Merci les filles   Je suis ravie que l'oncle Henri vous plaise autant. Je ne connais Mary Poppins que de nom, mais je vais jeter un œil sur l'oncle Albert
Je réponds plus en détails en début de semaine

Je suis complètement raccord avec Jarjayes je sens que l'oncle va se faire un malin plaisir à verbaliser les pensées, mêmes, surtout, les plus intimes d'Alain.
L'oscargot va se faire doper à l'oncle Henri :p

Aurore F a écrit:

Ah lala ça valait bien la peine de se donner tant de mal à identifier les fourchettes et cuillères pour rien. L'oncle se la joue à la Louis XIV et mange avec les doigts. Du grand Henri 

Il est bien clairvoyant mine de rien et devine certaines pensées. Mais ce repas est léger et est un bon moyen de jauger chacun et de laisser place aux rêves …
Hâte de voir ce que nous réserve encore Henri, car ça laisse Oscar un peu … perplexe  ^^

Oui hein, se donne tout se mal pour rien vive l'oncle Henri 
L'oncle Henri est clairvoyant en effet et il ne faut pas se laisser pendre à toute la mise en scène dont il s'entoure. Il est loin d'être aussi rêveur qu'il le prétend  Reste à savoir pourquoi 
Je suis heureuse qu'Henri te plaise. Je m'amuse beaucoup avec ce personnage  

Loufiction a écrit:

Tu sais à quoi ça m'a furieusement fait penser?
A l'oncle (Albert je crois???) dans Mary Poppins, qui prend son thé en l'air :p

Que de magie et de poésie dans cette scène

Je ne connais Mary Poppins que de nom (oui, je sais, honte à moi   ). Depuis hier, je me dis "je vais voir qui est l'oncle Albert qui prend son thé en l'air ou pas ?" et finalement je n'ai pas regardé, parce que je ne veux pas être influencée dans la construction du personnage  
L'oncle Henri  n'a pas son pareil pour entourer tout de magie et de poésie. C'est ce qui fait partie de son charme 
Je suis ravie qu'il te plaise. J'aime beaucoup imaginer ce personnage  

Lady Victoire a écrit:

Je plussoie ! Une jolie scène avec un Alain désarçonné par la clairvoyance d'Henri, qui s'est donné tout ce mal pour rien, et qui songe à ne pas choquer la femme qu'il aime, c'est touchant ça !  Merci Lénie !

Merci à toi  
Alain s'attendait à tout sauf à ça, c'est certain   Et l'oncle Henri qui lui fait juste la sortie qui le met vraiment mal à l'aise. Bon, Oscar étant Oscar, elle est totalement à l'Ouest et pour l'instant, ça m'arrange bien que notre miss Oscargot soit un    Cela permet de découvrir un autre aspect d'Alain.
Je suis contente que l'oncle Henri plaise, j'aime beaucoup imaginer ce personnage  

liberta a écrit:

On pourrait croire que tonton a deviné le malaise d'Alain au sujet des arts de la table; il a donc fait en sorte que le dîner se passe le plus simplement possible; sans tralala.
J'ai quand mm l'impression que ce monsieur en plus d'être légèrement original et farfelu vit aussi un peu dans un monde de magie intérieure...

Oui, il a compris. Et donc il fait de l'oncle Henri : réinventons tout, en saupoudrant de rêves et de magie  
Le monsieur se plaît bien dans ce monde de rêves, mais il y a aussi une raison à tout ça, que vous découvrirez dans la suite 

Marina a écrit:

J'adore tellement le personnage de l'oncle. Il me fait penser à moi qui vit dans un monde où s'entrecroisent réalité et fiction. Vivre dans mes écrits me donne la force de voguer dans la réalité, ça m'équilibre. Jsuis pas nette je sais j'ai oublier mes 

Il mets Alain mal à l'aise avec ses fabulations mais en même temps le rends à l'aise en brisant les conventions. Vraiment j'adore. Hâte de voir comment Oscar va continuer de voguer la dedans aussi. Alain syb adaptera t'il mieux? Qui sait hey hey

Je suis tellement contente que ce personnage plaise autant ! 
Je comprends très bien ce que tu dis, un soupçon d'imagination, il n'y a rien de telle pour se donner la force d'avancer dans la réalité  Les rêves et l'imagination, c'est une autre composante des  , en plus de l'Andrénaline 
Oui, il met Alain mal à l'aise tout en le mettant à l'aise au final. Le charme du paradoxe de l'oncle Henri  
Comment Oscar va-t-elle voguer là-dedans ? Et Alain ? Qui s'adaptera le mieux ? Hum... mystère  et révélations dans la suite  

Sabrina a écrit:

J'adore, on dirait une pièce de théâtre !
L'oncle Henri est vraiment haut en couleur, j'adore la façon dont il déstabilise Alain.
Je vous bien ce que veut dire Loufiction quand elle le compare à l'oncle Albert de Mary Poppins ^^
Il vit vraiment dans son monde, et c'est tout à fait ce qu'il faut à Oscar pour se changer les idées !

Tu ne crois pas si bien dire ! Tu comprendras pourquoi dans la suite, si je réussis mon coup comme je le souhaite  
Alain s'attendait à beaucoup de choses mais pas à ça ! Et finalement, ça convient plutôt bien à notre sergent préféré  
Je ne connais pas l'oncle Albert de Mary Poppins, mais je vous crois sur parole  Au risque de me répéter, je suis vraiment ravie que vous aimiez autant ce personnage ! 
Henri de Jarjayes a crée tout un monde autour de lui et de sa demeure. Il y a des chances que cela change les idées à notre chère colonelle 

cath a écrit:

Quel beau parleur cet oncle Henry, son but est ni plus ni moins de mettre à l'aise ses invités tout en les déstabilisant, de leur montrer une nouvelle façon d'apprivoiser l'inconnu..... oserais-je dire que je l'aime de plus en plus ? ouiiiiiiii

Vivement le prochain week-end !

Un beau parleur, oh oui !! Qui met à l'aise les gens en les déstabilisant pour les aider à voir le monde autrement. J'adore que tu oses l'aimer de plus en plus !! Je l'adore aussi  
J'espère pouvoir vous livrer la suite le week-end prochain. Disons que je vais faire mon possible, c'est très cruel de laisser les lecteurs en suspens entre deux rêves me souffle l'oncle Henri 

jarjayes80 a écrit:

J'avais gardé le chapitre pour ce matin. Il n'est même pas 10 h et j'ai déjà fini tout mon travail. La journée va être longue.

Pauvre Alain, l’oncle Henri devine toutes ses pensées et le devance même parfois. Après un peu de résistance et de jurons intérieurs, il finit par lâcher prise et se laisse aller au jeu de l’oncle Henri.

Alain n’aurait jamais imaginé un tel déjeuner dans un lieu paradisiaque. Il était loin de penser qu’il aurait pu manger avec les mains. Il va même jusqu’à dire vive le roi soleil lui, l’anti noble.

Oscar fait tout pour venir en aide à Alain lorsqu’elle sent que celui-ci est en panique. L’oncle Henri risque de jouer un rôle important afin d’ouvrir les yeux de sa nièce quant aux sentiments de son soldat. Elle voit mais ne comprend pas la gêne d’Alain.

L’oncle a l’air perché mais il est loin d’être bête, il a vite cerné le personnage d’Alain.

J’adore le portrait que tu fais de l’oncle Henri. Lorsque tu décris sa demeure, sa perception de la vie et de la mort, ça me fait penser au film « au-delà de nos rêves » avec Robin Williams.

J’ai hâte de lire la suite de ce repas peu ordinaire.

Si la journée est trop longue, tu peux toujours relire cette fic qui est particulièrement longue elle aussi 
Pauvre Alain, comme tu dis, il ne s'attendait pas à ça ! Oscar lui avait pourtant bien dit qu'elle n'était pas certaine que le repas prévu par son oncle soit conventionnel, mais comment imaginer ça ? Il faut être l'oncle Henri  Ou écrire cette histoire 
On a un oncle Henri qui fait dire "vive le Roi Soleil" à un des premiers à avoir pris la Bastille. Il fallait le faire ! Mais il n'y a rien de méchant, c'est plus une façon de le mettre à l'aise, de casser la façon qu'Alain a de voir les nobles. 
Oscar fait de son mieux pour aider Alain, sans comprendre toujours ce qui le met mal à l'aise. Et il y a des chances qu'à la réaction de notre sergent préféré, le tonton ait compris que le monsieur n'était pas indifférent à sa jolie nièce... Va-t-il enfoncer le clou ou pas ? Quand ? Mystère... et révélations dans la suite, à un moment, au détour du Gange  
L'oncle Henri, sous ses dehors d'original, n'est pas bête du tout. Je n'en dis pas plus, ce serait en dire trop  
Je ne connais pas "Au-delà de nos rêves" avec Robin Williams. Pareil que pour l'oncle Albert, j'ai hésité à aller voir et puis non, je ne préfère pas, pour ne pas être influencée dans la construction de l'histoire, des lieux et des personnages  
La suite arrive, à pas d'  , mais elle arrive  

Loufiction a écrit:

Je suis complètement raccord avec Jarjayes je sens que l'oncle va se faire un malin plaisir à verbaliser les pensées, mêmes, surtout, les plus intimes d'Alain.
L'oscargot va se faire doper à l'oncle Henri :p

Rho le coquin ! Il ferait ça ? Il oserait ? Heu... bah peut-être bien en fait   A voir où, quand et comment ? Dans la suite, à un moment, le long du Gange 
L'Oscargot va finir complètement camée, entre l'Andrénaline et l'oncle Henri   ça va nous donner un   de compét'

Elle va peut être s'essayer à l'Henriïne :p

Loufiction a écrit:

Elle va peut être s'essayer à l'Henriïne :p

Excellent, j'adore ! 

 

Pour l'instant j'ai d'autres lectures très intéressantes à lire   mais relire ta longue fic est une très bonne idée. Toutefois, j'aimerais, avant, lire les deux fics de Marina car honte à moi, je ne les ai pas encore commencé.

Oh tu n'as pas encore lu le tomber de culotte ? Le fameux ! 

Jarjayes tu vas tellement aimer le tomber de culottes :p 
Par contre y'a moyen que la massue soit de sortie, Marina a sérieusement joué avec nos nerfs :p

Je confirme, tu vas adorer le tomber de culottes 

Je vais m'y mettre prochainement surtout si le rythme de travail reste le même.

Cette après-midi, il y avait 8 tâches dans toutes les corbeilles réunies pour 11 agents, je n'étais pas capable d'en faire une car il y en avait 4 sur les cotisations, 2 radiations, une sur l'impôt libératoire (je ne sais même pas ce que c'est) et une lettre de notaire à traiter suite au décès d'un cotisant de 30 ans certainement mort dans un accident car l'acte de décès est déclaré par un gendarme.

Je ne sais même pas si j'aurais une tâche demain matin dans ma corbeille. Le mardi, il y a les relances des impayés et c'est la semaine de mon équipe donc nous ferons du pliage de papier et du collage d'enveloppe. Parfois il y a plus de 400 feuilles à imprimer, espérons que ce sera le cas demain, ce ne sera pas intéressant mais au moins je serais occupée.

Je ne suis plus sure du chapitre auquel je me suis arrêté mais je crois vaguement me souvenir que c'était au chapitre 68. Je suis ravie de retrouver les échanges piquants entre Alain et Oscar, notamment l'humour élégamment pince-sans-rire de cette dernière. J'avoue, à son histoire de "presse" du roi je me suis demandé une fraction de seconde si ça pouvais être vrai. La gourde de service... J'aime bien sa manière gentiment moqueuse d'amener Alain à comprendre des choses qui ne sont pas forcément évidente pour lui, alors qu'elle aurait tout autant pu se braquer dans son orgueil.
En parlant du sergent, comme il fallait s'y attendre, il ne suffit pas de se barder dans des promesses pour ranger proprement le désir amoureux au placard. Mon passage préféré du chapitre est sans doute celui où il laisse justement son imagination courir, j'adore cette intensité soudaine, presque brutale qui se joue dans son esprit alors qu'on le sait rester impassible face à Oscar, et le glissement dans son fantasme qui brouille encore une fois les rôles et les limites de l'époque. Par contre j'ignorais que le poisson pouvais servir comme ceinture de chasteté...comment ça, ça voudrais dire que ce n'est pas affriolant de vider des tripes ?   
Et André dans sa lettre si j'ai bien compris prévois de se suicider ?  La question c'est : quand a-t-il vraiment rédigé ces lettres? est-ce qu'elle sont juste le témoignage d'un épisode de désespoir passager et qu'il aurait tout de même conservé les lettres comme ça, ou est-ce qu'il prévoyait VRAIMENT de se tuer et n'en a pas eu l'occasion à cause de la prise de la Bastille ? Dans ce cas est-ce qu'on peut supposer qu'il serait allé au bout de son idée même en ayant survécu en étant auprès d'Oscar? Trop de question, au secours !

Scrrubi a écrit:

Je ne suis plus sure du chapitre auquel je me suis arrêté mais je crois vaguement me souvenir que c'était au chapitre 68. Je suis ravie de retrouver les échanges piquants entre Alain et Oscar, notamment l'humour élégamment pince-sans-rire de cette dernière. J'avoue, à son histoire de "presse" du roi je me suis demandé une fraction de seconde si ça pouvais être vrai. La gourde de service... J'aime bien sa manière gentiment moqueuse d'amener Alain à comprendre des choses qui ne sont pas forcément évidente pour lui, alors qu'elle aurait tout autant pu se braquer dans son orgueil.
En parlant du sergent, comme il fallait s'y attendre, il ne suffit pas de se barder dans des promesses pour ranger proprement le désir amoureux au placard. Mon passage préféré du chapitre est sans doute celui où il laisse justement son imagination courir, j'adore cette intensité soudaine, presque brutale qui se joue dans son esprit alors qu'on le sait rester impassible face à Oscar, et le glissement dans son fantasme qui brouille encore une fois les rôles et les limites de l'époque. Par contre j'ignorais que le poisson pouvais servir comme ceinture de chasteté...comment ça, ça voudrais dire que ce n'est pas affriolant de vider des tripes ?   
Et André dans sa lettre si j'ai bien compris prévois de se suicider ?  La question c'est : quand a-t-il vraiment rédigé ces lettres? est-ce qu'elle sont juste le témoignage d'un épisode de désespoir passager et qu'il aurait tout de même conservé les lettres comme ça, ou est-ce qu'il prévoyait VRAIMENT de se tuer et n'en a pas eu l'occasion à cause de la prise de la Bastille ? Dans ce cas est-ce qu'on peut supposer qu'il serait allé au bout de son idée même en ayant survécu en étant auprès d'Oscar? Trop de question, au secours !

Ah tu en es à la scène de poisson !    J'adore cette scène ! * mode humilité activé  * 
Tu es la première sur le forum à la lire remaniée, je crois. En fait, j'avais posté une première version qui laissait à désirer parce qu'on ne comprenait pas bien les tenants et les aboutissants de l'histoire du poisson. Je me souviens encore de Jarjayes me disant "mais c'est quoi cette histoire de poisson  " J'avais repris pour mes archives perso, mais n'avais pas demandé à Nicole de modifier parce que je lui demande assez souvent de changer un chapitre (généralement à cause de coquilles dont je m'aperçois deux ou trois jours après avoir posté). Mais comme il est question de relire les fics pour les Oscars 2019, j'ai finalement demandé à Nicole de remplacer ce chapitre. Et héroïquement, Nicole l'a fait  Et je constate en lisant ton commentaire, qu'une fois reprise, la scène fonctionne ! Je suis aux anges !!! 
Bon, maintenant que je me suis bien extasiée sur le fait que ça fonctionne, je te réponds un peu plus  
En fait, avec la "presse", tu as réagi comme Alain, au début, tu y as cru   J'adore   J'avais cherché un moment une répartie pour Oscar à ce moment-là, et j'étais partie chercher un peu au hasard des usages à la Cour, et je suis tombée sur la "presse". Je me suis dit immédiatement que c'était ça qu'il fallait placer. 
À ce moment-là de son histoire, je vois moins Oscar se braquer dans son orgueil, du moins avec Alain. Ils ont vécu tellement de choses ensemble qu'ils ont appris à se connaître et elle sait que s'il est parfois prisonnier des façons de pensée de l'époque (normal), il ne remet pas en question sa valeur personnelle, c'est plus une façon de penser sur ce qu'est une femme qui revient parfois malgré lui. 
Entre sa promesse et sa capacité à la tenir, il y a un fossé, dont le pauvre Alain commence à en faire l'expérience à ce moment. Désir, loyauté, toussa toussa, ça tiraille, et donc le  poisson comme ceinture de chasteté originale arrive tout désigné. Et ça marche 
Blague à part, j'aime beaucoup le self-control d'Alain dans cette scène qui est assailli intérieurement par quelque chose de violent mais qui n'en laisse rien paraître face à Oscar. Là, franchement, chapeau ! Finalement, il ne tient pas si mal que ça sa promesse  

Tu as bien compris, c'est bien une lettre de suicide qu'André a écrite. Mais je ne dirais rien de plus, sauf que les réponse viendront à un moment de l'intrigue. C'est un peu comme la réaction du Général à la dernière lettre d'Oscar, j'ai prévu ce qui va se passer depuis un moment mais ce n'est pas encore le bon moment dans l'histoire. Pour les lettres de suicide d'André, c'est pareil, ça viendra en temps et en heure, et d'ici là, patience    Auteure qui raconte son histoire en se promenant tranquillement en mode 
Si tu continues à lire, il y a des chances que tu te marres d'ici quelques chapitres. Tu découvriras des histoires de bain mouillé et de terribles fourchettes, enfin tu verras

On m'avais promis de la poilade, du fou rire, du loufoque, mais faut croire que c'est pas pour tout de suite. Parce franchement rien que le début m'a picoté le fond de la gorge, alors, je préfère prévenir,  tout de suite : attention, si ça continue trop longtemps, je vais engager une procédure pour publicité mensongère   

Plaisanterie mis à part, quel beau chapitre encore que celui-ci... Sans mentir, le premier paragraphe m'a remué, une phrase en particulier ("l'ombre parmi les ombres..."). C'est encore une belle preuve d'amour que de voir que même dans sa lettre d'adieu le bonheur d'Oscar reste son seul, unique préoccupation, et qu'il se sent obligé d'essayer de l'apaiser concernant son père. C'est d'ailleurs plus vers son interprétation à lui que je penche par rapport à cette scène plutôt que sur l'idée d'Oscar qu'il ne faisait avant tout que venger son nom. C'est vrai que dans le DA, il donne au début l'impression de n'être que l'extension du bras vengeur de la royauté, mais je suis persuadé que la motivation première de son acte était de lui épargner la souffrance et l'humiliation d'une condamnation publique.
(Le "Chère Oscar ne proteste pas" m'a pris au dépourvu, c'est limite flippant  )

Le passage sur Grand-mère est vraiment dur...Heureusement qu'il ne s'est pas suicidé, parce que là vraiment niveau pilule noir on aurait atteint le niveau de "féminité mortifié"    D'ailleurs, moment digression, ce qui dit André sur comment Grand-mère prendrai leur relation (du moins, de ce qu'il croit) m'a fait pensé à cette phrase dans "Au plaisir de Dieu" du vieux jardinier dont le fils à épouser la fille du duc : "Feu le duc votre Père disait qu'il n faut pas mélanger les conditions. Je le crois aussi. C'est pourquoi j'entends rester à la place où Dieu m'a fait naître. A votre service." 

Alain enfin...André avait vu juste pour lui et Oscar, comme d'hab', c'est deux là étaient fait pour s'entendre comme cochon. Et que j'aime ce moment où il lui dit de ne pas oublier de rappeler à son camarade son humanité à elle! C'est précisément ce qui fais trop cruellement défaut au André du DA pour que je l'apprécie en temps que tel, et qui rend le "tien" si sincère et touchant dans son amour.

Pour finir, je vais présumer que le fait qu'à l'évocation d'Alain précède directement l'injonction d'André à Oscar de vivre sa vie pleinement, n'est pas tout à fait un hasard, et que si pour l'instant elle réagit avec indignation, l'horizon reste ouvert aux possibilités 

Jarjayes préviens moi je vais ressortir mon armure de protection surtout que je suis très Oscargot dessus lolllll je crois que je m'enLOUISE dans l'inaction là 

Et l'Henriïne excellent 

Scrrubi a écrit:

On m'avais promis de la poilade, du fou rire, du loufoque, mais faut croire que c'est pas pour tout de suite. Parce franchement rien que le début m'a picoté le fond de la gorge, alors, je préfère prévenir,  tout de suite : attention, si ça continue trop longtemps, je vais engager une procédure pour publicité mensongère   

Plaisanterie mis à part, quel beau chapitre encore que celui-ci... Sans mentir, le premier paragraphe m'a remué, une phrase en particulier ("l'ombre parmi les ombres..."). C'est encore une belle preuve d'amour que de voir que même dans sa lettre d'adieu le bonheur d'Oscar reste son seul, unique préoccupation, et qu'il se sent obligé d'essayer de l'apaiser concernant son père. C'est d'ailleurs plus vers son interprétation à lui que je penche par rapport à cette scène plutôt que sur l'idée d'Oscar qu'il ne faisait avant tout que venger son nom. C'est vrai que dans le DA, il donne au début l'impression de n'être que l'extension du bras vengeur de la royauté, mais je suis persuadé que la motivation première de son acte était de lui épargner la souffrance et l'humiliation d'une condamnation publique.
(Le "Chère Oscar ne proteste pas" m'a pris au dépourvu, c'est limite flippant  )

Le passage sur Grand-mère est vraiment dur...Heureusement qu'il ne s'est pas suicidé, parce que là vraiment niveau pilule noir on aurait atteint le niveau de "féminité mortifié"    D'ailleurs, moment digression, ce qui dit André sur comment Grand-mère prendrai leur relation (du moins, de ce qu'il croit) m'a fait pensé à cette phrase dans "Au plaisir de Dieu" du vieux jardinier dont le fils à épouser la fille du duc : "Feu le duc votre Père disait qu'il n faut pas mélanger les conditions. Je le crois aussi. C'est pourquoi j'entends rester à la place où Dieu m'a fait naître. A votre service." 

Alain enfin...André avait vu juste pour lui et Oscar, comme d'hab', c'est deux là étaient fait pour s'entendre comme cochon. Et que j'aime ce moment où il lui dit de ne pas oublier de rappeler à son camarade son humanité à elle! C'est précisément ce qui fais trop cruellement défaut au André du DA pour que je l'apprécie en temps que tel, et qui rend le "tien" si sincère et touchant dans son amour.

Pour finir, je vais présumer que le fait qu'à l'évocation d'Alain précède directement l'injonction d'André à Oscar de vivre sa vie pleinement, n'est pas tout à fait un hasard, et que si pour l'instant elle réagit avec indignation, l'horizon reste ouvert aux possibilités 

Pour les poilades, les fous rires et le loufoque, il faudra attendre encore quelques chapitres en effet, pour l'instant, on parle suicide et adieu  Ah, l'auteure de cette histoire fait des tours et des détours, prend son temps, en bon     Mais promis, tu devrais rire dans quelques chapitres avec les découvertes d'Alain^^
J'aime imaginer le personnage d'André comme je le décris ici, c'est-à-dire faisant toujours passer le bonheur d'Oscar avant le sien. C'est ce qui fait toute sa force et toute sa faiblesse aussi. 
Ah alors pour l'épisode du père, en fait, j'ai imaginé cette interprétation un peu inattendue, comme j'ai imaginé celle d'Oscar (plus attendue), et au final, je ne sais pas vers laquelle pencher. "pour de vrai'. J'ai envie de penser qu'il y a un peu des deux, le nom et la royauté d'un côté, son amour pour sa fille de l'autre. 
Oui, après quelques    noires (il ne m'en restait plus de roses, alors j'ai pris ce qui restait  ), j'ai imaginé ce passage sur Grand-Mère. Et il est dur ! L'imaginer découvrant André mort, ouch ! La pauvre   Et imaginer André en train d'imaginer ça, re-ouch ! 
Oui, c'est exactement comme le vieux jardinier dans "Au Plaisir de Dieu", avec l'idée que chacun doit rester à sa place. 

C'est vrai qu'ils s'entendent bien Oscar et Alain tout compte fait  Est-ce à dire que par la suite il y aura quelque chose de plus ? Mystère...  

En fait, dans le DA, je trouve parfois que tous font comme si Oscar n'était pas un être humain, comme si elle se devait d'être au-dessus de tout et de tous (c'est un peu fort, mais c'est l'idée). André comme les autres. J'aime bien infléchir ça quand je le peux  Et je suis ravie que ça te plaise  
Le prochain chapitre est du même type que celui que tu viens de lire (cette fois, je préviens  ), les fous rires, c'est pour plus tard

Salut Lénie,

Toi aussi tu as publié pas mal de chapitres ces dernières semaines ! Et je n'ai pas commenté depuis le dernier épisode de balançoire… 

Alors, à toi aussi, je dirai simplement les passages que j'ai préféré :
- la découverte de ses appartements par Alain qui s'interroge sur toutes les bizarreries qu'ils contiennent (le lit à baldaquin, la baignoire et sa guimauve, la sonnette, les vêtements de nobles, etc...)
- son petit jeu avec le jeune valet qui ne sait pas comment réagir face à cet énergumène 
- le bain et les bulles d'Oscar
- toutes les descriptions que tu fais de la demeure de l'Oncle Henri et de sa décoration féérique : cela confère une ambiance particulière à cette partie de l'histoire
- la leçon de bonnes manières qu'Oscar prodigue à Alain autour des échanges de grains de raisin : j'ai vraiment beaucoup aimé ce passage et la façon dont Oscar s'y prend pour lui expliquer les bons usages et comment les contourner !
- le déjeuner sur la terrasse
- et l'Oncle Henri qui sous ses airs fantasques est en train de les analyser...

Est-ce que cette bulle de douceur, dans un monde féérique loin de tous les tracas, va durer ? Et jusqu'à quand ? Jusqu'à la naissance du bébé ? Ne risque-t-elle pas d'éclater à un moment face aux réalités ?

Hâte de savoir la suite

Falbala


.

Je vais la reposer là mais : 

Falbala a écrit:

Salut Lénie,

Toi aussi tu as publié pas mal de chapitres ces dernières semaines ! Et je n'ai pas commenté depuis le dernier épisode de balançoire… 

Alors, à toi aussi, je dirai simplement les passages que j'ai préféré :
- la découverte de ses appartements par Alain qui s'interroge sur toutes les bizarreries qu'ils contiennent (le lit à baldaquin, la baignoire et sa guimauve, la sonnette, les vêtements de nobles, etc...)
- son petit jeu avec le jeune valet qui ne sait pas comment réagir face à cet énergumène 
- le bain et les bulles d'Oscar
- toutes les descriptions que tu fais de la demeure de l'Oncle Henri et de sa décoration féérique : cela confère une ambiance particulière à cette partie de l'histoire
- la leçon de bonnes manières qu'Oscar prodigue à Alain autour des échanges de grains de raisin : j'ai vraiment beaucoup aimé ce passage et la façon dont Oscar s'y prend pour lui expliquer les bons usages et comment les contourner !
- le déjeuner sur la terrasse
- et l'Oncle Henri qui sous ses airs fantasques est en train de les analyser...

Est-ce que cette bulle de douceur, dans un monde féérique loin de tous les tracas, va durer ? Et jusqu'à quand ? Jusqu'à la naissance du bébé ? Ne risque-t-elle pas d'éclater à un moment face aux réalités ?

Hâte de savoir la suite

Falbala


.

Coucou Falbala !
J'ai profité du mois d'août pour avancer dans cette fic  Les passages dont tu me parles sont les passages essentiels. Je suis vraiment ravie que tu les ais aimés. En particulier la scène avec les grains de raisin. Je l'ai reprise plusieurs fois parce qu'à la base on ne comprenait pas bien le pourquoi de cette histoire de grains de raisin  
Les passages sur les manières de table et sur la décoration m'ont demandé pas mal de recherches parce qu'à la base j'avais commencé avec l'histoire des fourchettes sans savoir que les usages étaient aussi complexes. J'ai trouvé intéressant d'apprendre tout cela au passage  

Et tu finis en posant la question judicieuse : est-ce que cette bulle va durer et jusqu'à quand ? 

J'ai mis le chapitre suivant en ligne

Quel mystérieux homme cet Oncle Henri ! Son côté farfelu est là pour aider Oscar et etc à retrouver une certaine joie de vivre, alors que lui-même a quelque perdu cette "joie de vivre" et en même temps, il semble s'adonner au trafic d'armes et aussi aider ces femmes enceintes abandonnées de tous. Est-ce pour financer ces femmes qu'il vend des armes ou cela cache-t-il autre chose ? Malgré son côté décalé, l'oncle Henri me semble être un homme bien plus lucide qu'on ne le pense....

cath a écrit:

Quel mystérieux homme cet Oncle Henri ! Son côté farfelu est là pour aider Oscar et etc à retrouver une certaine joie de vivre, alors que lui-même a quelque perdu cette "joie de vivre" et en même temps, il semble s'adonner au trafic d'armes et aussi aider ces femmes enceintes abandonnées de tous. Est-ce pour financer ces femmes qu'il vend des armes ou cela cache-t-il autre chose ? Malgré son côté décalé, l'oncle Henri me semble être un homme bien plus lucide qu'on ne le pense....

 
Je n'en dirai pas trop, la réponse s'étale sur les deux prochains chapitres (en cours d'écriture )  Je vais juste dire que oui, c'est un homme mystérieux et que j'aime beaucoup construire ce personnage à multiples facettes

Chapitre 71

Tu as entendu Alain ? Arrête donc de te faire de la bile et prend bien soin d'Oscar ( de quelque manière que ça soit  ). " fais cela en mémoire de moi" un peu messianique non ? ça tombe bien , j'avais justement pour projet de proposer André à la canonisation, parce qu'à ce niveau de bienveillance il est en concurrence avec Sainte Thérèse. "Aimer c'est tout donner" je pense qu'on est en plein dans le mille   
Je n'ai pas grand chose à dire sur ce chapitre. Je me dit qu'il doit représenter une charnière du récit, puisque peut modifier la manière dont Alain aborde ses nouveaux sentiment pour Oscar en le poussant à se débarrasser d'une mauvaise conscience concernant André. Il y a encore ce passage sur l'idéalisation d'Oscar qu'encore une fois je trouve très juste, et qui fais sens avec ce que l'on vois dans le DA. Ton histoire porte bien son titre. Lire entre les lignes, oui, et pas seulement celle qu'écrit André, mais aussi celle de l'histoire originale. J'ajoute que ce chapitre m'a fait réaliser à quel point le style épistolaire peut être génial pour parler d'amour. Il y a un côté dématérialisé, sublimé, idéalisé du sentiment, et à la fois une sensation incroyable d'être au coeur de l'intimité et de la passion de l'auteur. Bref, c'est pas un genre qui m'intéressais à la base mais je pense qu'à force de te lire je vais finir par être converti 

ps : André tape toujours si juste que je commence à soupçonner cette histoire d'être beaucoup plus fantaisiste que de prime abord. Tu es sûre que ce n'est pas une sorte de magicien doué du don de clairvoyance ? 

Chapitre 71, pour le coup je suis retournée le lire
André serait canonisé immédiatement tellement il s'offre en sacrifice à son amour. Tu as raison, c'est messianique comme truc En fait c'est un chapitre que j'ai écrit aux alentours de Pâques, ceci explique sans doute cela
Alain a beau le lire, pour le coup, il est très inspiré par l'Oscargot Ce chapitre a bien un rôle pour la suite par rapport à Alain, tu notes que je ne dis pas lequel...    Non, non, je ne dis pas lequel... Je n'en dis pas plus pour ne pas trop en dire
On retrouve des choses similaires à ce qu'il dit à Oscar, forcément. Le passage sur l'idealisation, j'en ai profité parce que je trouvais ça intéressant. 
Oui ! Non seulement on lit entre les lignes d'André mais également entre les lignes de l'histoire originale. J'aime beaucoup jouer à ça dans certaines fics
Je t'ai convertie au style épistolaire ?   Décidément, on reste dans le religieux Je plaisante, je suis ravie !! Flattée aussi
C'est bien parce qu'il permet d'entrer dans l'intimité du personnage que je l'aime autant. Ok pas seulement, on peut aussi s' y permettre de grandes envolées lyriques qu'il est plus difficile de faire passer en style classique. J'adore les envolées lyriques et stylistiques Avoue que tu ne t'en doutais pas du tout 
André est-il magicien tant il tape juste ? Y a t il une histoire de licorne rose derrière tout ça ? Même pas ! C'est, juste l'auteure de cette fic qui déraille un peu de temps en temps J'aurais bien envie d'ajouter quelque chose, mais je ne peux pas. Tu comprendras lorsqu'on arrivera à la fin de cette fic-Gange Si, si, je t'assure que j'ai bien la fin en tête. Elle arrivera en temps et en heure, à un moment, cette année ou l'année prochaine, ou... Non, je plaisante. J'ai pratiquement toute l'histoire en tête jusqu'à la fin. C'est juste que bizarrement quand je la mets sur papier, la bougresse a tendance à s'allooooonger. Curieux phénomène 
Encore quelques chapitres et tu vas arriver aux chapitres où on rit. D'ici là, tu verras... J'avoue que je suis curieuse d'avoir ta réaction sur un point. Je n'en dis pas plus... Mais non je n'écris pas une intrigue policière, quelle idée  
Ah oui, il y a encore des chances que tu me traites de ventophile. Je plaide coupable, je me suis encore lâchée
Il n'y a pas que cette fic qui a des allures de Gange, mes réponses aussi 

 Loufiction, j'adore cette réplique de Raj, tout à fait appropriée.

En effet, l'oncle Henri réserve encore bourg des surprises, m'est avis également qu'il n'est pas que l'homme un peu farfelu qu'il montre...
J'ai vraiment hâte de savoir ce qui se cache sous cette histoire d'armes...

J'adore Le personnage d'Henri, ce côté loufoque, il n'arrête pas de surprendre Oscar et Alain.

J'ai adoré sur la phrase sur les confessions et la soutane   Il fallait la trouver celle-là   d'ailleurs c'est grâce à elle qu'il réussit à faire rire Oscar et Alain de bon cœur, chose que lui ne se permet plus depuis longtemps.

Je ne sais pas si l'oncle Henri fait du trafic d'armes mais c'est un vendeur de rêves. Il a compris toute la détresse d'Oscar de devoir mettre au monde un enfant sans père, il ressent aussi la tristesse d'Alain d'avoir perdu ses compagnons d'armes.

C'est un très bon psychanalyste.

Toutefois, je garde mon esprit logique et physique (matière/antimatière) et tout n'est certainement pas rose chez l'oncle Henri. Il y a forcément une logique du style rêve/cauchemar (réalité).

Les deux prochains chapitres donneront des réponses alors j'attendrais pour lire si ma théorie se vérifie.

Résultat garanti, tu m'as bien fait rire.

Loufiction a écrit:

Je vais la reposer là mais : 

Je ne l'avais pas vu  



@Jarjayes : tu as raison sur bien des choses dans ton commentaire. Tu  notes que je ne dis pas quoi, hein  J'ai pris des cours chez Aurore, je ménage mon suspens  
Ah la blague de la soutane, je me suis bien amusée en l'écrivant aussi 
En fait, j'ai coupé le chapitre parce qu'il allait être trop long. Et finalement, ça s'étale sur les deux prochains chapitres. Je pense les terminer et les relire le week-end prochain  
Je suis ravie que l'oncle Henri t'ait amusée, et qu'il te plaise avec son côté loufoque et vendeur de rêves

Merci Lénie pour ce chapitre qui nous montre que l'oncle Henri n'est sans doute pas seulement un doux dingue rêveur. Trafic d'armes ? Et s'il armait des révolutionnaires ? Ca plairait bien à Oscar et Alain alors !

Lénie a écrit:

@Jarjayes : tu as raison sur bien des choses dans ton commentaire. Tu  notes que je ne dis pas quoi, hein  J'ai pris des cours chez Aurore, je ménage mon suspens  

  j'ai ma petite idée car je te connais bien

Lady Victoire a écrit:

Merci Lénie pour ce chapitre qui nous montre que l'oncle Henri n'est sans doute pas seulement un doux dingue rêveur. Trafic d'armes ? Et s'il armait des révolutionnaires ? Ca plairait bien à Oscar et Alain alors !

L'oncle Henri n'est pas qu'un doux rêveur, je le confirme Pourquoi ces armes ? Pour armer les révolutionnaires ? Ah ah... Réponse dans la suite  

jarjayes80 a écrit:

Lénie a écrit:

@Jarjayes : tu as raison sur bien des choses dans ton commentaire. Tu  notes que je ne dis pas quoi, hein  J'ai pris des cours chez Aurore, je ménage mon suspens  

  j'ai ma petite idée car je te connais bien

Même pas mal  
Heu, ouais, en fait, un peu... Beaucoup !! Mais aieeeee !!!  
C'est vrai que tu as lu pas mal de mes textes et il y a des choses qui reviennent, forcément. On ne se refait pas Réponse dans la suite

chapitre 72

Je n'aimerais pas être à la place d'Alain. Ce n'est pas juste par obligation morale qu'il se refuse d'envisager quelque chose avec Oscar qui ne soit pas de l'amitié, ça va au delà du scrupule de ne pas "voler" la femme qu'aimais son ami. Il se sent obligé de mettre en comparaison ce qu'il ressent à l'image que lui renvoi André de son amour. Je ne pense pas que ce soit un sentiment très sain de se mortifier d'aimer quelqu'un à la folie, tout en pensant ne pas l'aimer assez et s'en faire le reproche. Tu aurais pu te servir de la lettre d'André comme une manière à Alain de se débarrasser de ses doutes et lui permettre de vivre plus librement ses désirs, mais au contraire, le voilà embarqué dans de nouvelles circonvolutions mentales. Enfin comme d'habitude quoi, le chemin emprunté n'est jamais le plus facile, au contraire, j'ai l'impression que tu t'éclate à prendre ceux qui sont bien longs et tortueux 
J'aime cette phrase " André avais offert sa vie à cette femme, et il s’apprêtait à lui offrir sa mort" et j'aime aussi au début cette image d'Alain qui essaye d'empoigner André, comme s'il était de retour au 13 juillet. Encore le contraste où aux mots d'André se succède le rappel brutal de son absence. Y'a rien à faire, je n'arrive toujours pas à m'y préparer. C'est vraiment cruel Lénie, tu sais ? tu le refait mourir tout les deux chapitres !  : p
Pour le coup d'Alain qui insiste sur le fait qu'il est roturier, j'ai le pressentiment que ça va pas mal être au centre des chapitres suivants, juste comme ça...

Enfin ils se réunissent dans leur deuil. Depuis le début on avais l'impression qu'Alain était la planche de salut d'Oscar, à la fois là pour la soutenir dans sa peine et l'en tirer en lui faisant penser à autre chose, mais cette fois les rôle s'inversent. Alain aussi à perdu quelqu'un de cher à son coeur. Et le fait qu'il ai négligé sa souffrance pour ne pas qu'elle "empiète" sur celle immense d'Oscar est pour moi déjà une preuve que s'il ne ressemble pas à André, leurs façon d'aimer ont leurs similitudes. (en tout cas c'est ce qu'il me semble). 
La conviction d'André qu'Oscar l'aimerai comme lui il l'aime si les choses avaient été un peu différentes peu avoir l'air au début d'une forme de prétention, d'excès d'assurance, mais en fait non, c'est une énième marque de combien il connaissait par coeur Oscar, alors que, rétrospectivement, elle s'est progressivement montré fait plus réservé et plus secrète.

Bref, tout ça pour dire que ce n'est pas encore aujourd'hui que je vais me marrer 

Ah non, ce n'est pas encore avec ce chapitre que tu vas te marrer Mais je te jure que ça va venir, si, si

Les chemins longs et tortueux ?  J'adore !! Bah quoi j'aime pas les autoroutes

En fait, je trouvais un peu simple que la lettre d'André soit un aller simple (avec moi, il n'y a jamais d'aller simple que des chemins bien bien compliqué tu veux savoir le pire, je ne le fais même pas exprès sur le moment, c'est après coup que je le vois en même temps, tu me connais un peu, hein, donc ça ne t'étonne pas trop ). Et puis je me disais que ça doit être inhibant de tomber sur un amour aussi absolu entre deux personnes. Comment aimer l'une d'elle après ça ? 

J'ai aussi une raison pour avoir pris ce chemin-là. Ça se retrouve dans la suite. Et puis il y a aussi le fait que moi-même j'hésite encore sur un point. J'ai la fin, mais sur un point, j'ai imaginé l'histoire dans plusieurs sens différents, et je me demande encore lequel prendre, même si ma destination finale est la même. Ça ne t'éclaire pas plus ? Tant mieux, je ne vais pas dévoiler trop mon jeu. Il ne faudrait pas que ce soit trop simple, hein

Rho, je ne suis pas un monstre tant que ça, si ? Je les trouvais plutôt beau tous les deux en écrivant ce chapitre. Ils sont là l'un pour l'autre, beaucoup plus proches qu'ils ne le pensent. 
Mais bon, je trouvais "romantique" à sa façon la fin de Féminité Mortifiee, alors bon...  

Tu as encore quelques chapitres avant de te marrer avec notre sergent préféré et le tonton fantasque  

Je file dormir maintenant 

***Édit ***
Oui, c'est une façon de montrer qu'André a finalement compris Oscar, comme toujours

***Edit n°2***
Si tu as envie de faire une avance rapide vers les chapitres amusants, ce sont les 76 à 82