Réalité parallèle, je trouve que ça matche bien avec l'histoire, c'est même plus intéressant que de faire une simple modification du passé et une fois de plus Grand-mère leur donne un indice pour avancer encore que là, y a du boulot pour trouver l'instant exact du grand chambardement 

Je plaide coupable pour la servante !

cath a écrit:

Réalité parallèle, je trouve que ça matche bien avec l'histoire, c'est même plus intéressant que de faire une simple modification du passé et une fois de plus Grand-mère leur donne un indice pour avancer encore que là, y a du boulot pour trouver l'instant exact du grand chambardement 

Je plaide coupable pour la servante !

Ah il me semblait bien que l'une d'entre vous avait trouvé la servante suspecte
Maintenant il va falloir effectivement trouver le bon moment et voir si Grand-Mère va réussir à les y "emmener" ou s'ils devront se débrouiller.
A moins que Farley ne leur tombe dessus avant?

Oscar qui veut repasser les pierres, ouh que ça me plait!
Bien sûr, ça peut être un risque mais ça lui ressemble tellement que j'ai très très envie qu'elle le fasse !
Mais avant tout, il faut en savoir plus et donc fouiller chez Faustine et Mathieu. Le procédé ne lui plaît pas mais à la guerre comme à la guerre.
Je trouve très juste tout ce que tu dis de la colère et de la rage qui la portent, puis cette tristesse qui l'envahit quand elle voit la photo. Et finalement elle se laisse aller et pleure.
Malgré tout je ne peux pas m'empêcher de me demander ce que fabrique André pendant tout ce temps. Pas une petite lueur de son côté ? Pas une bribe de reminiscence? Pas de trouble, même rapide ? Vraiment rien ? Même pas la lueur d'une luciole ? Hein, ça te dit rien les lucioles ? Non ?! Oh oh, Dede, on se réveille là !! T'es juste en train de faire la connerie du millénaire voire de toute l'éternité !!   
 Et Borelli qui repointe le bout de son nez. Et s'il y avait un lien avec Farley ? Après tout, Borelli pouvait être là dans le passé aussi ?
Bref, ça cogite en lisant ce chapitre 

Merci Lénie J'avais peur d'être redondante avec la colère/tristesse d'Oscar mais bon à sa place franchement, ferait-on mieux?

Borelli ... on en saura plus dans quelques chapitres, mais je suis drôlement contente de ce que m'a soufflé la muse et j'ai tellement hâte de l'écrire! Mais pour l'instant je suis bloquée au chapitre suivant avant de pouvoir raccrocher avec la suite qui est déjà écrite.

Oscar veut elle aussi faire un tour dans le passé, elle est déterminée à agir et non plus à rester passive, mais je me pose quand même une question, pourra-t-elle passer ces fameuses pierres vu qu'à son contact, les vibrations sont différentes, GM aurait-elle fait preuve de magie pour les bloquer justement, où juste moi qui me fait des idées ?

Oscar reprend du poil de la bête jusqu'à une grosse crise de larmes, une énième crise pour enfin éclaircir toute cette tristesse et pouvoir avancer...... la connaissant, elle ne va pas lâcher le morceau, et va continuer ses recherches.

La demoiselle est têtue comme une mule c'est certain, quand elle a une idée en tête, elle ne l'a pas ailleurs

Maintenant reste à voir ce qu'il va se passer. Vouloir passer les pierres c'est une chose mais y arriver s'en est une autre.

Il lui manque des éléments :

1/ Est-ce qu'elle peut vraiment sans risquer sa vie?
2/ Comment?
3/ Mais s'il existe un risque pour sa vie, n'est-elle pas tellement désespérée qu'elle prendra tout de même le risque?
4/ Qui ou quoi voire qui et quoi pourrait l'en empêcher?
5/ Arrivera-t-on à l'en empêcher?

J'ai tout dans la tête mais pas de temps pour l'écrire :/

Merci pour ce chapitre ! Il est top !

Lady Victoire a écrit:

Merci pour ce chapitre ! Il est top !

Merci contente que tu l'aies apprécié.

Hello !

Pas pris le temps de commenter le chapitre précédent. Mais je l'avais trouvé très juste.
On imagine bien Oscar coincée chez les Soissons qui ne pense qu'à se sauver pour aller mener l'enquête chez sa fille, bébé sous le bras et stress Borellien en plus...

Franchir les pierres la démange malgré les risques. Et l'inaction la rend folle. Bref elle ne tient plus en place. Mais on peut se demander si ce n'est pas un moyen de s'occuper l'esprit pour s'empêcher de penser à André... Et d'ailleurs elle finit par craquer. C'est très touchant la façon dont tu l'as décrit. Cette pudeur qu'elle a au moment d'évacuer sa peine et la faiblesse qu'elle en ressent. Je pense qu'on a toutes déjà vécu ça au moins une fois...

Et ce nouveau chapitre mettant Faustine face aux interrogations de Girodelle est très agréable aussi. J'ai aimé l'ambiance décrite dans ce château "désenchanté" qui n'est plus que l'ombre de ce qu'il a été (comme son propriétaire). Tout transpire la mélancolie : les pièces, les tableaux, et Girodelle aussi.

Faustine lui fait une promesse sans doute bien compliquée. A suivre !
J'ai hâte de voir comment tu vas traiter cette idée de "dimension parallèle".

Falbala


.

Lady Victoire a écrit:

Qu'il est joli ce chapitre, avec ce clair-obscur nocturne qui fait écho aux pensées mélancoliques de Girodelle. Une parenthèse peut-être entre deux chapitres d'action, mais un joli moment. Belle promesse de Faustine en tout cas, pas simple à réaliser mais pleine de noblesse ! Merci Loufiction !

Merci Lady-Victoire, à nouveau, c'est une idée nocturne de la muse Je l'ai "retouché" hier soir juste avant de le poster, je suis contente que ça fonctionne.
Et oui, je suis d'accord, quelle promesse! Je me suis toujours dit qu'il méritait le bonheur aussi, m'enfin quand on voit le bonheur qu'Oscar et André ont eu ... c'était très cher payé au final :'(

Falbala a écrit:

Hello !

Pas pris le temps de commenter le chapitre précédent. Mais je l'avais trouvé très juste.
On imagine bien Oscar coincée chez les Soissons qui ne pense qu'à se sauver pour aller mener l'enquête chez sa fille, bébé sous le bras et stress Borellien en plus...

Franchir les pierres la démange malgré les risques. Et l'inaction la rend folle. Bref elle ne tient plus en place. Mais on peut se demander si ce n'est pas un moyen de s'occuper l'esprit pour s'empêcher de penser à André... Et d'ailleurs elle finit par craquer. C'est très touchant la façon dont tu l'as décrit. Cette pudeur qu'elle a au moment d'évacuer sa peine et la faiblesse qu'elle en ressent. Je pense qu'on a toutes déjà vécu ça au moins une fois...

Et ce nouveau chapitre mettant Faustine face aux interrogations de Girodelle est très agréable aussi. J'ai aimé l'ambiance décrite dans ce château "désenchanté" qui n'est plus que l'ombre de ce qu'il a été (comme son propriétaire). Tout transpire la mélancolie : les pièces, les tableaux, et Girodelle aussi.

Faustine lui fait une promesse sans doute bien compliquée. A suivre !
J'ai hâte de voir comment tu vas traiter cette idée de "dimension parallèle".

Falbala

Je voulais vraiment qu'on ait l'impression qu'elle y tournait comme un lion en cage. Elle fait vraiment partie de ces gens qui ont besoin d'action, je suis d'accord avec toi. Pour moi, oui, inaction = "je pense à André", et "je pense à André" = :698$^2: :698$^2: 
Et je pense qu'elle n'est pas de celles qui se laissent aller facilement à la grosse crise de larmes qui vide et fait du bien, mais si elle le fait, elle le fait bien et seule.

Je suis contente que tu aies cette impression du château, c'est vraiment ce que je souhaitais, l'ombre du passé. Faustine s'est effectivement lancée dans une promesse bien compliquée. A suivre

J'ai lu hier soir sans commenter. J'ai aimé cet échange entre Faustine et Girodelle. Ce côté mélancolique et très classe de Victor et cette promesse que Faustine lui fait. J'aimerais bien également qu'elle essaie de restaurer le tableau. Je ne sais pas pourquoi au juste mais l'idée me plaît.

Girodelle est tombé sous le charme de Faustine, elle lui rappelle tant sa chère Oscar, j'ai bien aimé cette rencontre nocturne, le fait que Faustine s'interroge sur le Girodelle du futur et qu'elle décide de lui accorder la place qu'il mérite..... je me demande si ce tableau qui interpelle tant Faustine n'aurait pas une certaine importance dans leur quête

Lénie a écrit:

J'ai lu hier soir sans commenter. J'ai aimé cet échange entre Faustine et Girodelle. Ce côté mélancolique et très classe de Victor et cette promesse que Faustine lui fait. J'aimerais bien également qu'elle essaie de restaurer le tableau. Je ne sais pas pourquoi au juste mais l'idée me plaît.

C'est vraiment comme ça que j'imagine Girodelle, classe et mélancolique. On verra bien ce qu'il adviendra de ce tableau

cath a écrit:

Girodelle est tombé sous le charme de Faustine, elle lui rappelle tant sa chère Oscar, j'ai bien aimé cette rencontre nocturne, le fait que Faustine s'interroge sur le Girodelle du futur et qu'elle décide de lui accorder la place qu'il mérite..... je me demande si ce tableau qui interpelle tant Faustine n'aurait pas une certaine importance dans leur quête

Ah il intrigue ce tableau   je vous rappelle que tout ce binz a commencé par un tableau

C'était long et Oscar y a passé des heures pour finalement trouver ce qu'elle cherchait et nul doute que personne, non personne ne l'empêchera de passer les pierres même pas Borelli.... D'ailleurs, il est où ? Ce type est une anguille, pourtant je suis certaine qu'il n'ait pas loin !

Ah ça, avec un Borelli dans les parages, il vaut mieux se méfier c'est certain, il va se pointer quand on l'attend le moins

On va arriver dans les chapitres de fin avec quelques rebondissements, dont un que, je l'espère de tout cœur, personne ne voit venir (ou alors vous êtes juste incroyablement choupinettes de ne pas l'avoir dit :p).

A vrai dire même moi j'ai été piégée en l'écrivant :p

J'aimerais juste vous demander une chose : si jamais vous comprenez, pouvez-vous juste ne pas l'écrire ici afin de ne pas gâcher la surprise aux autres?

MP si besoin irrépressible d'en parler, même si évidemment je ne dirai rien tant que le chapitre n'aura pas été posté :p

Tjrs cette histoire de tableau, y a un truc là-dessous. Ce girodelle est vraiment charmant, il me semble si naturel, c'est agréable de le voir ainsi au lieu d'être si tristounet.

GM semble en bien meilleure forme et elle aussi commence à ressentir ce chamboulement dû à Farley, apparemment il n'y a que Faustine qui puisse remettre les choses ds l'ordre, la suite s'annonce coton si elle ne peut pas bénéficier de l'aide de Mathieu et de son frère !

Merci cath d'être toujours fidèle au rendez-vous Oui, ce tableau semble avoir accaparé l'attention de Faustine.
J'avais envie de légèreté pour Girodelle cette fois, j'y ai été un peu fort niveau mélancolie la dernière fois :p

Je viens de découvrir avec joie ce nouveau chapitre ! En lisant, je me suis demandé quelle place tenait le tableau. J'ai aimé que Faustine le restaure un peu mais a-t-il un autre rôle dans l'histoire ? Quelque part, j'aimerais bien parce que ce serait surprenant.
C'est donc Faustine qui va devoir s'y coller pour résoudre ce paradoxe temporel. Mais que fabriquent Farley et sa clique ? Ils ne sont quand même pas liés à Girodelle ? Si c'est le cas, lui n'est pas dans le coup, j'en suis certaine. Il a trop de valeurs pour ça. Mais Farley pourrait être de sa famille et le tableau pourrait apporter des indices. Ou alors c'est simplement une fausse piste ?
Bref, c'est un délice de se questionner en lisant

Il vous intrigue finalement ce tableau Figurez-vous qu'à la base cette scène n'a été développée que pour étoffer le chapitre car celui-ci et le suivant n'en faisaient qu'un seul à l'origine et je le trouvais trop long donc je l'ai coupé ... en deux chapitres trop courts :p

Mais du coup ... il faut que je lui trouve un rôle :p Ou peut-être que je l'ai déjà trouvé?

On en saura bientôt plus sur Farley et sa clique ça va s'accélérer, on arrive vers la fin.

Nouveau chapitre posté, c'est le tout dernier avant la révélation de la lubie de ma muse :p
Je m'en fais une montagne et si ça se trouve il n'y aura pas de réaction

Alain en profite pour en savoir davantage sur celui qu'il sera dans le futur. Et ce qu'il découvre est loin de lui déplaire.Il ne s'en souviendra pas, ou du moins il n'est pas censé s'en souvenir. Mais savoir  pendant un petit laps de temps lui fait du bien. 
C'est bien sûr l'incendie que Farley est intervenu. Maintenant on le sait, ou du moins on croit le savoir. Peut-être que tu nous réserves autre chose, qui sait ?
Alain apprend à Faustine à se battre quand l'adversaire n'est pas loyal. Et tout laisse penser que Farley ne le sera pas.
Grand-Mère procede à son rituel et Faustine est happée vers sa mission.
Hâte de découvrir la suite !

Merci Lénie pour ton commentaire Je trouvais que je n'avais pas assez exploité cette "rencontre" entre le père et le fils du coup il y a cette petite conversation qui est paradoxalement importante et presque anecdotique car elle n'est pas vouée à rester dans leur mémoire.
Faustine est "en route" si l'on peut dire, vers la résolution de cette histoire.
Maintenant dans les chapitres suivants, vous allez apprendre pourquoi André en particulier ne se souvient plus de rien , et ensuite, l'on retrouvera Faustine.
Et notamment un événement de l'histoire qui aurait pu vous mettre la puce à l'oreille, et qui l'a peut-être fait mais vous n'avez pas jugé bon de le dire par bienveillance

Alain qui s'inquiète de son futur, surtout de savoir si il sera un bon père, c'est tout lui, derrière sa façade de gros dur, il cache un coeur tendre et voir Alain et Mathieu hésitant et s'étreindre ainsi, j'avoue que ce passage m'a bien plus. Par contre, je me posais une question, Christine serait elle la petite fille qu'André a connue enfant et qui ensuite s'est mariée avec un noble, mes souvenirs sont un peu flous, mais je crois que c'est un ajout sur le dernier manga......

J'ai adoré cette fin de chapitre, j'avais l'impression d'être présente, cachée quelque part à les regarder !

Absolument, c'est bien elle J'ai eu l'illumination en relisant le tome 4 l'été dernier Je me disais que c'était la seule explication qui tienne la route pour qu'il aille voir ailleurs.
Merci pour ton commentaire Je me doutais que la scène avec Alain allait te plaire

Loufiction a écrit:

Je me doutais que la scène avec Alain allait te plaire

Je suis trop prévisible quand il s'agit de lui 

On est sur la même longueur d'onde le concernant

Je n'ai pas commenté après lecture mais ton historie est toujours aussi sympa et haletante

Merci Lady Victoire

C'est le grand jour, LE chapitre avec la folle idée de la muse qui m'a fait relire tout "Il y a bien du monde à Versailles" pour vérifier après avoir eu un gros doute et en me disant "mais comment j'ai pu oublier ça?????" :p :p

Et donc, soit vous l'aviez oublié aussi, soit vous avez été assez adorables pour ne rien dire :p :p

Ça m'a fait des nœuds au cerveau plusieurs nuits, mais finalement, ça sert totalement l'histoire, comme quoi, il ne faut jamais sous-estimer les muses Quand elles ont des idées biscornues, c'est pas pour rien

Hâte de lire vos réactions!!!

Pour ma part, j'avais oublié également mais en même temps je me disais que c'était bizarre que Borelli soit de retour juste à ce moment. Et du coup, je me dis :"et donc le Borelli qui est réapparu, c'est qui ? Farley ?"
Le rôle de Victoria Farley me plaît bien. Je suis comme Oscar, je reste méfiante mais elle m'a l'air sincère, du moins jusqu'à un certain point.
Truc marrant : en lisant "ATTENDEZ etc.", j'ai cru que c'était Girodelle qui était là. Je me suis dit "mais que fabrique-t-il dans cette galère ?" Et je me suis mise à imaginer qu'il était de mèche avec Farley (à ne pas pouvoir avoir Oscar au XVIIIème siècle ou maintenant, il aurait fini par devenir mauvais), voire qu'il était Farley. Et puis je fais glisser le texte et je lis" Victoria " et là ça m'a paru plus logique. Cela dit, j'avais presqu'envie que ce soit Girodelle mais pas en version méchant. 
Bref, les hasards de la lecture
Pour revenir à l'idée de ta muse, elle est excellente ! Il y a un gros suspens et on a vraiment vraiment vraiment très très hâte d'en savoir plus ! Donc pari réussi pour toi !! 
Et heu... La suite, il y aurait moyen de l'avoir rapidement ? 

Je suis à la limite de battre des mains comme une petite fille      très très contente que tu ne l'aies pas vu venir

Comme expliqué, la muse a commencé à me souffler de faire revenir Borelli pour "déranger" Oscar et ajouter une couche à son mal-être. Et puis à un moment y'a eu une espèce d'alarme dans ma tête façon "y'a un truc qui cloche". Jusqu'à ce que ça fasse tilt un soir "mais t'es nulle ou quoi??? Tu l'as tué!!!!!" ...

Et puis "mais non, c'est ce que tu voulais faire mais tu ne l'as pas tué". Et "t'es sûre???" ... à en relire le 1er tome en pleine nuit à 2h du matin :p Sauf que je me suis arrêtée à la scène où Alain et André la sauvent quand elle a été kidnappée... et "aaaah tu vois bien, il n'était pas mort donc c'est plausible" ....

Et à nouveau le doute .... je relis tout jusqu'au bout jusqu'à un mega ... OUPS en fait je l'avais bien tué ...

Et ça me plaisait tellement de le ressortir du chapeau ... que j'ai trouvé quoi en faire

C'est marrant que tu aies pensé à Girodelle Mais je lui réserve autre chose  

Maintenant reste à voir ce que veut vraiment Victoria : l'empêcher de passer les pierres pour qu'elle n'arrive pas à stopper son frère? L'empêcher de passer les pierres car elle prend vraiment un risque? Juste la retarder?

Sacré rebondissement, j'avais aussi oublier que Borelli était mort.... En tout les cas, ce présent a déjà changé, m'est avis que Faustine doit y être pour quelque chose. Quant à Victoria, c'est un puit de science, elle en sait beaucoup sur ce passé-présent, est-elle gentille ou méchante ??????