
F.Coppé

" Tout finit afin que tout recommence, Tout meurt afin que tout vive".
J.Henri Fabre

J'Adore MArina c'est vraiment très beauc ces deux dernières phrases ^^

surtout la dernière ^^

Je suis bie d accord c est vraiment magnifique

moi aussi je suis d'accord !!!

en voilà une autre aussi méditative que la dernière :

" Quand de vos traits la fraîcheur passagère
S'envolera sur les ailes du temps,
A la toilette empruntez l'art de plaire.
Mais, jusque-là, fuyez ces faux brillants;
Or et bijoux ne valent pas quinze ans."
M.Antoine DESAUGIERS

Jolies phrases :flower:

Ce texte n'est pas beau mais il est vraiment marquant ! donc remarquable ! Donc je vous le livre !

" Je me tue parce que vous ne m'avez pas aimé, parce que je ne vous ai pas aimés.
"Je me tue parce que nos rapports furent lâches, pour resserrer nos rapports
"Je laisserai sur vous une trace indélébile.
"Je sais bien qu'on vit mieux mort que vivant dans la mémoire de ceux qui sont vos amis.
"Vous ne pensiez pas à moi, eh bien, vous ne m'oublierez jamais."

P. Drieu la Rochelle




Celui-ci, en revanche, je l'aime beaucoup :

" Je vis le sceptre rayonnant de l'éclair
S'étendre et écrire dans le ciel
L'orthographe terrible de Dieu "

J.Hiller




Et pour finir sur de la poésie :

"Ruisselante encor du flot paternel,
Quand de la mer bleue Aphrodite éclose,
Etincela nue aux clartés du ciel,
La terre jalouse, enfanta la rose ;
Et l'Olympe entier,
D'un amour tranporté,
Salua la fleur avec la Beauté"

Leconte de Lisle - Odes anacréontiques-

ne cherche pas à te venger,assied toi au bord de la riviere te regarde passer le corps de ton ennemi,

oh ! elle est horrible cette phrase ! Je préfère tout faire pour ne pas avoir d'ennemis plutôt que me dire que j'obtiendrai vengeance même sans agir par moi-même. Le pardon ce n'est pas mieux ?

a propos de justice ( divine ou étatique) :
" Ne pouvant fortifier la justice, on a justifié la force"
B.Pascal

Ouaw ! Très belles citations !

Surtout celle de maria de J.Hiller ! J'ad0re !!!

Je n'ai pas de belles citations sous la main... mais vous pouvez lire ma signature :p C'est ma citation préférée

J'ai, en tête, Rabelais : "science sans conscience n'est que ruine de l'âme"

Ou celle du Général Carl von Clausewitz (je sais plus si c'est cet orthographe) qui disait "La guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens"
(=> Dédicace au Général de Jarjayes )

j'aime bien la spéciale dédicace au général de Jarjayes. Je plaisante les autres phrases aussi, en particulier celle sur la vengeance inutile.

En ce moment, j'aurais une phrase en tête : Don't explain, don't complain, just do it !

en souvenir des hommes tombés au front de 1915 à 1918, textes de soldats français mais nos hommages vont évidemment à tous les soldats de toutes les nations qui ont vécu les mêmes horreurs :

Le 22 février 1915

"Hier à 14h devait avoir lieu par 3 sections de mon régiment, l'attaque d'une tranchée allemande, pourvue de défenses accessoires fantastiques : une largeur d'une dizaine de mètres, sillonnée en tous sens comme une toile d'araignée de fils de fer barbelés et épais reliant entre eux d'énormes piquets de 1,75m de haut et constitués par des madriers de chemins de fer.
A 14h donc devait avoir lieu une canonnade intense assaut à la baïonnette de la tranchée allemande par notre artillerie pour faire filer les boches en même temps qu'un bombardement intense de ces réseaux de fils de fer formidables (séchoirs). A 14h30, fusée, cessation de l'artillerie, assaut à la baïonnette, victoire : comme tu le vois, c'est très simple sur le papier, mais hélas combien différent dans la réalité.
Donc à 14h, vive canonnade. tout tremble. A 14h30 le commandant de l'attaque lance une fusée signal pour faire cesser le feu de l'artillerie et permettre à nos poilus d'avancer. Mets-toi un instant dans la peau des officiers et des hommes qui vont partir.
Jusqu'à 14h, les hommes dorment tranquilles, couchés sur le ventre dans leurs tranchées, harassés qu'ils sont par plusieurs nuits de travail; ils ne se doutent de n'en. Un de leur capitaine disait : " Ils me font pitié, je n'ose pas les réveiller ". Cependant les 3 lieutenants commandant chacun une section à 200 m d'intervalle environ, savent depuis 1Oh ce qui va se passer et ils se promènent pensifs dans la tranchée. A quoi servira cette attaque se disent-ils; nous ne pourrons jamais arriver au but, car les réseaux de fils de fer nous en empêcheront et par suite nous sommes tous destinés à nous faire tuer sur place.. . Mais que faire ? l'ordre d attaquer est formel, il faut marcher. L'un d'eux avisant le téléphoniste de son secteur lui dit : " Passe-moi ton fusil et ton équipement, je veux faire le coup de feu avec mes hommes et comme eux; puis, voici 4 lettres d'adieux que tu enverras ce soir chez moi si tu peux t'en tirer " A deux heures, tous trois adressent quelques mots à leurs hommes pour les exhorter à marcher droit et vite et à sacrifier leur vie pour l'avenir de la France.
Cependant voyant plus clair que leurs hommes ils s'aperçoivent avec terreur qu'a 2 h 30 malgré la précision du tir de notre artillerie les fils de fer y sont toujours et sur la même profondeur d' une dizaine de mètres environ.
A ce moment la fusée signal est lancée par le commandant de l'attaque. Aussitôt, des trois points en question, chacun à sa place, les lieutenants, l'un revolver au poing, l'autre baïonnette au canon comme un soldat, s'élancent hors de la tranchée aux cris de : " Baïonnette au canon " " En avant " " A l'assaut " " Pour la France " et l'un d'entre eux entonne La Marseillaise accompagné de ses hommes... Des trois points les petits groupes s'avancent en criant et chantant baïonnette en avant, au pas de gymnastique vers la tranchée boche où ils doivent converger. Chaque groupe est ainsi constitué : un lieutenant, derrière lui, six sapeurs du génie, sans fusils, armés de boucliers d'une main, d'énormes cisailles de l'autre (pour couper les fils de fer). Derrière eux toute la section, et fermant la marche, six sapeurs portant des pelles et des pioches, pour travailler sitôt arrivés dans la tranchée à la défense de celle-ci.
C'est sublime " sublime " de voir cet élan enthousiaste chez des hommes assez âgés, en campagne depuis de longs mois et allant tomber volontairement (parce que c'est l ' ordre) dans les pièges qu'ils connaissent si bien et où ils ont laissé tant d'amis. Successivement, chacun des trois lieutenants tombe frappé mortellement à la tête : les hommes, tel un château de cartes dégringolent tour à tour; ils continuent tout de même : quelques uns arrivent jusqu'aux fils de fer : ils sont trop gros hélas! Leur sergent tombe, un autre aussi. Que faire ?... Avancer? Impossible! Reculer? : de même.. et, tandis que froidement, à 1 abri de leurs tranchées et de leurs boucliers les allemands visent et descendent chacune de ces cibles vivantes les hommes se couchent là, grattant la terre de leurs doigts pour amonceler un petit tas devant leur tête et tâcher ainsi de s'abriter contre les balles.
Voyant l'impossibilité d'avancer le commandant leur envoie un homme, agent de liaison pour leur dire de se replier en arrière dans leur tranchée : celui-ci en rampant à plat ventre arrive à transmettre l'ordre : " Pouvez-vous vous replier si c'est possible ? " Hélas! non, on ne peut ni avancer, ni reculer Il faut attendre la nuit.
A la nuit, je vais à B. pour aider mes collègues, les blessés arrivent peu à peu au nombre de 44. Les 3 lieutenants, dont le sous-préfet d'orange, ont été tués : ce dernier que j'ai reçu avait une balle dans le front . Admirable de stoïcisme, aucun blessé ne se plaint de son sort et de l 'inutilité de cette attaque au cours de laquelle il a été si affreusement mutilé. Que d'horribles blessures : l'un a le poumon qui sort et il ne se plaint pas, l'autre a des débris de cerveau sur son cou et ses épaules et il veut marcher ; l'un blessé à 3 endroits et reblessé pendant qu'on le transportait, se tournant vers moi pendant que je lui mettais un rapide appareil de fortune à sa jambe gauche cassée me dit simplement ceci : " Ce qu'il faut souffrir pour la France ". Je ne pus retenir mes larmes... Ce héros obscur est peut être mort à l'heure qu'il est, mais comme cette phrase si simple est grande et sublime dans la bouche d'un homme peu instruit et qui vient de Sacrifier sa vie à la fleur de l'âge. J'ai eu deux brancardiers tués et un blessé. Et ce matin à 5h30, je conduisais mes 3 derniers blessés sur la crête de X où il fallait absolument avoir passé avant le lever du jour J'ai eu juste le temps. Et à 7h 30, je rentrais à mon poste."

Maurice Antoine Martin-Laval médecin auxiliaire au 58e R.I.,

***

"Ici il circule des rumeurs graves, il paraîtrait que les civils commenceraient à ne plus tenir... J'admets très bien qu'ils soient astreints à de dures privations, je sais les souffrances qu'ils endurent, nous soldats nous avons le devoir de respecter tout leur héroïsme. Et quand pour mon déjeuner, je tranche une belle tartine de pain blanc, je ne puis m'empêcher de songer aux vieillards qui eux doivent se contenter de l'horrible pain kaka mais qui, animés du plus pur patriotisme et du sentiment de sacrifice et d'abnégation, lancent encore quand même leur fameux cri de guerre : " Courage, on les aura ! "
Il faudrait que tous les ouvriers de culture ne fassent plus rien et aussi ceux qui tournent les obus, c'est le petit ouvrier qui doit commencer à ne plus rien vouloir faire pour l'armée, autant de blés de semés, autant d'hommes resteront sur le front à se faire trouer la peau".

Soldat, 102e régiment d'artillerie lourde, IIe armée, 26 mai 1917

***

"Nous avons espéré un instant que les grèves ouvrières auraient pris les proportions que nous attendions mais les ouvriers se sont contentés d'une petite augmentation de salaire, et les voilà tous remis au travail : le massacre continuera".

Soldat, 26 mai 1917.

.

Très émouvant

Très intéressant, je suppose que ce sont des extraits des "paroles de poilus"?

Sinon, pas un citation, mais puisqu'on en parle, un conseil lecture "La musique consolatrice" De george Duhamel (paru en 1944p). George Duhamel a été médecin aux armés lors de la 1° GM et explique comment , dans des circonstances aussi abominables, la musique lui a véritablement suavé là vie en l'empêchant de sombrer dans la depression nerveuse.

Et un conseil film " La chambre des officiers", un film de François Dupeyron ( tiré dun roman que je n'ai pas lu, donc, je parlerais du film). Où il est question des gueules cassées. Un film absolument extraordinaire, qui fait ressentir l'expérience vécue de l'interieur d'un blessé de guerre. Pas gore du tout, pas de sang partout comme on pourrait craindre, mais c'est admirablement filmé et interprêté, et plein d'espoir ( contrairement au non moins admirable " Johnny s'en va en guerre" de Dalton Trumbo, qui n'est pas gore non plus mais beaucoup plus pessimiste)

Tu as raison Rosette adorée!

je reste très marquée par le renard du Petit Prince. Le fait que lorsque l'on "apprivoise" une personne que lui donne du temps qu'on lui ouvre notre coeur ne serait-ce qu'un peu, ou qu'elle nous ouvre le sien....on en devient fatalement responsable ^_____^

à quoi sa sert de se battre sans arrêt quand au final, les autres finissent toujours par détruire le peu que tu as battis?

Fais le bien et jette le à la mer!

"Non rien de rien, non je ne regrette rien. Ni le bien qu'on m'a fait ni le mal tout ça m'est bien égal [...] car ma vie, car mes joies, aujourd'hui, ça commence avec toi !" Edith Piaf (extrait d'une chanson que tout le monde aura reconnue ^^)

Eh oui...La Grande Piaf! :Star:
"Quand tu me prends dans tes bras...je vois la vie en rose"
toujours de la môme Piaf!
===============================
et puis "Une fleur, rien qu'une rose, que j'ai cueillie pour toi...
cette fleur et cette rose, elle te dira tant de choses.."

et "Tu es le soleil de ma vie...tu es le soleil de mes jours...
tu es le soleil de ma vie...tu es le soleil de l'amour...

et "Elle m'a dit d'aller là-haut sur la colline, de l'attendre avec un petit
bouquet d'églantines, j'ai été et j'ai attendu tant que j'ai pu..zaï zaï zaï zaï elle n'est jamais venue..." de Joe Dassin

et "Tu es une femme, une petite étoile qui brille dans le ciel...
et dans ma main...Adieu tous mes amis, je vous laisse Paris,
les meubles de mon studio, ma petite auto...
je vais tout là-haut...vers une femme.. une petite étoile
des grands chemins..." encore Joe Dassin l'inoubliable!

et "Dis-moi où est l'amour si tu es mon ami...dis-moi..
ouvre ta porte il était là...ouvre ta porte, il n'est plus là..."

et " Viens je t'enmène vers l'océan, viens je t'enmène sur mon bateau blanc...vers la lumière du soleil levant...
vient je t'enmène au gré du vent!"
et "Capri, c'est fini....
ouais c'est fini....THE END

Piaf était et restera géniale^^

Bon, je vous l'accorde, c'est pas une pensée profonde, mais c'est ce que j'ai dit en voyant ma tête fraichement sortie du photomaton sur papier brillant:

mouais, c'est toujours mieux que si c'était pire!

(j'aime pas les photomaton, surtout maintenant qu'il faut avoir l'air sinistre, déjà la carte d'identité, mais c'est uen vraie mode partout! comme si ça allait causer une catastrophe d'avoir l'air sympa sur sa carte de bus :/)

*HS ON

Mais oui ce serait une véritable catastrophe d'avoir l'air sympa sur sa carte de transports en commun : ça pourrait vouloir dire que tu aurais envie de parler aux gens dans le bus ou dans le métro. Tu te rends compte, une véritable épouvante ça pourrait créer une véritable panique dans le wagon

HS OFF*

*****

On va rester dans les chansons. Je ne sais plus si j'ai déjà mis cette phrase ou non, si c'est le cas, sorry pour le doublon : "Etre une femme sur la terre, c'est semer sans le savoir le début d'une histoire'' Nolwenn Leroy dans "Etre une femme" (sur son premier album).

purple velvet a écrit:

je suppose que ce sont des extraits des "paroles de poilus"?


Et un conseil film " La chambre des officiers", un film de François Dupeyron )

ah, j'ai oublié les références, tiens ! Les textes 1 et 2 oui, "paroles de poilus", l'autre vient des archives militaires de je ne sais plus d'où mais peut-être qu'on le retrouve dans "paroles de poilus ?"

J'ai vu la chambre des officiers, j'ai beaucoup aimé !

Rosette a écrit:

[center] Son Célèbre LE PETIT PRINCE

j'avais la cassette audio étant petite, elle est tellement passée qu'elle est toute rayée... je vais peut-être acheter le livre maintenant...


sinon, j'avais prévu d'autres phases mais puisqu'on est dans le thème chansons, voilà d'autres paroles que vous ne manquerez pas non plus de reconnaitre :

"Oui car c'est la dure loi de la vie
Que ceux qui s'aiment ne savent pas forcément
Que ceux qui s'aiment ne savent pas toujours en même temps
Oui l'amour est parfois triste comme une complainte

"Mais l'amour c'est ce qui donne du sel à la vie
Crois-moi l'ami, mieux vaut aimer sans retour que d'avoir le coeur sec comme une pierre
Car , vois-tu, aimer sans être aimé, c'est déjà de l'amour
Et cela prouve au moins que tu vis"

.L'Echo de Paris.

J'aime beaucoup ! Je le mettrais bien dans les répliques inoubliables de LO, même si ce n'est pas vraiment une réplique...

t'as raison, je me suis trompée de rubrique, je crois...

Bon, alors qu'est-ce que j'ai en pas LO...

" Le temps est la seule richesse dont on puisse être avare sans deshonneur"
Chauvot de Beauchène

" Le luxe est une affaire d'argent, l'élégance est une question d'éducation ! "
Je trouve cela bien vrai, M. Guitry !

"L'homme est plus dur que le fer, plus solide que le roc et plus fragile qu'une rose"
proverbe turc

"Toujours son souvenir a le même pouvoir et je n'ai qu'à femer les yeux pour la revoir"
F.Coppée

j'ai trouvé, Arlène !!! Voilà, pour te soutenir.
Citation pour aider également tous ceux qui en ont besoin, les jours où ils en ont besoin !

" J'aime bien le verbe " résister".
"Résister à ce qui nous emprisonne, aux préjugés, aux jugements hâtifs, à l'envie de juger, à tout ce qui est mauvbais en nous et ne demande qu'à s'exprimer;
"A l'envie d'abandonner, au besoin de se faire plaindre, (...), au détriment de l'autre, aux modes, aux ambitions malsaines, au désarroi ambiant.
"Résister... et sourire"

Emma Sancourt

Merci mille fois ! Je viens de la noter. Je crois que cette phrase m'aidera en effet. C'est très gentil d'avoir cherché. ça me touche beaucoup.

je t'en prie et puis j'avais l'impression de devoir m'excuser.

en voici une sur la communication:

" Je parle avec ma main, tu écoutes avec tes yeux et nous nous comprenons, n'est-ce pas, en un seul sourire."
Shitao

Et Beaumarchais :

" Aux vertus qu'on exige d'un domestique, Votre Excellence connait-elle beaucoup de maîtrs qui fussent dignes d'être valets ?"
Le mariage de Figaro

Arlène avait bien raison quand elle m’annonçait que je trouverai plein de mots sur ce forum ! Je n’ai pas encore lu toutes les citations mais j’aime cette diversité et cette richesse qui vont, je le sens, me donner envie de découvrir certains auteurs.

Ma contribution du jour , découverte il y a peu, et que je trouve étonnamment moderne pour son âge. Si je connais son auteur, j’ignore malheureusement de quel ouvrage elle est extraite. Si quelqu'un sait…

« Tu me dis, j’oublie.
Tu m’apprends, je me souviens.
Tu m’impliques, j’apprends. »
Benjamin Franklin, 1706-1790
(Oscar l’a sûrement rencontré, il est venu à la Cour de Versailles !)

"Les vrais regards d'amour sont ceux qui vous espèrent" Baudiquely

ps) c'est la phrase d'accueil sur mon téléphone portable !!

" des yeux échangent leurs regards et des êtrs existent" proverbe chinois

"les événement ont ceci de commun avec les oies qu'ils vont en troupe" Léon Bloy

"la vie devient une chose délicieuse dès qu'on décide de ne plus la prendre au sérieux" H. de Montherlant

« Nous sommes maîtres de notre destin, car nous devons vivres avec les conséquences des décisions que nous prenons, qu'elles nous apporte le bien, ou le mal... » de moi

C'est tellement vrai
perso je suis desolee mais je suis a sec de phrases
j ai deja eu du mal pour mes creas

merci petite soeur ^^

G sortit sa a une amie hier et jtrouvais sa bien alors lai aprtagé
mais jsuis assez a sec aussi généralement sinon lolllll