Scrrubi a écrit:

Les soeurs d'Oscar sont définitivement des fines mouches, elles ont compris que le mal être de leur soeur est intimement lié à André et suspectent ces deux nigauds d'être amoureux l'un de l'autre sas s'en apercevoir. C'est intéressant parce qu'on a deux vision de la situation dépendante des expérience de chacune. Si toutes deux ne condamnent pas moralement la possibilité d'une relation, elles ont une approches différentes de celle-ci et de ses conséquences. ça nous donne aussi un petit aperçu de la condition de ces femmes à qui on ne demandais pas l'avis avant de les marier. Soit elles avaient un peu de chance de tomber sur un mari agréable soit...tant pis pour elles. Pas étonnant qu'il y ai une telle culture de la tromperie féminine à la Cour de cette époque.   
André fait une tentative de rapprochement par ce cadeau. Lui offre ce qu'il sais plaire à Oscar, pas ce que dois avoir un héritier. Bon, évidemment, c'est pas si simple, elle a son petit caractère  
Tu m'as fais peur, j'ai vraiment cru qu'elle allais lancer le cadeau au feu ! Ils ont vraiment besoin de mettre les choses à plat c'est deux là, qu'André aille panser la blessure d'amour propre qu'il lui a causé et qu'elle arrête de lui en vouloir. On avance lentement mais sûrement avec ces deux là !

Salut Scrrubi
Merci pour ta lecture. En effet Hortense et Joséphine ont des caractères et des vécus différents. Elles ont l’une comme l’autre deviné les raisons du mal être d’Oscar, mais elles ont une lecture différente des solutions à apporter à la situation.
Heureuse si j’ai pu retranscrire un tant soit peu la condition féminine de l’époque. Sachant également que cette condition féminine va perdurer pour l’essentiel jusqu’au début (voir la moitié) du XXème siècle...
Se rappeler que nous n’avons obtenu le droit de vote qu’en 1945 en France, le droit de travailler sans l’autorisation de son mari qu’au milieu des années 60, le droit d’avoir son propre compte chèque qu’au début des années 70...
D’ailleurs à ce propos le 8 mars sera la journée internationale des droits des femmes  !!


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Aurore F a écrit:

Ah les soeurs sont fines observatrices et n'ont pas mit longtemps à comprendre ce que les deux autres ne comprennent pas, ou fort mal.

André continue de penser à elle, à Oscar et non à l'héritier, comme peut le faire le Général et tente un rapprochement avec ce cadeau "de fille" rien que pour elle, pas pour le soldat qu'elle est. Une émotion et une nostalgie la prend à cela, mais bien vite la jalousie de repenser à lui avec d'autres, pensant qu'il en aurait fait de même avec elle, la rend folle et la fait presque bruler la chose.

Heureusement elle se reprend et préfère le ranger avec les autres cadeaux pour trouver un nouvel ami : la bouteille de Brandy, rangeant au placard tout ce qui la lié à cet enfance et à ces bons souvenirs ...

Oscar est ambivalente dans sa relation à André.
Elle a du mal à se passer de l’enfant qu’il était et elle est amoureuse de l’homme qu’il est devenu.
Elle est touchée par ses marques d’affection mais aussi blessée qu’il accorde ses faveurs à d’autres femmes. Elle ne sait pas ce qu’elle veut ou doit faire : s’en rapprocher ou s’en éloigner, se dévoiler ou se taire, se mettre en risque en allant vers lui ou le punir en conservant cette attitude de défiance...

Au final la jalousie prend le dessus. Et l’alcool n’arrange rien


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Loufiction a écrit:

Ah je savais bien qu'on avait une licorne de quartz shootée au citron dans le coin :p

Eh oui !! On sait toutes bien qu’il y a des tas de choses entassées en bas de cette armoire au fil des dizaines et des dizaines de FICs LO qui ont été publiées


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Lénie a écrit:

Les deux sœurs voient juste ! Mais finalement elles décident de laisser Oscar avancer sur son chemin par elle-même. J'ai particulièrement aimé le passage de la comparaison avec la rivière. C'est beau et c'est juste.
André lui a fait un cadeau qui s'adresse à elle et non à l'héritier. Elle est touchée mais en même temps elle a mal à cause des aventures d'André. Comme Scrubbi j'ai pensé qu'elle allait jeter la trousse au feu. Heureusement elle n'y parvient pas. Ça veut dire beaucoup.... 
Hé hé, une licorne de quartz rose et une poupée de porcelaine. Merci pour le clin d'œil. Ça fait plaisir
Oscar se choisit une autre compagne : la bouteille. Pas le meilleur plan mais elle fait ce qu'elle peut.
Hâte de connaître la suite !

Salut Lénie
Merci pour le passage sur la rivière. Ce sont sans doute des vérités de Lapalisse mais cela fait écho chez moi en ce moment  et je dois direz que je cherche où sont mes «parenthèses enchantées» à moi ...

Le cadeau a bien failli finir dans la cheminée je dois dire ! Mais non , décidément elle ne peut pas...

Contente que les clins d’oeil t’aient fait plaisir. Mais en même temps, tu es une spécialiste des cadeaux d’enfance dans tes FICs. Il était logique que l’on en retrouve certains en bas de cette armoire... Mais ici sa chère poupée ne parvient plus à la consoler et la conseiller. Et Oscar décide qu’elle n’a plus l’âge d’écouter cette poupée. Erreur...



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Certains placards cachent bien des surprises

Je commente demain, mon marchand de sable est arrivé

Sabrina a écrit:

J'ai beaucoup aimé la conversation entre les deux sœurs. Elles ont fait les bonnes déductions, dommage que Joséphine décide de ne pas aller donner son conseil à Oscar, j'aurais bien aimé voir ça !
Elle m'a fait de la peine Joséphine d'ailleurs, même si son sort devait être le lot de la majorité des femmes de l'époque...

J'ai trouvé la scène du cadeau très bien écrite aussi, on suit bien le cheminement de la pensée d'Oscar. Comme Scrubbi, j'ai cru que tu allais la jouer comme mon André de la fic de Noël, et faire finir le cadeau dans le feu ! Ouf !
J'ai absolument adoré sa boîte pleine des cadeaux d'André, et ces petites références aux fics de Lénie.
J'espère qu'André et Oscar vont vite réussir à se retrouver, c'est dur de les voir souffrir comme ça...

Heureuse si ma Joséphine t’a touché. Son sort n’a rien d’exceptionnel par rapport à l’époque en effet. Mais elle le vit d’autant plus mal que c’est une femme de caractère à la base, coincée entre révolte et soumission. Elle aussi étouffe dans le rôle que lui ont assigné ses parents via ce mariage et la Société en général 
Nos héros souffrent. Mais c’est aussi ce qui fait le sel de cette histoire



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Falbala a écrit:

Scrrubi a écrit:

Les soeurs d'Oscar sont définitivement des fines mouches, elles ont compris que le mal être de leur soeur est intimement lié à André et suspectent ces deux nigauds d'être amoureux l'un de l'autre sas s'en apercevoir. C'est intéressant parce qu'on a deux vision de la situation dépendante des expérience de chacune. Si toutes deux ne condamnent pas moralement la possibilité d'une relation, elles ont une approches différentes de celle-ci et de ses conséquences. ça nous donne aussi un petit aperçu de la condition de ces femmes à qui on ne demandais pas l'avis avant de les marier. Soit elles avaient un peu de chance de tomber sur un mari agréable soit...tant pis pour elles. Pas étonnant qu'il y ai une telle culture de la tromperie féminine à la Cour de cette époque.   
André fait une tentative de rapprochement par ce cadeau. Lui offre ce qu'il sais plaire à Oscar, pas ce que dois avoir un héritier. Bon, évidemment, c'est pas si simple, elle a son petit caractère  
Tu m'as fais peur, j'ai vraiment cru qu'elle allais lancer le cadeau au feu ! Ils ont vraiment besoin de mettre les choses à plat c'est deux là, qu'André aille panser la blessure d'amour propre qu'il lui a causé et qu'elle arrête de lui en vouloir. On avance lentement mais sûrement avec ces deux là !

Salut Scrrubi
Merci pour ta lecture. En effet Hortense et Joséphine ont des caractères et des vécus différents. Elles ont l’une comme l’autre deviné les raisons du mal être d’Oscar, mais elles ont une lecture différente des solutions à apporter à la situation.
Heureuse si j’ai pu retranscrire un tant soit peu la condition féminine de l’époque. Sachant également que cette condition féminine va perdurer pour l’essentiel jusqu’au début (voir la moitié) du XXème siècle...
Se rappeler que nous n’avons obtenu le droit de vote qu’en 1945 en France, le droit de travailler sans l’autorisation de son mari qu’au milieu des années 60, le droit d’avoir son propre compte chèque qu’au début des années 70...
D’ailleurs à ce propos le 8 mars sera la journée internationale des droits des femmes  !!


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Lire ton commentaire du matin m'a énervé car malgré la révolution, où les femmes ont aussi joué un rôle, celles-ci n'avaient pas plus de droit qu'un animal.

Un de mes amis m’a fait lire récemment les premières pages édifiantes d’un livret de famille datant de 1922 qui expliquent les droits du mari et de la femme dans le couple... il faut que je le retrouve et vous l’envoie. C’est atterrant...
Je me suis même donné pour mission de regarder les livrets de famille plus récents dont je dispose pour voir jusqu’à quand ces abominations ont été écrites et distribuées...
Falbala 


.

J'ai fini de lire le chapitre, je me suis endormi dessus hier soir. Pas à cause du chapitre, j'ai juste mal dormi la nuit d'avant. Il faisait trop chaud chez la copine.

Les deux soeurs ont compris le malaise entre Oscar et André, elles sont très perspicaces.

J'ai beaucoup aimé le passage avec Oscar seule dans sa chambre, tu as très bien écrit cette détresse qu'elle ressent. Pas tout à fait homme pour son père elle ne peut répondre à sa pleine satisfaction et lui ne voit que cet homme qu'elle n'est pas.

Le cadeau d'André lui a réchauffé le coeur et lui a brisé 2 minutes plus tard. Elle est amoureuse mais elle n'a rien compris car c'est un   et André ne s'en est pas aperçu.

Falbala a écrit:

Un de mes amis m’a fait lire récemment les premières pages édifiantes d’un livret de famille datant de 1922 qui expliquent les droits du mari et de la femme dans le couple... il faut que je le retrouve et vous l’envoie. C’est atterrant...
Je me suis même donné pour mission de regarder les livrets de famille plus récents dont je dispose pour voir jusqu’à quand ces abominations ont été écrites et distribuées...
Falbala 


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Avec plaisir ! C'est très intéressant à connaître,, même si ça fait bouillir intérieurement.

L'interaction de Joséphine & Hortense est fine et correspondante à l'époque, l'une a une de la chance et l'autre, pas. On comprend mieux l'envie de Joséphine de voir Oscar heureuse, elle-même étouffée par son mariage souhaite évidemment qu'Oscar trouve le bonheur avec André, sauf qu'il est peut-être encore tôt pour qu'ils puissent enfin l'un comme l'autre voir l'évidence. Faits l'un pour l'autre, sauf que la vie est faite d'embûches.

Le cadeau d'André est top, il la connait bien au fil des années passées à ses côtés. Pour finir ce Noël aura été à l'identique des autres. Oscar est l'héritier des Jarjayes est doit vivre en tant que tel, sauf que Papa Jarjayes qu'elle ait avant tout : une femme.

jarjayes80 a écrit:

J'ai fini de lire le chapitre, je me suis endormi dessus hier soir. Pas à cause du chapitre, j'ai juste mal dormi la nuit d'avant. Il faisait trop chaud chez la copine.

Les deux soeurs ont compris le malaise entre Oscar et André, elles sont très perspicaces.

J'ai beaucoup aimé le passage avec Oscar seule dans sa chambre, tu as très bien écrit cette détresse qu'elle ressent. Pas tout à fait homme pour son père elle ne peut répondre à sa pleine satisfaction et lui ne voit que cet homme qu'elle n'est pas.

Le cadeau d'André lui a réchauffé le coeur et lui a brisé 2 minutes plus tard. Elle est amoureuse mais elle n'a rien compris car c'est un   et André ne s'en est pas aperçu.

 

Les grandes sœurs sont perspicaces car elles ont un peu de vécu. Et car elles connaissent bien les deux escargots puisqu'elles les ont vu grandir...

La scène d'Oscar face à ses pistolets n'était pas prévu quand j'ai commencé à écrire ce chapitre. Je voulais surtout montrer sa réaction face au cadeau d'André. Mais j'ai trouvé intéressant ce petit préambule qui faisait lien avec la façon cérémonieuse (et gênante pour elle) dont son père lui a remis ce cadeau.

Oscar est toujours tiraillée entre sa vie d'homme et sa réalité de femme...

Falbala.


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cath a écrit:

L'interaction de Joséphine & Hortense est fine et correspondante à l'époque, l'une a une de la chance et l'autre, pas. On comprend mieux l'envie de Joséphine de voir Oscar heureuse, elle-même étouffée par son mariage souhaite évidemment qu'Oscar trouve le bonheur avec André, sauf qu'il est peut-être encore tôt pour qu'ils puissent enfin l'un comme l'autre voir l'évidence. Faits l'un pour l'autre, sauf que la vie est faite d'embûches.

Le cadeau d'André est top, il la connait bien au fil des années passées à ses côtés. Pour finir ce Noël aura été à l'identique des autres. Oscar est l'héritier des Jarjayes est doit vivre en tant que tel, sauf que Papa Jarjayes qu'elle ait avant tout : une femme.

 

Oui j'ai voulu cette connivence entre les sœurs pour permettre qu'elles se parlent assez librement de leurs vies et de leurs problèmes. Que grâce à cela elles décryptent la situation entre André et Oscar. Mais que vont-elles en faire à présent ? Interviendront-elles ou pas ?

Falbala.


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Bon allez, je ne résiste pas à l'envie de vous poster le chapitre suivant
Il est plus long que d'ordinaire, mais je ne me voyais pas le couper sans perdre de la tension que j'ai cherché à y mettre...
Falbala.


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Oh je vais lire ça tout de suite !

Enfin !! Quelle déclaration intense et belle !! Tu as eu bien raison de ne pas couper le chapitre. Pour le coup, on en veut un peu à Grand- Mère de jouer les trouble-fête. Bizarrement j'ai l'impression qu'ils vont rencontrer d'autres obstacles plus sérieux. J'espère que non mais c'est une impression.
En tout cas, j'ai beaucoup aimé ce chapitre :! 

Bon sang j'ai craint jusqu'à la fin du chapitre que l'un des deux ne se réveille d'un rêve!!!
Youhou ENFIN !!!

Superbe confrontation, ça bouillonnait d'un côté comme de l'autre. Il était plus que temps que tout soit mis à plat. Ils se faisaient du mal, et s'enfonçaient dans des malentendus et des mauvaises décisions.

Comment vont-ils gérer leur amour révélé, ils sont encore bien jeunes, vont-ils supporter la pression du monde extérieur?

On avais le fantôme pour Sabrina, maintenant c'est grand Mère qui joue les troubles fêtes ! Enfin, heureusement elle n'est pas intervenu avant leur baiser 

La confrontation a eu lieu, il était temps. André a pu constater que toute la rage et la colère d'Oscar envers lui n'était que le résultat de sa terrible jalousie. C'était très intense comme scène, et aussi violemment a -t-elle commencé, aussi tendrement a-t-elle fini. Au delà des élans amoureux, on sens toute la tension des derniers mois s'évanouir et leur complicité d'antan reprendre ses droits sur leurs coeurs.
 J'aime bien qu'Oscar soit celle qui après coup prenne l'initiative d'approfondir leur échanges. Vivement le lendemain soir, je pense qu'il leur tarde à tout les deux 

Je commenterai plus en détail demain, en attendant j'ai juste envie de dire :

Je lirais ce chapitre au travail tout à l'heure   si la connexion refonctionne.

J'ai pas pu écrire mon commentaire entre les deux chapitres mais g adoré.  J'ai tellement cru qu'Oscar lancerait le cadeau dans le feu je hurlais dans ma tête maudite folle . Mais ouf elle l'a pas fait. J'ai aimé tes clins d'oeil à l'émission aussi.

 Puis l'orage enfin il fallait bien que ça pète un manné.  J'ai adoré la tension que tu as installé puis la tendresse pour la suite.

Mais j'ai l'impression que rien ne sera vraiment si facile en 1774.
Hâte de voir

Jarjayes en mode un peu plus réveillée.

J'ai adoré ce chapitre  quelle déclaration    L'abcès est crevé

J'ai adoré le coup du cheval comme excuse, GM n'a pas capté 

Je te rappelle le nom de ta fic "deux pommes" j'espère bien qu'ils vont la croquer  ta fic est classée dans la section lemon 

Les soeurs d'oscar vont tout de suite remarquer le comportement des deux tourtereaux. 

Me revoilà !

Alors déjà laisse moi te dire qu'hier ma journée a été pourrie au possible et que ton chapitre a été la seule chose qui m'a mise de bonne humeur, donc un grand merci à toi !

J'ai absolument adoré l'intensité de l'échange entre André et Oscar, que ce soit au niveau de la colère et de l'incompréhension de début que de la passion qui fait suite. Je crois que ces une des scènes de déclaration entre eux deux que je préfère, toutes fics confondues.
L'abcès est enfin crevé, et même si on se doute que tout ne sera pas facile, ça fait vraiment du bien de les voir s'expliquer et enfin être sur la même longueur d'ondes.
J'ai adoré leur complicité retrouvée, et l'allusion au cheval que fait André à GM ^^
Et j'ai beaucoup aimé que tu reprennes le texte qu'André avait écrit sur le dessin d'Oscar, et que tous les deux l'ont retenu par coeur, c'est vraiment beau.
Hâte de lire la suite à présent !

Quel chapitre ! Ca s'engueule, ça se bastonne, ça fuse à tout va... et ça s'embrasse et quel baiser !

Une fois les pendules remises à l'heure, leurs déclarations réciproques sont belles, ils sont magnifiques une fois les sentiments avoués, sauf que.... GM vient une fois de plus y mettre son grain de sel, mais pour cette fois on peut lui pardonner !

Très beau chapitre que j'ai adoré, merci Falbala de me faire tjrs autant aimer Oscar/André

Aurore F a écrit:

Ah bah ça y est !
Il aura qu'Oscar tombe pile au "bon moment" pour qu'enfin éclate la colère et que cet abcès se crève enfin.

Bel affrontement et les aveux qui tombent comme ça, but en blanc, c'était nécessaire et maintenant, leur complicité semble être revenue, comme si rien ne s'était passé.

  c'est pour GM qui débarque pas au bon moment et qui interrompt un beau moment.
André ne perd pas la chose de vu et donne déjà rdv à Oscar la nuit suivante, ce sera toujours mieux que dans le pigeonnier, il a raison ^^

Mais est-ce que ce sera si simple ? J'ai quelques doutes  ^

 Aurore
Pas pris le temps de vous répondre...

Alors oui Oscar tombe juste au moment inopportun ! (Ça a du bon finalement ces petites servantes écervelées ). Et cela déclenche cet affrontement musclé entre nos deux escargots qui, à force d’accumuler les contrariétés et les non dits, sont bien montés en pression depuis plusieurs chapitres


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Lénie a écrit:

Enfin !! Quelle déclaration intense et belle !! Tu as eu bien raison de ne pas couper le chapitre. Pour le coup, on en veut un peu à Grand- Mère de jouer les trouble-fête. Bizarrement j'ai l'impression qu'ils vont rencontrer d'autres obstacles plus sérieux. J'espère que non mais c'est une impression.
En tout cas, j'ai beaucoup aimé ce chapitre :! 

 Lénie 
Heureuse que cette déclaration (non coupée au montage !) t’ai plu.
Grand Mère arrive comme un cheveux sur la soupe, c’est vrai
Mais il faut bien un trublion sinon ce serait trop simple !


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Loufiction a écrit:

Bon sang j'ai craint jusqu'à la fin du chapitre que l'un des deux ne se réveille d'un rêve!!!
Youhou ENFIN !!!

Coucou Loufiction
Et non ! Pas de rêve cette fois ci !
C’est pour de vrai cette engueulade puis ces déclarations enflammées

liberta a écrit:

Superbe confrontation, ça bouillonnait d'un côté comme de l'autre. Il était plus que temps que tout soit mis à plat. Ils se faisaient du mal, et s'enfonçaient dans des malentendus et des mauvaises décisions.

Comment vont-ils gérer leur amour révélé, ils sont encore bien jeunes, vont-ils supporter la pression du monde extérieur?

Heureuse que cette confrontation t’ai parue bouillonnante !
C’est vraiment l’effet que je souhaitais produire : une explosion après des chapitres et des chapitres de montée en pression. Une explosion qui révèle enfin la vérité sur leurs sentiments partagés.
En fait, ce chapitre était écrit depuis longtemps. Même avant les chapitres avec Oscar qui redevient désagréable , la sève de pin, les soeurs, etc...


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Scrrubi a écrit:

On avais le fantôme pour Sabrina, maintenant c'est grand Mère qui joue les troubles fêtes ! Enfin, heureusement elle n'est pas intervenu avant leur baiser 

La confrontation a eu lieu, il était temps. André a pu constater que toute la rage et la colère d'Oscar envers lui n'était que le résultat de sa terrible jalousie. C'était très intense comme scène, et aussi violemment a -t-elle commencé, aussi tendrement a-t-elle fini. Au delà des élans amoureux, on sens toute la tension des derniers mois s'évanouir et leur complicité d'antan reprendre ses droits sur leurs coeurs.
 J'aime bien qu'Oscar soit celle qui après coup prenne l'initiative d'approfondir leur échanges. Vivement le lendemain soir, je pense qu'il leur tarde à tout les deux 

  Sccrubi
Voilà une analyse et un résumé des plus justes sur ce chapitre dont tu as bien compris l’esprit
Rage, colère, jalousie devenue maladive... violence qui s’exprime avec les mots mais aussi avec les coups... Puis quelques mots qui disent tout... Et cette tension extrême s’évanouit pour laisser place à l’amour brut, la libération des sens et des envies, la tendresse et la complicité...

Vivement demain soir ?? Mais es tu sûre qu’il va se passer quelque chose demain soir ??




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Lady Victoire a écrit:

Marina a écrit:

J'ai pas pu écrire mon commentaire entre les deux chapitres mais g adoré.  J'ai tellement cru qu'Oscar lancerait le cadeau dans le feu je hurlais dans ma tête maudite folle . Mais ouf elle l'a pas fait. J'ai aimé tes clins d'oeil à l'émission aussi.

 Puis l'orage enfin il fallait bien que ça pète un manné.  J'ai adoré la tension que tu as installé puis la tendresse pour la suite.

Mais j'ai l'impression que rien ne sera vraiment si facile en 1774.
Hâte de voir

 Marina pour ton commentaire !
Le cadeau a bien failli passé au feu ! Mais finalement il a rejoint ceux de Lénie en bas de l’armoire
1774 sera t il simple ou pas ?
Vais je continuer à les faire souffrir ou pas ?
Qui lira verra...


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jarjayes80 a écrit:

Jarjayes en mode un peu plus réveillée.

J'ai adoré ce chapitre  quelle déclaration    L'abcès est crevé

J'ai adoré le coup du cheval comme excuse, GM n'a pas capté 

Je te rappelle le nom de ta fic "deux pommes" j'espère bien qu'ils vont la croquer  ta fic est classée dans la section lemon 

Les soeurs d'oscar vont tout de suite remarquer le comportement des deux tourtereaux. 

Merci Jarjayes pour ton enthousiasme !
Heureuse que cette déclaration ait fait son effet auprès de toi

Pour le cheval : ben oui c’est le retour des taquineries à deux balles d’André !
Il est tellement heureux, comme libéré. Il plane sur son nuage de félicité...

Et pour ce qui est des pommes... Oui oui, on est bien dans la section lemon !



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