Il est des moments où les mots mal choisis transorment une noirceur en immonde torture... Grâce aux tiens cependant les lecteurs que nous sommes ne peuvent pas subir le calvaire de Thomas Cromwell: car ce moment dangereux entre mille, déchirant et si beau, tu nous le redonne dans toute sa beauté, dans tout son espoir, dans toute sa tristesse... Je ne peux rien te dire d'autre Zalzal, sinon de continuer à déchirer nos coeurs t à les faire aimer le calvaire de nos héros nous nous espérons tous qu'il débouche sur le bonheur...

on a le coeur qui bat, il va céder on veut qu il cède qu il la regarde qu il lui parle qu il lui dise qu il l aime, enfin tout mais pas l indifférence pas cette auto censure qu il s impose...... et non est ce cette unique larme qui lui fait échapper ce "Oscar" comme une clé il ouvre le trésor démotion que retient la femme qu il aime et enfin oui enfin il la retrouve, son coeur se gonfle à nouveau ses poumons se gorge d air, il revit oui il revit. Leur destin est lié leur vie est lié leurs chemins ne font qu un.
Horizon funeste, épée de Damoclès sur leur tête certes, mais enfin un rayon de lumière les dirige comme un fil d Ariane pour se guider sur leur chemin.

Il s'était pourtant préparé à cette entrevue; il a feint l'indifférence pendant qq instants qui paraissaient durer une éternité pour tous les deux. Mais la fine larme a eu raison de ses efforts surhumains. Mais va-t-il avoir le courage de tout lui raconter en détail ?

Merci à vous trois, Sudena, Amber et Liberta :flower:

Certaines questions restent cependant à élucider, mais l'instant des retrouvailles ne s'y prêtait pas

Enfin Oscar et Andrè se sont retrouvés...
Au début, à cause des menaces du général, André cherche de feindre indifférence, mais une unique larme échappée des yeux d'Oscar il lui suffit pour le faire céder et baisant sa main il recommence à vivre ...
C'est vrai, en ce moment les paroles ètaient superflues...

Merci Rudyjak ! Contente que tu aies perçu les choses comme moi, à savoir que nuls mots n'auraient pu transmettre leurs émotions du moment. :silent:

Ah ben ! Pour une fois que ça ne me prend pas une éternité pour vous pondre une suite ! Je suis presque fière de moi
Néanmoins, voici un nouveau chapitre...tout chaud... Vous comprendrez...

Bonne lecture

Les bouches se taisent pour laisser parler leur corps. La peur la douleur la tristesse éprouvée dernièrement leur procure le besoin de se retrouver totalement, de retrouver le gout de l autre, d effacer par cet acte tous ces mois de souffrance. Ils s 'aiment, leur corps s appellent. Ils ont besoin de renaitre de se sentir enfin revivre de gouter cet espoir qui enfin n en est plus un mais s est enfin materialisé.


on les sent à présent unis, inséparables, souder comme jamais,comme si les derniers évènements enfin avoués n auront fait que les coller l un à l autre, ensemble on les sent invincibles.Ils s aiment c est tout ce qui compte, viendra plutard le tps des questions et des décisions.
Mais à présent qu oscar sait, va t elle laisser son père impunie pr son acte, ou va t elle savourer une vegeance froide et amer.
Va t elle forcer son père d une façon ou d une autre à accepter leur union ou vont ils préférer partir pr enfin vivre librement?

et oui un gd bravo pr cette suite écrite avec autant de rapidité

attention on risque de devenir exigeant mais bientot les grandes vacances tes diables d élèves et tes devoirs te laisseront un peu de répis à notre plus gd plaisir....

Citation :

Sara: Mon Dieu ! Tu as dû être déçue que ma fic se termine en queue de poisson !
Effectivement...il y avait d'autres chapitres

Hum oui bon on se moque pas! C'est la fatigue ...

En effet il y a donc, de nouveaux chapitres, et même de très bon chapitres.

Moment inévitable des retrouvailles qui respire la passion. Ils se sont cru éloigné à jamais, en effet, le fait de se retrouver bel et bien vivant, surtout pour Oscar, évite les phrases superflues... Inutile en effet de penser à cette question dénuée de sens à ce moment précit " et après?". Après on s'en fiche. Ils sont là, tout les deux, déjà retrouvons-nous comme il se doit, et profitons. L'amour, la passion, et l'appel du corps les réunissent, enfin, après cette période d'éloignement, aussi dure pour l'un que pour l'autre.

Mais bon, si cette question à été superflue au départ, il faut bien qu'elle arrive un jour... Et après? Que va t-il se passer?

pourquoi penser pour l'instant à l'avenir laissons les se redécouvrir,se retrouver et s'aimer enfin sans "soucis" pour l’instant les ennuis viendront bien assez tôt.

Tellement beau, tellement touchant, tou rytme est de plus merveilleux avec ces mots uniques composant parfois les paragraphes clefs: c'est un BONHEUR! Mais te connaissant je sens que les souffrances vont reprendre... Néanmoins je veux croire qu'ils sont assez fort désormais pour tout supporter quoique je redoute ta généreuse cruauté ...

Que vas-t-il leur arriver???

Voilà des retrouvailles chaleureuses !!!

J'espère quand même que personne ne les aura entendus.

des retrouvailles comme je les aime !, passionnées, intenses et sans bavardage inutile ...
Le mystère élucidé, comment vont-ils détourner la malédiction fomentée pour les tenir éloignés l'un de l'autre. Je sens déjà tes méninges surchauffer Zalzal

« - Que c’est beau l’effusion de cet amour que deux amants croyaient disparus. La passion, cette lave volcanique sournoise qui incombe les désirs de la chair, soumet André et Oscar non au silence, mais aux caresses de se retrouver par le biais de deux corps enflammés. C’est magnifique. Subtilement décrit. Raffiné sur les points à clarifier. Sous ta plume je me suis laissé submerger par la poésie de tes écrits. Merci pour cet instant de bonheur, Zalzal. »

Merci pour vos commentaires, mesdemoiselles et messieurs. :flower:

Amber: Les dernières épreuves auront finalement servi à les rendre inséparables - et non à les séparer comme le souhaitait le Général. Oscar savait déjà que son père était derrière la disparition d'André, mais d'apprendre qu'en fait, il s'était joué d'elle, qu'il lui avait fait croire en la mort d'André alors que ce dernier était bel et bien vivant, ne peut qu'alimenter sa soif de vengeance. Mais comment atteindre cet homme pour qui l'honneur est souverain ?

Psst Amber ! Je sais que je vais être en vacances bientôt, mais j'ai tout de même beaucoup de boulot qui m'attend. Alors, je ne sais pas si l'écriture de la suite sera plus rapide (probablement, mais certainement pas de façon quotidienne).

Sara: Contente que les chapitres suivants t'aient plu. Mais en effet, le "après" s'inscrit maintenant dans les esprits. Que va-t-il se passer à présent qu'André et Oscar sont réunis ? Vous verrez...

Agnès: Tu as bien raison ! Pour une fois, un bref chapitre où je ne les martyrise pas ! Il faut bien qu'ils en profitent sans se tourmenter avec des milliers de questions. Les ennuis vont bien finir par les rattraper...

Sudena: Merci du commentaire élogieux mon cher ! Maintenant, reste à savoir si je serai machiavélique pour la suite, n'est-ce pas ? Mais j'ai une idée bien précise en tête (encore quelque chose de pas simple pour me compliquer les choses).

Krapagnou et La Lionne: Merci aussi à vous deux ! Krapo, tu dois continuer à lire si tu veux savoir ce qui va arriver. Mais juré, craché, ça achève (j'en peux plus !!!!).

Liberta: Eh oui, il semblerait que mon côté machiavélique disparaît quelque fois...et ça donne des p'tits moments comme celui-ci Mais oui, mes méninges surchauffent...Pas pour le contenu, mais pour la forme (une autre de mes idées encore !).

Soldat Alex a écrit:

Citation :

C’est magnifique. Subtilement décrit. Raffiné sur les points à clarifier. Sous ta plume je me suis laissé submerger par la poésie de tes écrits. Merci pour cet instant de bonheur, Zalzal.

Je soupire de béatitude en lisant un tel commentaire... Que dire sinon "merci" ? Contente, satisfaite que mes heures à m'échiner sur ces chapitres t'aient fait apprécier la beauté des mots (je suis une amoureuse des mots, vois-tu...).

Merci beaucoup !

Citation :

Soldat Alex a écrit:

Citation :

C’est magnifique. Subtilement décrit. Raffiné sur les points à clarifier. Sous ta plume je me suis laissé submerger par la poésie de tes écrits. Merci pour cet instant de bonheur, Zalzal.

Je soupire de béatitude en lisant un tel commentaire... Que dire sinon "merci" ? Contente, satisfaite que mes heures à m'échiner sur ces chapitres t'aient fait apprécier la beauté des mots (je suis une amoureuse des mots, vois-tu...).

Merci beaucoup !

« - De rien dame Zalzal, ce fut un plaisir que de commenter telle merveille . Car oui, pour ma part, dès que je vois qu’un de tes nouveaux chapitres à parut, je me jette sur ma souris et parcourent tes écrits. En tant que fan de ta fiction, je me fais un devoir te de dire ce que j’en pense. Une amoureuse des mots dis-tu ? Et bien sache que tu sais parfaitement manier l’art du tournement des phrases pour qu’ils nous transportent . Que de poésie dans tes textes, je suis sous le charme de ta plume… Mais ça, tu ne peux que t’en douter . »

Pour Sudena qui désespérait jamais d'avoir une suite (et pour les autres aussi), voici donc la continuation de Chemins de croix. La grisaille est percée, peu à peu, de petites touches lumineuses... Vous comprendrez en lisant

Bonne lecture !

Yaaaaahoooooooooo!

Un nouveau chapitre! Et toujours aussi sombre: nos amis sont donc des parias qui doivent se cacher et vivre sous la perpétuelle suspiscion... De nouveau magnifique et comme toujours très noir... Et maintenant que vas-tu leur faire subir? Alain ne peut-il décidément rien faire pour eux?.. C'est une nouvelle torture pour eux, mais que j'aime cette noirceur! S'en sortiront-ils? Boiront-ils leur calice jusqu'à la lie? Je ne demande qu'à le voir et je te remercie infiniment d'avoir posté un nouveau chapitre: je me régale toujours autant _sinon plus_!..

Sudena a écrit:

Citation :

De nouveau magnifique et comme toujours très noir...

Contente que cette suite t'ait plu, Sudena. J'avais peur d'avoir perdu la main quant à l'écriture de cette fic puisque dernièrement, ce que j'écris est fort différent. Je doutais continuellement (et doute encore) du résultat.
Mais, ton commentaire a au moins l'avantage d'estomper quelque peu ces sempiternels doutes

Citation :

Et maintenant que vas-tu leur faire subir? Alain ne peut-il décidément rien faire pour eux?.. C'est une nouvelle torture pour eux, mais que j'aime cette noirceur!

Évidemment, puisqu'une décision a été prise, on devra échafauder un plan... Mais, je ne perçois pas tout ce qui est arrivé comme noir. Il y a bien une petite lueur qui vient de pointer son nez et, grâce à cette lueur, leur destin risque de changer...

Citation :

je te remercie infiniment d'avoir posté un nouveau chapitre: je me régale toujours autant _sinon plus_!..

De rien, mon cher. Maintenant, je vais essayer de ne pas trop tarder pour la suite. Sinon, ça devient vraiment ardu de s'y replonger

Un gros merci, cher Sudena

que je suis heureuse de voir que tu as repris l écriture de "chemin de croix"
Bien qu ils soient prudents nos deux amants ont semé le doute et voilà André accusé de trahison envers ses camarades. Oscar interviens à temps et le veille.

Citation :

Oscar, le regard perdu, contemplait la pluie qui dévalait en interminables rigoles sur la paroi vitrée de la fenêtre. Cette même pluie qui, par un jeu d’ombre et de lumière, traçait les mêmes sillons sur les joues de la jeune femme.

que j aime cette image, je l imagine tellement bien cette scène comme si elle pleurait des larmes invisibles que seul andré peut voir.

Enfin ils peuvent s aimer mais à quel prix à quel risque? Ils subissent leur vie actuelle, sans pouvoir mener celle qu ils souhaiteraient. Le danger omniprésent, et l état d Oscar la pousse à prendre une décision. Partir, vivre enfin cette vie qu ils espèrent, vivre enfin cet amour librement sans la peur de voir le général, les soldats leur tomber dessus, vivre pr donner naissance sans crainte à cette petite vie qui bat à present en Oscar. Cette ptt vie fruit de leur amour comme si en s imposant elle balayait d un geste ce lourd passé de peine, d amertume, de douleur et de regrets.
Un nouvel avenir s offre a eux, qq chose qui les poussent à prendre cette décision, de reprendre enfin le fil de leur propre vie et de ne plus la subir, mais de la vivre pleinement et de devenir les propres maitres de leurs choix.
je ne pense pas que le chemin de croix qu ils traversent soit enfin fini mais se pourrait il qu enfin l arrivée soit proche et qu ils puissent gouter à la joie de vivre tout simplement?
enfin!


merci chère Zalzal de t être remise à l écriture de cette superbe fic.

Dans leur chemin de croix, Oscar et André ont quelque petite oasis de bonheur, ils ont enfin la joie d'être ensemble et de pouvoir s'aimer...
Mais il y a encore danger, pour eux...le général avec ses menaces et les
soldats qui accusent André d'être un espion...
Unique décision possible, avec un enfant en route, c'est partir, s'éloigner pour vivre la vie qu'ils souhaitent...

Merci beaucoup Amber et Rudyjak Ça me fait toujours immensément plaisir de voir que cette fic, malgré qu'elle soit loin d'être guillerette, soit appréciée. Il m'a été extrêmement difficile de m'y remettre, de un parce que le travail d'écriture de Chemins de croix m'a toujours demandé beaucoup de travail (le style est plus "léché", plus imagé...donc moins facile à pondre que les dialogues incisifs de De tout mon cœur, je te déteste). De deux, m'amusant comme une folle avec ma p'tite fic légère, il m'a été d'autant plus ardu de me replonger dans un contexte plus sérieux. L'écriture de ce chapitre fut longue et continuellement survolée de doutes. Alors, vos commentaires sont d'autant plus appréciés

Amber a écrit:

Citation :

Enfin ils peuvent s aimer mais à quel prix à quel risque? Ils subissent leur vie actuelle, sans pouvoir mener celle qu ils souhaiteraient. Le danger omniprésent, et l état d Oscar la pousse à prendre une décision.

Ils ont toujours plus ou moins subi leur vie: André, étant un roturier, n'a pas nécessairement de choix, d'autant plus que la femme qu'il a toujours aimée lui était interdite de par sa condition sociale; Oscar en raison de cette vie toute tracée dès sa naissance par un père intransigeant qui voulait perpétuer la lignée des Jarjayes. Mais les événements qu'ont vécus nos deux héros leur ont montré le caractère éphémère de la vie tout en les unissant finalement dans cet amour qu'a toujours recherché André dans les yeux d'Oscar. Alors oui, le temps est venu de cesser de subir et de choisir. Cette vie où plane continuellement le danger d'être découvert est insupportable pour ce couple qui ne demande qu'à s'aimer.

Citation :

je ne pense pas que le chemin de croix qu ils traversent soit enfin fini mais se pourrait il qu enfin l arrivée soit proche et qu ils puissent gouter à la joie de vivre tout simplement?
enfin !

Ils y ont bien droit en effet. C'est la raison pour laquelle j'ai mis la citation suivante en début de chapitre: « On a quelquefois assez souffert pour avoir le droit de ne jamais dire : je suis trop heureux. » (Alexandre Dumas, La tulipe noire). Ils méritent pleinement ce bonheur qu'ils ont chèrement acquis.

Citation :

merci chère Zalzal de t être remise à l écriture de cette superbe fic.

De rien C'est toi qui me fait vraiment plaisir avec des commentaires comme celui-ci. On dirait que je t'ai offert un cadeau Contente que ça t'ait plu !

Rudyjak a écrit:

Citation :

Dans leur chemin de croix, Oscar et André ont quelque petite oasis de bonheur, ils ont enfin la joie d'être ensemble et de pouvoir s'aimer...
Mais il y a encore danger, pour eux...le général avec ses menaces et les
soldats qui accusent André d'être un espion...
Unique décision possible, avec un enfant en route, c'est partir, s'éloigner pour vivre la vie qu'ils souhaitent..

Malgré cette parenthèse d'amour, leur vie demeure néanmoins risquée. Dans de telles conditions, ils ne peuvent évidemment que partir. Oscar n'avait pris ce commandement que parce qu'elle croyait André mort, et André vit une vie empruntée. Les priorités ont donc changé: le Colonel n'est plus. C'est bel et bien la femme qui veut maintenant vivre. Et elle veut vivre cette vie aux côtés de cet homme qui l'a accompagnée tout le long de ce chemin de croix qui fut le sien: André.

Merci pour ton commentaire, Rudyjak

Bon...

Pour les incorruptibles lecteurs de cette fic (en espérant qu'il en reste encore quelques-uns ), voici la suite. Et je peux vous jurer que ça achève !!!! Je peux enfin voir la lumière d'un épilogue, youpi (après plus d'un an à potasser sur cette fic) !

Mais, ne sautons pas aux conclusions trop rapidement. Nous n'en sommes pas encore rendus là.

En espérant que cette suite vous plaise.

Bonne lecture .

Je reprends ta fic avec un plaisir intact (j'attends un autre chapitre pour faire un commentaire constructif de "De tout mon coeur je te déteste" mais je n'oublie pas ): ainsi André se dévoile à son frère: une amitié totale, absolue, une confiance inébranlabe...avec une note d'humour très dans ton style et que j'adore!..

A force de recevoir des coups, on s'octroie le droit d'en donner: comme je comprends le raisonnement d'André et comme je voudrais que le général paye enfin ses offenses (je suis contre la peine de mort, entendons-nous bien! mais ce serait ici une vengeance privée...à la limite de la légitime défense car il y a là un enfant à protéger, en plus d'un amour à sauver...)!.. J'entrevois la lumière après la sombre nuit mais je ne sais que trop combien la chute en pleine ascencion peut être irréversible (les exemples fleurissent dans l'Histoire, et pas seulement politique...). En tout cas j'adore la solidarité (quasi maçonnique si je puis me permettre) entre Alain et André et leur fusion totale dans les états d'âme.. J'adore ta fic Zalzal! Je l'imprimerai quand tu l'auras terminée rien que pour le plaisir de pouvoir m'y replonger à loisir (je préfère lire sur papier: ça sent bon) et j'espère ne pas devoir atendre plusieurs mois encore pour jouir du plaisir d'en lire la suite... :flower: :flower: :flower: :flower:

Sudena a écrit:

Citation :

ainsi André se dévoile à son frère: une amitié totale, absolue, une confiance inébranlabe...avec une note d'humour très dans ton style et que j'adore!..

Je ne pense pas que André aurait pu continuer ainsi de toute façon: vivre sous un nom d'emprunt, dissimuler son amour pour la femme qu'il aime le jour, se cacher la nuit pour aller la rejoindre... Cette vie-là aurait fini par s'effondrer un jour ou l'autre. D'ailleurs, les autres soldats, loin d'être idiots, ont bien deviné le jeu du p'tit nouveau...avec le résultat qu'on a vu dans le chapitre précédent. Pourtant, avec la bonne nouvelle que André a apprise, il peut afin entrevoir ce que pourrait être la vie aux côtés d'Oscar. Alors oui, les priorités changent. Ils veulent être heureux, mais pour cela, ils ont besoin d'une aide extérieure: Alain.

Étant donné que ce chapitre se "vivait" par les yeux d'Alain, je n'ai pu m'empêcher d'y glisser une note ou deux d'humour (et de jurons... Il faut croire que l'autre fic déteint sur celle-ci ). Néanmoins, ces petites intrusions humoristiques semblent te plaire - et ne t'ont pas semblé incongrues et déplacées -, alors tant mieux !

Citation :

A force de recevoir des coups, on s'octroie le droit d'en donner: comme je comprends le raisonnement d'André et comme je voudrais que le général paye enfin ses offenses

Mais ce n'est pas du tout de lui dont parlait André à la fin du chapitre, mais bel et bien du Colonel. Mais c'est vrai que ça aurait été une bonne idée de se débarrasser du Général, mais là, nos deux tourtereaux auraient bien de la difficulté à justifier le meurtre d'un noble. J'essaie de les sortir des ténèbres, pas de les plonger dedans !

Citation :

J'adore ta fic Zalzal! Je l'imprimerai quand tu l'auras terminée rien que pour le plaisir de pouvoir m'y replonger à loisir (je préfère lire sur papier: ça sent bon) et j'espère ne pas devoir atendre plusieurs mois encore pour jouir du plaisir d'en lire la suite...

Ce que tu écris là me flatte énormément Tu sais que pour l'instant cette fic compte plus de 108 pages ? Tu es certain que tu veux l'imprimer ? Je peux te l'envoyer par courriel aussi (j'y ai ajouté des images du site Mon cœur et la mise en page est plus "esthétique"). Évidemment, tu serais libre de conserver les images ou non (et là, je me pose la question suivante: serai-je capable d'envoyer un ficher de plus de 100 pages en pièces-jointes ? Hum... Bonne question...).

La suite ne devrait pas prendre des mois à écrire. J'essaie de terminer cette fic-ci afin d'avoir le loisir d'écrire la fic de Noël. Je ne veux absolument pas me retrouver avec trois écrits sur les bras. Oh non monsieur ! Selon mon plan, il resterait deux chapitres plus un épilogue. Bon, parfois, malgré ce que j'avais prévu, de nouvelles pierres s'ajoutent à l'édifice, mais ça achève, ça c'est sûr !

Merci beaucoup pour ce commentaire si enthousiaste, Sudena. Si ce n'était de toi, cette fic n'en serait pas rendue où elle est. Je pense toujours à toi lorsque je l'écris (si, si), car je sais que tu attends toujours la suite avec impatience et tu ne peux pas savoir à quel point ça motive.

Merci

Enfin la suite !!

L'attente fut longue mais le résultat efface la frustration, je t'assure Zalzal !

Enfin André ouvre son coeur à cet ami providentiel, intrigué, mais qui ne le juge pas.

oscar enceinte, véritable déclencheur de cet épanchement si rare; j'arrive à entrevoir où tu veux nous mener Zazal; ils ont suffisamment confiance en Alain pour le mettre à contribution dans leur plan de survie.

La façon dont André s'est ouvert à Alain m'a véritablement chamboulée, si intense et si poignant de douleur et d'espoir. Tout ce que j'aime !

merci Zalzal .

Alain serait ce que l'on pourrait appeler l'ami de toujours, celui à qui François/André fait ses confidences, celui à qui André demande de l'aide pour vivre enfin comme un homme avec une femme.

Une demande assez curieuse pour celui qui ignorerait toute l'histoire mais qui doit au contraire paraître sensée pour Alain. Lui qui a perdu sa soeur ne peut que les comprendre.

Liberta a écrit:

Citation :

Enfin la suite !!

L'attente fut longue mais le résultat efface la frustration, je t'assure Zalzal !

Ah merci, Liberta ! Mais je préférais prendre une pause dans l'écriture de cette fic (mon horaire chargé ne m'a pas laissé le choix non plus et j'ai beaucoup de plaisir à écrire De tout mon cœur, je te déteste ), plutôt que de la précipiter et d'écrire une suite qui ne m'aurait pas satisfaite. J'ai mis tellement de temps à écrire, à peaufiner cette histoire que c'est devenu un p'tit trésor pour moi que je ne veux surtout pas saboter.Je voulais avoir envie de la continuer, je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire ? Maintenant que l'envie est revenue (ça doit aller avec l'automne, j'imagine...), je veux essayer de la terminer.

Citation :

oscar enceinte, véritable déclencheur de cet épanchement si rare; j'arrive à entrevoir où tu veux nous mener Zazal; ils ont suffisamment confiance en Alain pour le mettre à contribution dans leur plan de survie.

Eh oui, ça prenait un enfant pour chambouler ce semblant de vie (vie qui aurait tôt ou tard craqué de toute façon). Alors, on laisse tomber les masques (à quoi bon ? Les secrets n'en sont plus vraiment, excepté celui de la véritable nature d'Oscar...qui aurait bien fini par transparaître étant donné sa condition de femme enceinte) et on se décide d'agir. Le chemin de croix a été long, mais il y a bel et bien de la lumière au bout

Citation :

La façon dont André s'est ouvert à Alain m'a véritablement chamboulée, si intense et si poignant de douleur et d'espoir. Tout ce que j'aime !

Je me suis beaucoup questionnée sur ce passage, à savoir si je devais seulement écrire quelque chose du genre: "André lui raconta ses épreuves" plutôt que d'y aller plus en détails comme je l'ai fait (je ne voulais pas que ça soit redondant en fait). Mais ça enlevait le côté émotif des confidences, ça faisait plus froid. Contente que ça t'ait chavirée ainsi et non ennuyée !

Merci du fond du cœur, Liberta, pour ton commentaire ! Je prends tellement de temps à écrire cette fic que je crains que j'ai perdu des lecteurs en cours de route. Alors merci également pour ta fidélité et ce, même si je vous fais poireauter des mois !

Cath: Ah cet Alain ! Quel personnage passe-partout ! Mais il n'en est pas moins un véritable ami pour André (un ami qui savait qu'on lui cachait des choses, mais qui s'est tu et qui a épaulé François/André sans jamais le juger... Un ami comme ça, je crois qu'on peut lui faire confiance, lui mettre notre destinée entre les mains). Mais comme tu le soulignes, on devait quand même le mettre au parfum de certains éléments avant de lui demander cette fameuse faveur.

Je te remercie également pour ton commentaire, Cath. Merci aussi de continuer à me suivre malgré les suites TRÈS tardives

Enfin, la suite...j'en suis ravie, Zalzal, j'adore cette fic :flower:
Alain se pose des questions sur les désparitions nocturnes de François, il est perspicace et intelligent, il comprend vite que le change d'attitude de son compagnon coïncide avec l'arrivée du nouveau colonel et que les deux couchent ensemble, même s'il pense qu'Oscar soit un homme...
Il ne manque pas d'humour ...c'est amusant de suivre ses raisonnements...
C'est François qui lui éclaircit la situation, à commencer par son vrai prénom...André

Citation :

Seigneur ! Quel terme emploie-t-on dans le cas ci-présent ? Enceint ?

Il n'y a qu'Alain qui aurait pu se soucier de ça dans un moment pareil...

André et Oscar s'aiment et elle est enceinte...les deux amoreux ont besoin de l'aide d'Alain pour tuer le colonel...et, je suppose, sauver la femme
Ainsi, ils pourront enfin vivre heureusement ensemble...si le nez du général ne réapparaîtra pas dans leur vie

Rudyjak a écrit:

Citation :

Enfin, la suite...j'en suis ravie, Zalzal, j'adore cette fic :flower:

Que tu me fais plaisir!!! J'avais tellement l'impression d'avoir perdu l'intérêt de certains (même moi, l'envie de la poursuivre m'avait quelque peu abandonnée pour de multiples raisons: le plaisir que j'ai à écrire De tout mon cœur, je te déteste, le travail d'arrache-pied que cette fic-ci me demande, le manque de temps depuis le retour au boulot... Bref, toutes les excuses étaient valables pour en retarder l'écriture ). Mais comme je l'ai écrit plus haut, l'envie est revenue peu à peu et me voilà donc de retour avec la suite

Alain n'est certes pas fou: il se rend bien compte que François/André a changé depuis l'apparition du nouveau colonel. J'ai donc essayé de vous faire vivre ce chapitre à travers ses yeux à lui... avec les pensées qui s'imposaient presque d'elles-mêmes étant donné la nature du personnage (comme je l'ai écrit à Sudena, je crois que l'humour que j'emploie dans De tout mon cœur, je te déteste déteint sur cette fic-ci. En autant que ça ne fasse pas trop décalé avec le restant de l'histoire...).

Citation :

André et Oscar s'aiment et elle est enceinte...les deux amoreux ont besoin de l'aide d'Alain pour tuer le colonel...et, je suppose, sauver la femme

Vous commencez à voir où je m'en vais Normal, car la fin est toute proche (enfin !).

Mais est-ce que le général mettra des bâtons dans les roues de nos deux héros ? Nous verrons bien .

Merci beaucoup pour ton commentaire, Rudyjak. Merci aussi pour ces "enfin, la suite" qui me font vraiment sourire Contente que cette fic plaise toujours, même si elle tarde...

Il n'a pas intérêt à allonger son grand nez dans les "affaires de sa fille le Général,sinon il pourrait parler "comme un canard,"après le coup de poing d'André où d'Oscar pour leur avoir menti, super l'ami sincère Alain,il va les protéger de son mieux,et enfin un bébé, dommage que la photo n'existe pas à cette époque là on aurait pu "apprécier",et voir le visage du chérubin.

Oh c'est sûr que si le Général croisait la route d'André en ce moment, celui-ci aurait bien de la difficulté à se contenir. Mais bien qu'il en paraisse détestable et ignoble, le Général avait ses raisons d'agir ainsi. D'une certaine façon, il ne voulait que protéger sa fille.

C'est vrai que j'aurai bien aimé que la photographie existe à l'époque. Il y a plein de personnages que j'aurai aimé voir en photo: Marie-Antoinette, Fersen,... Mais pour ce qui est de ma fic, faudra vous contenter de mes mots pour imaginer le tout

Merci de ton commentaire, Agnès.

Dans ce chapitre, je nomme Alain! Alain, l'homme sur qui l'on peut compter sans hésiter. Rustre, goujat ( si si, je suis sure qu'il doit l’être de temps en temps ), il reste toujours fidèle à André. C'est d'ailleurs pourquoi André n'hésite pas à lui conter son histoire, complètement, de façon plutôt poignante d'ailleurs, et de lui demander son aide.
J'aime bien aussi comment Alain réagit, lorsqu'il apprend qu'Oscar est une femme. Il est à la fois niais, mais aussi très observateur (il avait remarqué les absences d'André la nuit, mais sans pour autant l'interroger ).
Oscar enceinte, André ne pense plus aux malheurs, et veut ce bonheur commencé. Mais c'est sans compter sur la difficulté de vivre avec Oscar sans nuage, il est censé être mort ( heu en fait j'ai un doute, le Général sait qu'il est mort ou pas Ou c'était juste pour le faire croire à Oscar? ), et je doute que papa Jarjayes apprécie qu'il ressuscite. Cependant, il faut tuer le colonel... Oscar va "mourir", mais comment vont-ils s'y prendre?

Eh oui, Alain est probablement la seule personne vers qui pouvait se tourner André pour lui confier son histoire (et je suis bien d'accord avec les épithètes que tu lui donnes . Ça le rend plus concret, plus humain, au contraire d'André qui a tout du prince charmant (inexistant)).

J'imagine que je suis encore trop collée à mon texte pour voir le côté poignant de la confession d'André. J'avais même peur qu'elle soit redondante, car le lecteur sait tout ce dont André parle. Mais Liberta et toi semblez vous accorder pour dire qu'elle l'était. Je la préfère ainsi plutôt que répétitive

Quant au Général, il n'a jamais ordonné de tuer André, mais seulement de l'éloigner de ses terres (avec le résultat désastreux que l'on connait). La "comédie" de la mort n'était que pour Oscar. Alors, le paternel se doute bien qu'André est vivant quelque part, mais sans doute pas dans la compagnie que commande sa fille. Nous allons retrouver le Général bientôt .

Finalement, comment nos protagonistes vont "tuer" le Colonel Je ne dis rien pour l'instant. Tu verras bien...

Merci pour ton commentaire, Sara :flower: