Oh que oui nous sommes toujours là à attendre patiemment la suite de cette fabuleuse histoire, que ( je pense te l avoir déjà dit mais je vais encore une fois me répéter, que veux tu c est l âge) donc, que j ADORE!!! :applaudddiiii: :sszazq: :mmlkjh: :tredfr: :hyret: :ytvbcx:

j avoue que j ai du resurvoler un peu les derniers chap pr me rafraichir la mémoire, car avec toutes ces fics, il m arrive par mélanger un peu tout.
donc voilà tout est remis en ordre ds ma ptte tête et c est avec le plus gd plaisir et délice que j ai dévoré ce chap.

j aime bcp comment tu as tourné ce chap, cette façon dont tu montres comment Alain découvre la vérité.j imagine aisément la stupeur sur son visage. tout d abord d imaginer André avec le colonel et ensuite de comprendre qu Oscar qui est enceinte et non enceint et belle est bien un foutue bonne femme. mais bon comme dit André on ne peut pas qualifier réellement Oscar de bonne femme.
et là André se confie et enfin il se décharge du poids sur ses épaules. Pourquoi à Alain, car c est son seul ami, de plus il sait qu il peut compter sur lui, sur sa discrétion il lui fait confiance mais Alain bien que touché de cette confiance n en est pas moins naïf, il se doute que si son ami s est enfin confié alors qu à présent tout allait mieux pr lui c est qu il a qq chose à lui demander, mais de là à tuer le colonel, s attendait il à cette demande?
Mais loin d être simple d esprit notre beaux ténébreux au foulard rouge comprendra bien vite qu il faut tuer l homme, le colonel cette partie de la vie d oscar pour qu enfin elle renaisse réellement et que son ami puisse enfin gouter à la vie qu il souhaite plus que tout.
Le colonel les empêche de gouter enfin librement au bonheur, tant que le colonel sera en vie, le général sera là et son courroux d autant plus fort. Si Oscar meurt alors le général ne sera plus un obstacle, et enfin le papillon pourra sortir de sa chrysalide et vivre pleinement sa vie face à la lumière, toutes ailes déployées, virvoletant de fleur en fleur s abreuvant du nectar du bonheur, de la joie du rire et du simple fait d être enfin elle et de vivre accompagnée de celui qu elle aime et du futur enfant à naître.
Ensuite à savoir comment tu vas le tuer sans savoir si tu ne vas pas leur remettre un ptt obtsacle par ci par là, là je te laisse seul juge, te faisant pleinement confiance qd au déroulement des évènements.

j ai simplement l espoir que tu aies un peu de tps pouvoir l écrire, mais sur ce sujet je ne te jetterai pas la première pierre.

un gd merci de continuer cette fic et de ne pas l avoir rangée au placard.

Amber Queen a écrit:

Citation :

Oh que oui nous sommes toujours là à attendre patiemment la suite de cette fabuleuse histoire, que ( je pense te l avoir déjà dit mais je vais encore une fois me répéter, que veux tu c est l âge) donc, que j ADORE!!!

Ce sont des commentaires comme ceux-là (et ceux que les gens avant toi ont postés...si enthousiastes à ma plus grande surprise ) qui parlent d'eux-mêmes, qui me disent que finalement, j'ai bien fait de m'y replonger (et je t'avouerai que même moi, je dois toujours relire les derniers chapitres avant d'écrire le suivant étant donné le laps de temps qui s'écoule entre deux chapitres). Merciiiiii !!!

Tu comprends toujours si justement ce que j'écris que ça en devient troublant Surtout si j'ajoute que bien souvent, tu anticipes avec exactitude le déroulement de l'histoire. Ahhh ! Tu commences à comprendre les rouages de mon cerveau !

Alors oui, les masques tombent pour révéler le vrai...mais c'est que l'on a un but. Il faut tuer ce Colonel, dernier monceau d'une vie que l'on ne désire plus.

Bon pour la suite maintenant... Je travaille sur De tout mon cœur, je te déteste pour l'instant, mais je vais essayer de ne pas trop tarder pour celle-ci (je vais essayer...).

Merci pour ta fidelité Amber et pour ton si gentil commentaire qui illumine ma journée

C'est un miracle !!!! Une suite !!!

Je suis à peine sarcastique .

Premier semestre terminé, corrections terminées ainsi que rencontres de parents faites. Donc... I'M BACK !!! Tada !

J'ai eu le temps de travailler avant la fin de l'année 2011 (inouï !!!) sur Chemins de croix (la suite de De tout mon coeur, je te déteste est également en cours, mais pas encore terminée. Ça vient...).

Ce n'était pas un chapitre facile à écrire. Seigneur que certaines parties m'ont demandé de la recherche afin que ça reste crédible ! J'espère néanmoins que le tout l'est et que vous preniez plaisir à le lire.

Bonne lecture

P.S. Je précise que la fic n'est pas encore finie. La fin du chapitre n'est peut-être pas claire là-dessus... Mais ça achève, promis !

Un nouveau chapitre dans ton style _et je peux difficilement te faire un meilleur compliment_ qui nous ouvre enfin une porte de sortie à cet effroyable chemin de croix que, délicatement, impitoyablement, tu nous a fait visiter durant toute cettte fic... Je suis heureux de te revoir Zalzal et cette ruse _tiens! j'avais fait un truc du même accabit jadis... _ nous donne un soulagement teinté d'effroi qui colle parfaitement à cette musique du génial Ennio Morricone (tu me l'as faite découvrir: merci !): libre, dont le souffle augmente au fur et à mesure, un rien mineure mais si exaltante... GENIAL! Je me suis toujours régalé en te lisant et j'espère _mais je n'en ai aucun doute_ que le final sera digne de ce merveilleux moment que j'ai passé en te lisant...

Merci Sudena

Je sais que cette fic vous a amenés dans des tournants plus sombres, plus intenses, mais j'aime faire ressentir les émotions via de simples mots, même si ces émotions peuvent être plus noires... N'empêche que comme tu le mentionnes, il y a finalement une éclaircie.

Pour ce qui est de cette ruse, il n'est certes pas évident d'échafauder quelque chose de crédible avec les contraintes de l'époque . Je voulais un pont en bois et j'ai cherché, cherché, mais en vain (le pont de la Tournelle a déjà été en bois mais pas à cette époque). De plus, j'avais besoin d'un événement. Encore là, il ne c'était pas passé grand-chose en 1787, donc ça compliquait un peu les choses. J'espère seulement que le tout colle bien ensemble.

Je suis étonnée que tu ne connaisses pas la pièce Le cri, le vent de Morricone. Contente néanmoins qu'elle te plaise. C'est ce que j'écoutais durant l'écriture de ce chapitre.

Merci de suivre une auteure au style bien particulier, merci de ta fidelité Sudena

Une fuite pour les deux amoureux, les prémices de la révolution ont servi de fil conducteur pour fuire et vivre ensemble, loin de la folie du général.

Alain, le compagnon de toujours met en quelque sorte le feu aux poudres, quelle idée géniale, si je puis dire... Quelle meilleure manière que de feindre la mort pour s'échapper du carcan dans lesquelle était bloqué Oscar et André ?

Elle a bon dos la révolution...
André avait demandé l'aide d'Alain pour tuer le colonel... Et bien c'est fait...
Une supercherie bien huilée, pour faire croire à la mort d'Oscar... Le Général a vraiment tout gagné dans cette histoire...
Mais ce n'est que justice, après tout, il fait la même chose à Oscar.
André et elle pourront maintenant (normalement) couler des jours heureux, sans soucis...
Pas mal du tout! Quand à ton écriture? Que dire a part qu'elle est parfaite? Je ne sais pas comment tu fais, c'est parfait!

Une trame et un fil conducteur bien huilés; on devine bien sûr rapidement que c'est une supercherie ourdie par nos trois amis; mais la façon dont tu la détailles et la présentes provoque malgré tout chez moi des frissons.
A l'aube de la révolution du peuple, ils commencent la leur dans l'anonymat qui sera le leur désormais. Ad vitam aeternam ? qui sait ...

Grrrr. Trente minutes à répondre à vos commentaires et j'ai accroché un bouton. Du coup, tout a disparu !!!

Cath: J'avais besoin de témoins, de boucs émissaires (car jamais Oscar et André n'auraient accepté que les soupçons se tournent vers Alain. Il fallait donc trouver une situation où les coupables auraient pu être n'importe qui) pour rendre la mort d'Oscar crédible. D'où la raison pour laquelle j'ai placé mon histoire durant les émeutes de l'été 1787.

Cath a écrit:

Citation :

Alain, le compagnon de toujours met en quelque sorte le feu aux poudres, quelle idée géniale, si je puis dire...

Si tu savais à quel point je me suis arraché les cheveux pour ce chapitre, pour que le stratagème en question ait l'air vrai. Je devais penser à un événement qui camouflerait ces deux morts, à une déflagration, au sang, au tireur, à la disparition des corps, à la présence gênante du cheval d'Oscar - il fallait que celui-ci meure et tombe dans la Seine puisque les deux corps sont sensés y être, etc. J'ai dû chercher certaines informations (je voulais un pont en bois, pas en pierres, mais il n'y en avait pas !!!), réécrire certaines parties parce qu'après réflexion, je me suis aperçue que certains éléments posaient problèmes . C'était rageant par moment, mais tant mieux si le tout semble ingénieux .

Merci beaucoup pour ton commentaire, Cath !

Sara: Comme je l'ai écrit à Cath, je devais rendre plausible la mort d'Oscar. Dans le chapitre VIII, j'avais déjà mentionné une date, donc j'étais liée à cette foutue année 1787 durant laquelle il ne s'était pas passé grand-chose. Mais j'ai fini pas trouver ! Les émeutes de Paris ! Celles-ci étaient parfaites pour ce que je voulais faire. Ça avait l'avantage de servir mon plan et de situer l'histoire dans son contexte historique (ce que j'aime bien).

Concernant le Général, je ne suis pas prête à affirmer qu'il sort gagnant de cette histoire. Il a perdu son héritier et ne pourra même pas pleurer un corps, car il n'y en a pas. Mais le Général avait perdu sa fille bien avant sa "mort". Le rôle que le paternel avait joué dans la disparition d'André, son refus de l'accepter (bien compréhensible compte tenu du personnage et de l'époque), son attitude butée n'auront que précipité la perte de son enfant. Mais le Général ne fait que goûter à sa propre médecine.

Sara a écrit:

Citation :

Quand à ton écriture? Que dire a part qu'elle est parfaite? Je ne sais pas comment tu fais, c'est parfait!

Hum... Comment je fais ? Je passe une éternité sur un maigre chapitre de cinq pages ? Non, sérieusement, je ne sais pas. Je sais seulement que chaque phrase, chaque mot est choisi et que j'évite les anachronismes de sorte que parfois ça me prend un temps fou parce que je dois vérifier si tel objet existait ou non. Néanmoins, je sais que j'adore les mots, leur musicalité, leur poésie. J'aime lire un livre et avoir des frissons parce que je trouve l'écriture tellement belle. Alors, j'imagine que tout cela transparaît dans mon style bien que je sois consciente que mes histoires ne sont pas rebondissantes d'action (je loue l'imagination de certaines d'entre vous. C'est fou comme vous êtes prolifiques et créatives et ce, sur des dizaines de chapitres. Moi, ça fait plus d'un an que je m'esquinte sur Chemins de croix - avec des pauses certes - mais quand même. Je suis loin de vous !).

Cependant, je suis vraiment touchée par ton compliment compte tenu du temps que je mets à écrire mes chapitres. Ça me fait vraiment plaisir !

Un gros merci, Sara !

Liberta: Je suis contente que ce chapitre t'ait semblé crédible.

Liberta a écrit:

Citation :

[...]mais la façon dont tu la détailles et la présentes provoque malgré tout chez moi des frissons.

J'avais peur que la narration de ce chapitre soit trop "froide", mais compte tenu du chapitre en question, je ne pouvais pas vous le faire vivre au travers un personnage (comme le chapitre précédent où on se retrouve dans la peau d'Alain). Je ne voulais pas dévoiler tout de go la supercherie, je voulais jouer avec vous un peu.

Tant mieux alors si tu as ressenti des frissons en le lisant. Quel beau compliment tu me fais là !

Vous voyez, je ne suis pas si sadique. André et Oscar se sont finalement envolés, libres (ce qui n'aurait jamais pu arriver sans tout ce branle-bas). Enfin. Ne méritent-ils pas d'être heureux ?

Merci beaucoup pour ton commentaire, chère Liberta

La furie du peuple exaspéré par les décisions insensées du roi sers d'encadrement à la mort du colonel...

André tire sur Oscar, qui feint d'être blessée, et les deux, avec l'aide d'Alain, disparaissent dans une explosion...

Quel chapitre, Zalzal, c'est tout très dramatique et vraisemblable et on ressens toute la tension et l'importance de l'evenement...tu as fait un bon travail, comme toujours

Alain aide ses amis à se débarrasser d'une vie faite de mensonges et d'apparences, avec la mort du colonel de Jarjayes, Oscar et Andrè peuvent enfin vivre librement la vie qu'ils ont choisi ...et au diable le général

Rudyjak: Cette furie du peuple m'aura en effet permis de camoufler l'évasion d'Oscar et d'André tout en orientant les soupçons sur une masse anonyme plutôt que sur Alain (il ne faudrait surtout pas qu'Alain ait des problèmes une fois que nos tourtereaux se seraient envolés. Il fallait agir oui, mais tout en protégeant leur ami).

Alors oui, André revêt le rôle que le Général avait autrefois demandé à Albert de jouer. J'ai essayé de vous faire ressentir sa nervosité, lui qui avait le doigt posé sur la gâchette, terrifié à l'idée de réellement tuer celle qu'il aimait (ou de tuer un innocent qui se serait bêtement placé dans sa mire sans le savoir). Pour l'événement du pont, ça m'a causé plus de tracas. Je ne pouvais pas seulement fusiller Oscar. Elle et André devaient vraiment disparaître. Alors, j'ai pensé à ce stratagème. Oscar, en étant colonel, a de toute façon accès à ces explosifs. Ça leur était donc relativement facile de faire sauter un pont afin d'effacer toutes traces.

Rudyjak a écrit:

Citation :

Quel chapitre, Zalzal, c'est tout très dramatique et vraisemblable et on
ressens toute la tension et l'importance de l'evenement...tu as fait un
bon travail, comme toujours

Ah merci infiniment pour ce compliment ! Je suis bien contente que le tout ait semblé plausible, car j'ai vraiment bûché pour que ce le soit, en partant de ces émeutes jusqu'à la pensée d'une multitude de détails.

Je me demande parfois si je ne me complique pas trop la tâche par ces recherches ou ces reformulations qui n'en finissent plus, mais ton commentaire me conforte dans mes "lubies".

Merci encore. C'est vraiment gentil de ta part

Heureuse d'avoir pu lire cette suite tant attendue. Suite que j'ai bcp aimée d ailleurs sur trame de fond historique.

Comme toujours j ai bcp apprécié ton style d écriture et ta mise en scène, car un moment j ai eu un doute qd au tireur et a la suite des évènements.

Enfin Oscar et André peuvent s enfuir et avoir l espoir de gouter au bonheur qui leur est dû.

Mais comme tu le précises la fin n est pas encore arrivée. Aurais tu un dernier obstacle à leur faire franchir. tu me mets le doute sur la dernière phrase mais je pense que non.

Amber Queen a écrit:

Citation :

Comme toujours j ai bcp apprécié ton style d écriture et ta mise en scène, car un moment j ai eu un doute qd au tireur et a la suite des évènements.

C'est ce que je voulais. Je voulais que l'identité de ce tireur soit ambigüe étant donné que vous vous attendiez déjà à la mort d'Oscar. J'aime bien vous surprendre un peu, d'où ce dévoilement des événements relatés de façon plus "extérieure" plutôt qu'à travers les yeux d'un des personnages (André, Alain ou encore Oscar).
J'ai enfin réussi à démêler mon sac de nœuds ( ) tout en restant crédible. André et Oscar ont échappé au Général et peuvent enfin couler des jours heureux. En théorie, il devrait rester deux chapitres, ça dépend de la longueur du prochain chapitre. Je devrai peut-être le scinder en deux. On verra bien d'ici là.

Heureuse que cette histoire te plaise toujours autant (malgré tout le temps que ça a pris pour accoucher de cette fic !!!) et que mon style d'écriture réussisse encore à t'accrocher .

Merci beaucoup pour ton commentaire, Amber !

Bonjour à vous tous !

Je passe en coup de vent - eh oui, aussitôt connectée que je dois repartir - pour vous faire parvenir un chapitre tout frais de Chemins de croix.

Je n'ai malheureusement pas le temps en ce moment de m'épancher davantage, mais j'espère que vous apprécierez ce chapitre !

À plus tard ! :flower:

Quel plaisir de retrouver un nouveau chapitre de cette fic, Zalzal!
Et quelle belle descrition des sentiments et de l'état d'âme du général...
Il a perdu sa fille à cause de ce qu'il a fait à André et il sait qu'elle ne lui pardonnera jamais...maintenant il n'est qu'un père qui craint qu'on vienne à lui annoncer la mort de son enfant
En effet, un messager arrive pour lui dire qu'Oscar est morte et au général il ne reste que des larmes...
Toutefois Alain a dit quelque mots de trop...le général n'est du tout idiot et il a compris qu'Oscar est vivante et qu'elle s'est échappée avec André
Maintenant que veut-il faire? Il se demande où est sa fille, mais va-t-il la chercher pour la punir où pour se faire pardonner?

contente de retrouver un chapitre de cette fic

Le Général craint le pire pour sa fille, fille qu'il n'arrive pas complètement à détester, elle restera sa fille chérie même si celle-ci ne veut plus le considérer comme son père.

Alain va trop loin dans ces explications et le Général comprend très vite que c'est une supercherie. Il n'est pas encore complètement gâteux le général.

Il va certainement cherché à la retrouver.

Je te remercie, Rudyjak, pour ta fidélité. Je suis bien contente que tu te réjouisses encore de lire cette fic, et ce, malgré les longs délais de parution entre chacun des chapitres (délais qui se sont drôlement allongés ces derniers temps, j'en suis fort consciente. Mais bon, le boulot m'a tenue occupée, et je t'avouerais que j'avais quelque peu perdu ma motivation d'écrire du LO).

Donc, revenons à la fic...

Cela faisait un bout que nous avions quitté le Général. L'histoire s'était en effet tournée vers Oscar et André. Notre couple ayant parvenu à fuir, l'intrigue a donc de nouveau changé d'optique pour revenir sur papa Jarjayes. Comment ce dernier avait-il vécu après qu'Oscar ait quitté le domaine familial ? Comment ce père avait-il réagi en apprenant les événements survenus à Paris ?

Ce sont donc à ces questions que ce chapitre tentait de répondre. Tant mieux si la définition des sentiments du Général t'a touchée. Je voulais vraiment que l'on voit le père plutôt que le général. Je le voulais humain et fragile face à la Mort.

Par contre, ce messager qui lui livrait la mort de sa fille lui a - comme tu l'as noté - livré inconsciemment beaucoup plus. Cela sera suffisant pour que le Général comprenne le pot aux roses.

Citation :

Maintenant que veut-il faire? Suspect Il se demande où est sa fille, mais va-t-il la chercher pour la punir où pour se faire pardonner?

Ah ça, on verra bien

Merci beaucoup pour ton commentaire, Rudyjak :flower:

Jarjayes80 a écrit:

Citation :

contente de retrouver un chapitre de cette fic

Bien le bonjour, Madame ! Je suis très contente de te compter parmi les lecteurs de cette fic Comme tu as pu le constater, Chemins de croix est trrrrrès différent de De tout mon cœur, je te déteste (plus sombre, donc plus compliqué à écrire, mais mettant en scène notre duo chéri Oscar/André). Néanmoins, même si l'histoire en est moins "rigolote", j'espère qu'elle t'a plu.

Citation :

Le Général craint le pire pour sa fille, fille qu'il n'arrive pas complètement à détester, elle restera sa fille chérie même si celle-ci ne veut plus le considérer comme son père.

Les gestes - discutables - qu'a posés le Général ont toujours été faits pour le bien d'Oscar (et de l'honneur des Jarjayes). Il l'aime, à sa façon un peu maladroite certes, mais il l'aime. Voilà pourquoi j'ai tenu à vous le présenter d'une façon plus humaine dans ce chapitre.

Citation :

Il va certainement cherché à la retrouver.

Mais les événements des derniers mois l'auront-ils changé ? Admettons que le Général parte à la recherche de sa fille, quel sera le motif de cette traque ? Rudyjak l'a résumé ainsi:

Citation :

Il se demande où est sa fille, mais va-t-il la chercher pour la punir où pour se faire pardonner?

Nous verrons bien si les chemins de croix sur lesquels ont marché Oscar et André sont bel et bien terminé...

Merci d'être passé par cette fic Jarjayes80 ! Merci pour ton commentaire !

Zalzaaaallll heureuse de te retrouver !

je m'étonnais de ton absence si longue mais j'avais tort de m'inquiéter, et tant mieux

Je suis un peu pressée là mais dès que j'ai une minute , je t'envoie mes coms, à très vite !

Également très contente de te retrouver, ainsi que ta fic!

Voilà venu le moment tragique... Le Général attends des nouvelles de son enfant. Malgré tout ce qui les a opposé, il ne peut nier qu'il l'aime. Mais son Oscar.... est morte. Vif chagrin, même s'il le contient. On peux peut penser que la mort d'Oscar met en lumière toute leur relation. C'est quand les gens sont partis qu'on a mille choses à leur dire, et qu'on voit tout ce qu'ils ont été. Le général ne doit pas faire exeption à la règle...

Mais Alain, bien sur de lui, le texte réglé comme du papier à musique en a trop dit sans le savoir... Le Général déduit que sa fille n'est pas morte, et qu'elle a fuit...
Pas dix mille solutions: soit le Général la retrouve, il lui fait la leçon d'avoir joué ce vilain tour ( Général méchant), soit il lui demande pardon ( Général gentil). Ou alors il la laisse suivre sa route... Mais j'ai tendance à penser qu'il voudrait encore lui parler, ne serait ce qu'une dernière fois...

Pour ma part, je pense que le général a bien sûr deviné le subterfuge de nos amoureux; on pourrait craindre une réaction violente de sa part, néanmoins, je pense qu'échaudé et chamboulé par la nouvelle de sa prétendue mort, les choses doivent lui paraître toute autre à présent. De plus, toujours d'après moi, il ferait d'une pierre deux coups : la première est que l'honneur est sauf, Oscar est morte dans l'exercice de ses fonctions tout à fait honorablement, et donc de cette façon, rien ne s'opposerait plus à cet amour qui vivrait librement dans l'anonymat.

A voir ...

Oscar et le général sont du même bois, des statues de glace qui se brisent quand on leur prend ce qu'ils ont de plus précieux. Le général égale à lui même, attend que l'on vienne lui annonçer la mort d'Oscar, pour enfin montrer son profond attachement.

Attachement qu'Alain ressent, il compatit à cette douleur, récite des paroles maintes fois répétés, mais le général ne serait pas devenu cet homme sans cette finesse qui lui est propre. Le subterfuge lui saute aux yeux... Oscar est vivante, André aussi.

Je suis l'avis de Liberta, à mon avis, il veut les retrouver pour obtenir un pardon, je crois qu'il a compris qu'il est lui même responsable de cette soi disant mort

Merci Sara, Liberta et Cath

Chacune à votre façon, vous en venez à affirmer la même chose, soit que les événements - surtout l'annonce tant crainte de la mort d'Oscar - ont changé le Général, le rendant en quelque sorte plus humain. J'aime bien ce que tu as écrit à ce sujet, Cath:

Cath a écrit:

Citation :

Oscar et le général sont du même bois, des statues de glace qui se brisent quand on leur prend ce qu'ils ont de plus précieux.

C'est très bien dit et correspond tout à fait au père et à la fille !

Et tu as raison également, Sara, lorsque tu écris que c'est lorsque l'on perd quelqu'un qu'on réalise - trop tard - tout l'attachement qu'on lui portait. Le dernier affrontement qui l'a opposé à Oscar, ce refus de la reconnaître comme son père, son éloignement et finalement, sa "mort", auront beaucoup fait réfléchir le paternel.

Liberta a écrit:

Citation :

je pense qu'échaudé et chamboulé par la nouvelle de sa prétendue mort, les choses doivent lui paraître toute autre à présent.

Tu as très bien compris ma chère !

Mais bon... Maintenant que le Général sait que sa fille est vivante, maintenant qu'il se doute qu'André - qu'il avait pourtant éloigné en usant de viles manœuvres - se trouve aux côtés d'Oscar, que fera-t-il ? J'aime beaucoup l'hypothèse que tu avances, Liberta:

Liberta a écrit:

Citation :

il ferait d'une pierre deux coups : la première est que l'honneur est sauf, Oscar est morte dans l'exercice de ses fonctions tout à fait honorablement, et donc de cette façon, rien ne s'opposerait plus à cet amour qui vivrait librement dans l'anonymat.

Hum... Ça serait effectivement bien sensé... mais est-ce que c'est ce qui va se passer ?
Nous verrons bien.

Merci beaucoup à vous trois pour continuer à me lire ! Merci pour vos commentaires !

Autrement dit puisque officiellement Oscar est morte le Général peut se présenter tête haute partout.Mouais je trouve cela un peu "moche",mais d'un autre coté elle pourra vivre heureuse avec l'homme qu'elle aime,sans que cela ne se sache,et elle pourra s'épanouir tranquille,enfin j'espère pour eux.,

chapitre 22

Ben, le général n'a pas choisi le plus futé je dirai même qu'il a été à côté mais au moins André est sain et sauf et Albert ne l'a pas abandonné n'importe où (il a donc quand même qq neurones).

Mais pauvre Oscar !! sa souffrance est telle qu'elle n'a plus rien à perdre et affronte le général de toutes les manières qui soient.

Je trouve d'ailleurs que celui-ci est assez injuste : il lui a tout donné ! ca dépend de comment on se place . A remarquer : il pleure en perdant sa fille. Pourquoi ? en tant qu'enfant ? ou en tant que jouet ?

chapitre 23

Nous gagnons des réponses à nos nombreuses questions. Mais il reste encore des ombres.

André a tout perdu. On l'a tué donc il n'a plus d'existence réelle d'où ce nouveau nom. François de Jarjayes ??

L'histoire du prêtre lui montre ce qu'il ne voit pas et le prêtre ignore tout.

En tout cas, seule Oscar est inquiète et est morte en même temps pour ainsi dire. Quel gâchis dicté par l'honneur !!

chapitre 24

Pas facile l'approche avec André... il se noie dans l'alcool pour oublier son passé et ses malheurs mais la compassion d'Alain le remet en place, à tel point qu'il s'enrole dans les gardes françaises.

Effectivement, Oscar a de quoi être surprise

je me demande quellles vont être les conséquences de tout cela...

chapitre 25

Le choc d'Oscar en revoyant André, qui lui, s'est donné une ligne de conduite à tenir : feindre l'indifférence et l'hypocrisie ! Mais voilà, le coeur parle, ne veut pas de taire.

Le destin semble les ramener sans cesse l'un vers l'autre, comme une chose indestructible et incontrolable. Comment peut-on lutter contre le destin ?

chapitre 26

L'ouragan de la passion et de leur amour partagé si longtemps confisqué se déchaîne. Les mots sont inutiles, seuls les corps se parlent, s'expriment... Tout est oublié le temps des retrouvailles...

Ah si le général voyait ça

Mais maintenant qu'ils savent tout, l'implication des autres, je suis curieuse de voir la vengeance d'Oscar

chapitre 27

André se fait passé à tabac par les soldats ! Un piège sournois et inégal, bas. Se mettre à plusieurs contre un est loin d'être glorieux et honorable...

Ils sont conscients de jouer avec le feu mais n'ont pas d'autre solution jusqu'à cet incident. Oscar est prête à partir avec lui et refaire sa vie. je me demande où sans que le général ne puisse les retrouver. Parce qu'alors là;.. ca risque d'être l'horreur... quoique... il aura directement une attaque, c'est clair.

chapitre 28

Alain se pose beaucoup de questions sur son ami et c'est logique car trop de choses sont étranges et illogiques.

André finit par tout déballer et après une belle stupéfaction lol il pige tout; Il n'est pas bête Alain et c'est tant mieux car il a bien compris également que tout cela a un objectif...

Mais alors, comment vont-ils tuer Oscar sans vraiment la tuer ? Si mort il y a, le général va se plier en quatre pour trouver le coupable... a moins qu'il ne comprenne la farce...

chapitre 29

Quel plan !! Je n'étais plus sûre si Oscar avait succombée ou pas lol c'est quand il a dit"je t'aime".

En tout cas, ils ont bien utilisé les problèmes naissants pour camouflé leur fuite.

Espérons que tout le monde y croit

chapitre 30

Chapitre étonnant et intéressant.

On voit l'inquiétude d'un père, même s'il a renié sa fille, il l'aime plus que tout. Et on peut penser qu'il regrette un peu mais cela m'étonnerait, l'honneur de la famille est trop important.

Alain qui joue son rôle mais il n'aurait pas dû appuyer sur le fait qu'il y avait 2 corps. 4 ou 5 c'était ok mais que 2 c'est louche d'autant qu'il ne faut pas être débile pour remettre à César ce qui est à César. André a mal choisi son identité c'est aussi clair que 2 +2 font 4 pour le général... Certes, Alain devait ignorer le choix de son identité mais ils ont fait une erreur. Ou est-ce volontaire de leur part ???

Seulement, maintenant, le général va crier vengeance et ca m'étonnerait qu'il lâche le morceau. Non seulement, l'honneur de la famille est en jeu mais il a été bafoué dans son orgueil, on s'est joué de lui... et c'est pas bon

Agnès a écrit:

Citation :

Autrement dit puisque officiellement Oscar est morte le Général peut se présenter tête haute partout.Mouais je trouve cela un peu "moche",mais d'un autre coté elle pourra vivre heureuse avec l'homme qu'elle aime,sans que cela ne se sache,et elle pourra s'épanouir tranquille,enfin j'espère pour eux.,

On peut voir ça ainsi, oui, que l'honneur des Jarjayes est effectivement sauf. Cette "mort" était également la seule alternative envisageable pour Oscar et André. Les deux parties sont donc, en un sens, pour l'instant, gagnants. Maintenant, il ne reste qu'à voir ce que va faire le Général de sa découverte... Acceptera-t-il de laisser filer Oscar ?

Merci beaucoup pour ton commentaire, Agnès ! Merci de toujours lire cette fic (interminable) .

Ah Triste Fée ! Que je suis contente que tu te sois remise à la lecture de cette fic ! C'est que je pensais t'avoir définitivement découragée de la poursuivre (je suis fort consciente que mon style d'écriture peut s'avérer assez lourd comparativement à d'autres. J'ai même pris une pause en écriture parce que je ne savais plus si mon style correspondait bien à l'univers de LO. J'ai parfois l'impression de trop me perdre dans mes formules de phrases plutôt que d'aller à l'essentiel, d'écrire des histoires sans âme... Ah me voilà qui repars dans mes doutes ! Mais toi qui écris également, tu comprends sans doutes ce que je veux dire).

Bref...

Merci pour tous ces petits commentaires que tu sèmes au fil de ta lecture ! Durant tous ces chapitres (chapitres 22 à 30 en fait), il s'est effectivement passé beaucoup de choses: le Général qui tente de se débarrasser d'André, mais qui, malheureusement, fait appel à un abruti (abruti au cœur d'or heureusement); la mort d'André Grandier, mais la naissance de François Vautier (prénom qui rappelle inévitablement le deuxième prénom d'Oscar), cet homme au passé troublé; l'amitié naissante entre François et Alain qui incitera le premier à s'enrôler dans les gardes françaises; la rencontre du Colonel et du soldat Vautier qui ressuscitera les anciens amours; la folie qui s'empare des autres soldats lorqu'ils suspectent Vautier de les moucharder; la décision de tout quitter, la décision de tuer le Colonel.

Triste Fée a écrit:

Citation :

Quel plan !! Je n'étais plus sûre si Oscar avait succombée ou pas lol c'est quand il a dit"je t'aime".

En tout cas, ils ont bien utilisé les problèmes naissants pour camouflé leur fuite.

C'est qu'il m'en a donné des problèmes ce plan ! Je voulais que le tout soit cohérent, mais pas trop évident non plus. Contente que tu ai également cru à cette "mort". C'est ce que je voulais vous faire vivre aussi.

Quant au chapitre 30, je voulais m'attarder sur l'après, sur les effets du départ d'Oscar sur son père. On voit donc que le Général a vieilli, qu'il a mûri en quelque sorte. La crainte de perdre son enfant l'aura fait réfléchir.

Contrairement à tes consœurs, tu sembles penser que le Général, si jamais il retrouve nos deux tourtereaux en cavale, sera sans pitié...

C'est ce que nous verrons .

Merci beaucoup pour tous ces commentaires ! C'est réellement apprécié, Triste Fée :flower: .