cath a écrit:

Nefret a perdu la mémoire, (ça c'est pas bon)
Ramsès s'est mariès (NON, NON, SURTOUT PAs CA)

j'ai réalisé tes deux plus grands rêves, Cath !! non non, ne me remercie pas, c'est de bon coeur, va !



merci Liberta !
Je lève des questions sur Nefret dans ce nouveau chapitre, pour Ramsès, va falloir attendre un peu !!


merci de vos commentaires !

Hi, Maria, mes commentaires sont sur excess (pas envie de spoiler, hein ^^) !

ah !! ok, je vais aller voir mais je vais poster rapidement ici pour rattrapper le retard comme ça on sera au même point partout, c'est plus simple !

( ça va faire de heureuses pour celles qui découvrent d'un coup 3 chapitre ici !!!)

Nefret amnésique, oui c'est la solution la plus cohérente pour exliquer toutes ces années sans nouvelles; j'en arrivais à aimer le père Gorkis qui essayait de lui faire entendre raison de façon subtile, pour l'empêcher d'entrer dans les ordres. Mais Nefret avait déjà des doutes, l'Egypte hantait ses bribes de souvenirs et il réussit à la faire se remettre en question.
Mais qu'est-ce que j'apprends, père Gorkis est en réalité une identité imaginaire créée de toute pièce tout comme son apparence pour tromper et pièger Nefret. Sethos ? qui est-ce ?
Qqn qui apparemment à eu maille à partie avec Emerson et Ramsès, et qu'elle devait connaître aussi, d'où ce subterfuge.
Mais je ne comprends pas où il veut en venir avec elle; à qui veut-il la donner ?
ça n'augure rien de bon pour elle; mais si lui l'a retrouvée, il y a peut-être l'espoir qu'en rentrant en Egypte, sa famille en ait vent ...
Maria c'est toujours un plaisir de te lire

merci Liberta !

Qui est Sethos ? Va jeter un oeil sur le chapitre 5, Sethos est le vieil ennemi de la famille, voilà pourquoi il connnait bien Ramsès et Emerson.
Il n'a pas inventé le Père Gorkis, cet ermite vit réellement sur Psarra, il a juste fait croire qu'il descendait sur la plage.
Que veut-il ? ça je ne le dirai pas tout de suite !!

Je crois que j'ai posté un autre chapitre pendant que tu lisais. En fait, j'en ai posté 3 en même temps ! ( du 9 au 11 !)

Percy ?? le fiancé de la cousine ??
Que manigance-t-il; pourquoi cet odieux mensonge ?
Faire croire qu'ils étaient fiancés, ensuite l'épouser et lui inventer une histoire imaginaire commune; qu'est-ce que ça cache ?
En tout cas, il n'a plus l'air aussi agréable et tranquille maintenant qu'il se rend compte que Nefret retrouve la mémoire peu à peu.
Que s'est-il donc passé ces 4 dernières années ?, est-ce vraiment Percy ? pourquoi ce traquenard ? Est-elle en danger ?
Maria c'est palpitant
(Mais je m'embrouille un peu avec les noms et prénoms )

Je vais avoir 3 chap. à lire , je vais me régaler.
Mais vu les coms de Liberta, je ne vais pas aimer certains événements

Liberta, je vais vous faire un beau tableau des personnages pour que vous ne vous embrouilliez pas !!
Merci de ton commentaire !!

Bonne lecture Cath !

Comme les auteurs des fan fictions que je suis ralentissent un peu la cadence, j’ai enfin un peu de temps à consacrer à celles que j’avais mises de côté, dont la tienne, Maria. J’ai découvert Elizabeth Peters et les aventures d’Amelia Peabody-Emerson (que je suis d’ailleurs loin d’avoir toutes lues) grâce à toi et je brûlais d’envie de suivre La prière d’Isis.

Chapitre 1. Un crocodile sur un banc de sable

« Nefret, à pourtant vingt-quatre ans révolus demeurait célibataire. On l’appellerait bientôt « vieille fille », si cela continuait... »
Eh oui ! Sainte Catherine n’est pas loin. Une vraie catastrophe pour les jeunes filles d’alors. Nous avons tout de même de la chance, nous autres, femmes du XXIème siècle, d’avoir d’autres choix que le mariage, le couvent ou se dessécher au foyer parental.

« On s’offusquait qu’elle puisse jurer comme un ânier, préférer les momies à la broderie ou pis, suivre une formation de chirurgien à l’école de médecine pour femmes de Londres ! »
Il est certain que de tels facéties avaient de quoi rebuter toutes les mères de jeunes hommes à marier, ainsi que ces messieurs d’ailleurs. Elles annoncent un caractère original et sans doute indépendant du plus mauvais goût... et augurant fort mal de la docilité indispensable à une épouse.
Il y avait déjà une école de médecine ouverte aux femmes en 1908 ? Je n’aurais jamais cru.

Il faut dire qu’avec un modèle tel que le professeur Emerson, Nefret risque d’avoir du mal à trouver chaussure à son pied. Devinerais-je l’ombre d’un regret dans la manière dont Nefret évoque Ramsès. Quel âge peut avoir en 1908 ce digne rejeton d‘Amelia et de Radcliffe ?

Si Ramsès avait dix ans quand Nefret en avait treize, il en a maintenant vingt-et-un. La reine des mathématiques, c’est moi !

« Par les aises qu’elle avait tout de suite prises à Armana House, [Daria] avait tendance à agacer Nefret. »
Tiens, tiens, comme c’est curieux. Ne serait-ce pas plutôt parce que Ramsès a insisté pour la ramener en Angleterre et qu’ils semblent bien s’entendre tous les deux ?

Aïe, Nefret est bien punie de sa curiosité. Je gage qu’elle se serait bien passé de recevoir confirmation de ses soupçons.

« Il me semble que, de nous deux, c’est vous qui êtes de trop, ici ! »
La jeune Daria semble n’avoir pas froid aux yeux ni la langue dans sa poche. Pour se montrer si insolente, elle doit être bien sûre de Ramsès. En tout cas, ce n’est pas ainsi qu’elle va se faire une amie de Nefret.

Je constate que Nefret a le coup de poing aussi facile qu’Oscar. Elle gratifie Ramsès d’une superbe scène de jalousie (je me demande d’ailleurs si celui-ci s’en rend compte) pour, en bout de course, apprendre qu’il aime la jeune Daria. Décidément, c’est une très mauvaise soirée pour Nefret.

« Il était son petit frère, il était un enfant ! Il était encore trop jeune pour être amoureux ! »
Nefret a l’art de se voiler la face. Ne s’est-elle pas rendu compte qu’elle éprouve de tendres sentiments pour Ramsès ?
« L’amour est un grand crocodile étendu sur un banc de sable. »
Il est vrai qu’avec une telle vision de l’amour, elle doit s’en garder comme de la peste.

Voici une fiction qui commence très bien avec suffisamment de sentiments embrouillés et de petits mystères pour donner envie de lire la suite. J’ai vraiment hâte de savoir comment vont évoluer les relations entre Nefret, Daria et Ramsès. Tu as retrouvé le style d’Elizabeth Peters, son art à la fois des descriptions précises qui situent l’action, des dialogues vifs et des personnages au caractère original et affirmé. Je vais rapidement entamer le chapitre deux.

Chapitre 9 :

L'homme de science, les pierres ne sont que sa seule passion.
Dans ce cas, pourquoi est'il aussi intriguée par la découverte de cette déesse ?
Le pêcheur n'est pas dûpe et moi non plus...

Chapitre 10 :

Le père Gorkis, me semblait bien étrange, passer son temps à séparer le sel de la mer.
Comment fait'il pour se déplacer ? Etant aveugle, une île est loin d'être un terrain plat.
Le masque tombe, Sethos, l'ennemi de la famille.
Quel est son but ? Quel est la rancune qu'il voue aux Emersons ?
Ce qui m'intrigue le plus, Comment a t'il fait pour la retrouver ?
Cela faisait trois ans, que Nefret a disparu, et deux ans qu'elle a passé sur l'ile, si l'on suit l'histoire de la déesse. Et ce prètre depuis un an, vit en ermite, attendant une hypothethique mort.
L'homme de science et "Gorkis, Sethos", serait'il la même personne ? Je dirais oui.

Chapitre 11 :

Qui est Perceval Peabody ? J'ai eu beau chercher sans trouver.
Un neveu de Tante Amélia...
Nefret n'était ni fiancé, ni sur ce bateau pour son mariage, et cette soeur, que Nefret apprécie moyennement.
Est un nouveau déguisement de Sethos ?
Je trouve étrange que le soi disant père Gorkis, disparaisse comme par enchantement, sans chercher plus avant celle qu'il a réussi à sortir de l'ile.

Cath a écrit:

Le pêcheur n'est pas dûpe et moi non plus...
L'homme de science et "Gorkis, Sethos", serait'il la même personne ? Je dirais oui.
Je trouve étrange que le soi disant père Gorkis, disparaisse comme par enchantement, sans chercher plus avant celle qu'il a réussi à sortir de l'ile.

Cath, t’as du flair et ça m’enchante !!!!

Q

Citation :

ui est Perceval Peabody ? J'ai eu beau chercher sans trouver.

Tu le sauras dans le prochain chapitre !!

Merci beaucoup pour tes 3 commentaires :lklokl: !!!








Maïlys, je suis super contente de trouver un commentaire de toi :tredfr: :tredfr: !!! Moi je brûlais que tu viennes jeter un œil mais n’osais pas réclamer ( hmm... j'ai peut-être réussi à t'envoyer un message subliminal, à toi aussi ! Hé hé, vois, Petrina, ça marche !! Tu n'es donc pas à l'abri de mettre Natsu et Madoka ensemble !!!)

J'avais envie que tu viennes voir parce que, comme tu connais le cadre ( même si t’es pas arrivée en 1908), tu dois certainement avoir un regard différent des autres lectrices et j’avoue que je suis curieuse de ça !
Un regard que tu me donnnes immédiatement, d'ailleurs :

Citation :

Tu as retrouvé le style d’Elizabeth Peters, son art à la fois des descriptions précises qui situent l’action, des dialogues vifs et des personnages au caractère original et affirmé.

Je suis très très heureuse ( et très flattée) de ton avis ! Merci !! Il me rassure, en fait (même si ça importe peu pour les non-initiées, je tenais à rester fidèle au cadre !).

Au début, je voulais me contenter de clins d’œil implicites mais finalement, y’en a pas vraiment puisque j’ai adapté le récit du fait que la très très large majorité de mes lectrices ne connaissaient pas la série.


Pour te répondre, maintenant :

Citation :

Il y avait déjà une école de médecine ouverte aux femmes en 1908 ? Je n’aurais jamais cru.

Apparemment, il y en avait même plusieurs en Angleterre. Mais dès la fin du XIXème, les femmes commençaient à étudier la médecine, et pas que en Angleterre. Le Bedford College for women ( de Londres) date, lui de 1850 ( donc même plus tôt que la FIN du XIXème !!) et a formé des femmes-« avocats » et des femmes-médecins ( entre autres).


exact ! t’es fortiche !
24ans pour Nefret ( née en avril – le 15, il me semble) et 21 ans pour Ramsès ( enfin, il est né en Juillet donc il ne les a pas encore ce détail est important dans mon récit !!!)

Citation :

Tiens, tiens, comme c’est curieux. Ne serait-ce pas plutôt parce que Ramsès a insisté pour la ramener en Angleterre et qu’ils semblent bien s’entendre tous les deux

?

Citation :

Je constate que Nefret a le coup de poing aussi facile qu’Oscar.

:khkg: Oui, Nefret a des points communs avec Oscar...

Citation :

Elle gratifie Ramsès d’une superbe scène de jalousie (je me demande d’ailleurs si celui-ci s’en rend compte)

Je ne sais pas si je dois te le dire mais... il y a très peu de choses qui échappent à Ramsès . Maintenant, pour des raisons de suspense évidentes, je ne vais pas te dire si les sentiments de Nefret font partie ou pas de ce qui lui échappe ...



Je suis enchantée de t’avoir donné envie de découvrir la suite ! Merci beaucoup !!! J’espère ne pas te décevoir !

Chapitre 2. Comme le vent se lève...

« ...au professeur qui, mordant avec appétit dans une tranche de brioche, ne remarqua pas la marmelade qui coula sur sa robe de chambre. »
Cette remarque est tout à fait "petersienne", si j’ose ce néoplasme.

« "Et moi ?" s’entendit-elle penser. »
Il est terrible de se sentir ainsi exclue, à l’écart et privée d’un bonheur auquel on pense avoir légitimement droit.

« Un mariage ? Qui va se marier ? questionna Nefret que l’idée des mariages réjouissait toujours. »
J’ai malheureusement l’impression que Nefret va prendre une douche glacée.

« Je serai majeur ! J’aurai le droit civil de me marier sans aucun tiers-consentement. En ce sens, je viens d’en porter information à mes parents. »
Superbe déclaration d’indépendance, pas étonnante dans la bouche de Ramsès. Mais je pense qu’il fait une belle bêtise et qu’il se laisse mener par le bout du nez par Daria. A moins qu’il ne s’agisse d’un plan savamment concocté par son cerveau de génie... Mais lequel ?
J’avoue que j’ai tout de suite détesté Daria, sans vraiment d’autres raisons que d’aimer bien Nefret. Et qu’Amelia désapprouve ce mariage me confirme plutôt dans mon opinion.

« Des enfants, ça n’a aucune utilité sur un champ de fouilles ! Et hors de question que vous partiez en voyage de noces pendant la saison, est-ce clair ? »
Le professeur Emerson, tel qu’en lui-même...

« Son battement de paupière contrarié n’échappa pas à Nefret. »
Daria vient apparemment de commettre une erreur !

« Et je suis désolé de constater que vous ne me connaissez pas mieux que cela. Je ne sais où vous regardiez durant toutes ces années mais il apparait que vous avez oublié de me regarder. »
C’est-ce qui s’appelle se faire moucher. Nefret me paraît aussi incapable de reconnaître et d’admettre ses sentiments qu’une certaine Oscar de Jarjayes. Et Ramsès a l’air d’en avoir souffert. Simplement en temps que jeune homme qui grandit et dont la maturité est niée... ou plus profondément ? Dans ce cas-là, j’en reviendrais à mon idée de plan qui serait destiné à ouvrir les yeux de Nefret. Mais que la date du mariage soit fixée, et aussi rapidement, ne milite pas en faveur de cette thèse. Et si Daria est dans le complot, elle joue vraiment très bien la comédie.

« Sa famille commençait à l’abandonner. »
Quelle triste conclusion après le beau passage sur cette famille qu’elle a tant rêvé d’intégrer. Nefret est peut-être égoïste mais elle est très lucide sur elle-même en acceptant que son antipathie pour Daria vient, en partie du moins, de sa peur de voir sa place au sein de la famille Emerson prise.
Mais j’espère qu’elle ne croit pas vraiment ce qu’elle pense. Et qu’elle ne va pas baisser les bras trop vite. Cela ne lui ressemble guère mais la vie vient de lui envoyer un de ces coups durs dont elle a le secret, un coup dur que Nefret n’attendait pas du tout.

J'ai hâte de voir comment elle va réagir.

Chapitre 3. Je vous aime

Hmmm ! Un titre prometteur. Mais qui dit "je t’aime" à qui ?

Je ne m’étais pas trompée : Ramsès est bien amoureux de Nefret. Mais qu’il est donc impatient ! Pourquoi aller commettre l’irréparable en se mariant avec Daria ? Il est encore jeune et il baisse les bras bien vite. J’espère en tout cas qu’il ne joue pas avec les sentiments de Daria. Ce serait indigne de lui.

Je me sens de plus en plus triste pour Nefret mais celle-ci ne me paraît pas, malgré son "irritabilité" décidée à reconnaître ses véritables sentiments pour Ramsès. Pourtant, elle lui fait une véritable scène de jalousie près de la grille. Comment le jeune homme ne s’aperçoit-il pas de sa tendresse pour lui ? Décidément, il n’y a pire aveugles que des amoureux !
Il faut dire qu’ils ont vraiment un sale caractère tous les deux, et qu’ils veulent toujours avoir raison et le dernier mot.

« Surtout pas ! Ce serait un cauchemar pour elle ! »
Quelle tendre réplique ! Ils ont vraiment beaucoup trop l’habitude de se chamailler comme des gamins. Amelia a raison sur ce point.

La peste soit des importuns ! :hyhrhrt: Ils étaient au bord de la découverte et de l’aveu. Tu me diras qu’il n’y aurait peut-être plus de fiction s’ils se comprenaient si vite mais je ne peux m’empêcher de le regretter.

Et la scène se termine vraiment de la façon la moins romantique qui soit ! D’ici à ce que Ramsès pense que c’est lui qui rend Nefret malade. Mais j’aimerais bien comprendre pourquoi l’idée de l’amour fait vomir Nefret. Un rappel soudain du "crocodile" ?

« Quand vous valsez, il y a comme... une sorte d’enchantement qui vous accompagne ! »
Une très belle vision d’artiste. Comme quoi, les sentiments qui existent entre Nefret et Ramsès transparaissent malgré eux. Faut-il qu’ils soient puissants !

« Elle ne voulait pas qu’il la séparât de Ramsès... parce qu’elle l’aimait... »
Enfin ! Néfret en a mis du temps avant de reconnaître la vérité de ses sentiments. Que va-t-elle faire de cette découverte ? Je suis impatiente de le savoir.

En fin de compte, personne n’a dit "je t’aime". Pas encore. Mais j’espère que cela ne tardera pas.

Oh, t'as lu 2 chapitres d'un coup !! je suis très flattée !!

Alors non, Ramsès n'a pas de plan pour Nefret.
Nefret, tu le comprendras dans les chapitres qui suivent, je pense, est destabilisée de ses sentiments envers Ramsès parce que sa relation aux Emersons est plus profonde que de simples liens amicaux.

Voilà, j'en dis pas plus !!
merci de tes commentaires

Chapitre 4. Children of the storm

« Nefret avait prévu de parler à Ramsès le lendemain même. »
Je reconnais bien là sa passion et son courage. Mais je subodore que quelque chose (ou quelqu’un ?) va empêcher cet aveu.
Qu’est-ce que je disais ? Hasard ou volonté de Ramsès de ne pas se trouver seul avec elle ? Tu laisses planer le doute... mais j’aimerais bien savoir. Parce que, si c’est Ramsès qui a décidé de l’éviter, Nefret n’est pas sortie de l’auberge !

Et on lui refuse l’opportunité qui se présentait. Décidément, tout se ligue contre Nefret. Mais ce serait sans doute trop simple autrement ?

« Une épidémie s’était répandue au Caire, frappant comme un fléau toutes les Egyptiennes des bas quartiers. »
Ces femmes et seulement ces femmes ? De façon exclusive ? Il me paraît qu’il s’agit là d’une drôle d’épidémie, singulièrement élective. Mais je désire peut-être découvrir des mystères là où tu n’en as pas mis, Maria.

J’apprécie le paragraphe sur les différentes attitudes des uns et des autres en face du chat Horus. Très révélateurs de la nature de chaque personnage.

Pour une amoureuse des chevaux comme moi, ta description des montures de la famille, comme des écuries, est un régal. Je rêverais de monter Risha ou Blackstorm… mais je n’en serais sans doute pas capable !

« A moindre passion que celle qu’il éprouvait depuis tant d’années pour Nefret, il aimait vraiment Daria. Son éducation, ses propres sentiments, tout lui interdisait de se montrer cavalier envers la jeune fille... »
Cela me rassure (et ne m’étonne pas de Ramsès) mais de tels sentiments ne vont pas faciliter le rapprochement entre Nefret et Ramsès. Si la mauvaise conscience et les scrupules s’en mêlent, nos deux amoureux ne sont pas encore réunis.

« Il devait parler à « sa sœur ». Il devait savoir... »
Si, de son côté, Ramsès cherche à rencontrer Nefret, ils devraient tout de même y arriver. En espérant que, une fois l’un en face de l’autre, leurs fichus caractères ne prennent pas le dessus.

« Emerson avait soupiré après sa fille adorée au moins deux fois par jour dès le premier jour de séparation et, sur le chemin de retour, avait menacé ouvertement de partir définitivement s’installer à Chalfont si aucune de ses deux femmes bien aimées ne gémissait après sa si longue absence ! »
Maria, tu campes vraiment les personnages d’Elizabeth Peters. Ta fanfiction pourrait dignement prendre place dans sa série. Tu retrouves mille petits détails qui font son style et caractérisent ses héros, tout en gardant une originalité propre. Je me demande quel mystère ou meurtre tu vas nous offrir.

J’adore vraiment les démêlés de ces messieurs avec Horus. Tu dois aimer les chats pour le décrire si bien.

Mais voici que la série noire continue. Le mauvais sort s’acharne sur Nefret et Ramsès. :hyhrhrt: Je sens qu’ils n’arriveront pas à rester en tête-à-tête avant le dernier chapitre !
Une caisse anonyme... qui n’est pas vraiment anonyme. Je devine que la promenade va être remise à plus tard. Je le comprends mais je ne peux m’empêcher de penser que c’est une grosse erreur.

Et, comme de juste, c’est à ce moment crucial que tu lâches ton lecteur ! Pour l’instant, j’ai de la chance, j’ai encore quelques chapitres devant moi, mais quand j’arriverai au bout...
J’ai toujours détesté lire les romans à suspense par petits morceaux. Je suis encore capable, fort peu raisonnablement, de passer une nuit blanche sur un policier.
Mais ne soyons pas pessimiste : j’ai encore une bonne quarantaine de pages à lire. D’ici là, tu auras bien rédigé un chapitre de plus. N’est-ce pas, Maria ?

Mais non, voyons, je ne te mets pas la pression. C’est la rançon des écrits passionnants !

Chapitre 5. La tombe de l’oiseau d’or

Une superbe pièce d’antiquité... fausse ! L’expéditeur ne peut pas avoir pensé que le professeur Emerson s’y laisserait prendre. Alors ? Quel but vise-t-il ?
Et pas qu’une, apparemment. De fausses antiquités en nombre suffisant pour retenir l’attention du professeur. Sur quoi ? Ou Pourquoi ?

« De quel tombeau était-elle inspirée ? »
Excellente question ,en effet. Pour nous, le masque évoque irrésistiblement celui de Tout Ankh Amon. Mais il n’avait pas encore été découvert en 1908. Il ne peut donc rien évoquer à la famille Emerson.

« « Le petit oiseau d’or » ne pouvait que désigner un enfant-roi... un pharaon qui avait régné et était mort très jeune... »
Voici ton joli titre expliqué. Le professeur Emerson risque de frôler l’apoplexie en comprenant cela ! :hyhrhrt:

Un rival en égyptologie, et dépourvu de scrupules, et un rival dans le cœur d’Amélia. Voici qui est beaucoup pour le professeur. Il est à souhaiter que cette double rivalité aiguise ses facultés plutôt qu’elle ne les amoindrisse.

« Si ce colis doit recevoir le nom de « cadeau », je lui ajouterais volontiers le qualificatif d’« empoisonné », expliqua le jeune homme à mi-voix. Pour ma part, je dirais plutôt qu’il s‘agit d’un appât... Et cet homme n’est pas notre ami. »
Belle synthèse du problème.
Je sens que la famille Emerson est sur le point d’être entraînée dans l’une de ces rocambolesques aventures dont elle a le secret. Et que l’ombre de Sethos y plane, n’en décidera que plus le professeur à mordre à l’appât.

« Au diable, ce satané mariage ! explosa le professeur. Grandissez un peu, mademoiselle. »
Pauvre Daria ! J’ai l’impression qu’elle va apprendre de dure manière comment fonctionne la famille Emerson. Elle risque de découvrir aussi de nouvelles facettes de son fiancé, auxquelles elle ne s’attend sans doute pas.

« Le professeur tricha, de façon visible et éhontée comme à son habitude, et nul ne put contester son choix. »
Bien entendu, le professeur se débrouille pour quitter l’Angleterre et rejoindre l’Egypte avec Amelia !

Voici donc le mystère qui pointe son nez, et autour duquel va s’articuler ta fiction : une tombe, découverte ou non par un ennemi intelligent et rusé. C’est comme agiter un chiffon rouge devant la famille Emerson.
En tout cas, une nouvelle aventure vécue en commun devrait rapprocher Nefret et Ramsès.

Je vais dévorer la suite !

Chapitre 6. Le chien, le serpent et le crocodile

Déguisements et fumeries d’opium dans les bas-fonds londoniens : j’adore ! Cela fleure Sherlock Holmes et Fu Manchu.

Pas de Sethos à Londres ; il est donc sans doute en Egypte. Il y a là de quoi inquiéter sérieusement Ramsès et Nefret. Comme cette dernière, je m’étonne que Ramsès ne parte pas immédiatement rejoindre ses parents. Et je comprends bien que l’heure ne soit pas propice aux doux aveux et à la romance. Je savais bien qu’ils auraient dû se parler avant d’ouvrir la caisse de Sethos.

Que devait être long le temps d’attente du courrier à cette époque qui ne connaissait pas le téléphone, les email et la Webcam ! On avait largement le temps de s’inquiéter et de s’imaginer toutes sortes de malheurs.

Ah ! Cela m’étonnait aussi que Ramsès reste indéfiniment en Angleterre. Et, comme de juste, il ne veut pas emmener Nefret avec lui. Aura-t-elle gain de cause ?

Les aveux, transparents, mais encore reculés.
M’est avis qu’il va se dérouler beaucoup de péripéties et couler bien de l’eau sous les ponts avant que Ramsès et Nefret ne se retrouvent et n’aient à nouveau l’occasion de s’avouer enfin leur amour.

Et Daria qui, voulant sans doute imiter Nefret pour gagner (retenir ) le cœur de Ramsès, commet une imprudence et est gravement accidentée. Nefret n’avait vraiment pas besoin de cela comme tourment en plus. Surtout qu’à mon avis, elle va très vite se sentir coupable de cet accident.

Tout s’emballe et nous sommes toujours sans nouvelle du professeur et de sa femme. Ta fiction est vraiment palpitante, Maria. Je trouve que tu manies fort bien le style des péripéties victoriennes chères à Elizabeth Peters.
Elle a en toi une digne émule et une rivale ! :hytuty:

Chapitre 7. Le dernier dromadaire est mort à midi

Maria, je suis émerveillée par tes connaissances en égyptologie. La scène de culte dans la petite pyramide du jardin d’Amarna House est saisissante. Je l’ai vue se dérouler sous mes yeux.

Les voici de retour !
« Nefret n’était pas rassurée. N’était-ce pas seulement repousser le problème ? »
Je suis un peu d’accord avec elle. Tout cela a l’air un peu trop facile et limpide. Si Sethos a manigancé quelque coup fourré, ce n’est pas un petit tour dans la Vallée des Rois qui va en donner la solution aux Emerson. A mon avis, ils ne sont pas au bout de leurs peines.

« Depuis qu’elle connaissait ses sentiments, tout l’avait empêchée de les révéler. Ce devait être un signe des dieux... »
Ah, non alors ! Si le destin s’en mêle...
Je m’emballe. Il est vrai que, tant que Daria n’est pas guérie, il est difficile à Nefret et à Ramsès de s’avouer leur amour. Pour tout dire, en bonne logique, Ramsès devrait d’abord rompre avec Daria avant de parler à Nefret. Je plaisantais à moitié quand j’écrivais qu’ils ne parviendraient pas à se parler avant la fin de la fiction. Mais je commence à croire que j’avais malheureusement raison.

« Mi-juin, Daria ouvrit les yeux. »
Au moins, avec toi, Maria, les événements ne traînent pas. Maintenant, savoir si tu ne vas pas inventer une autre péripétie pour maintenir séparés Nefret et Ramsès.

« Nefret y avait vu un autre message des dieux : Ils lui demandaient de partir. »
Et allez donc ! Qu’est-ce que je disais ? :hyhrhrt:
Si je comprends bien, Nefret va carrément quitter les Emerson. C’est bien joli, l’esprit de sacrifice, mais elle a bien le droit d’être un peu heureuse, je trouve. Et Ramsès avec elle !
Au final, Nefret est peut-être beaucoup plus imprégnée de religion judéo-chrétienne qu’elle ne se l’imagine.

« Le professeur Emerson était pour l’égalité des sexes sauf en ce qui concernait sa pupille. »
Très paternelle, et quelque peu paternaliste, cette attitude ! Mais j’avoue, en tant que fille, que je ne détestais pas que mon père s’inquiète de mes velléités d’indépendance... à condition qu’il n’y fasse pas obstacle !

« Elle ne leur dit pas qu’elle n’avait pas l’intention de revenir... »
Une sacrée bêtise à mon avis. J’ai toujours trouvé étonnant ce que les héroïnes et les héros des romans faisaient comme âneries en étant persuadé que cela serait mieux pour tout le monde. Sans en parler à quiconque, bien entendu. A croire que le dialogue n’existe pas ! Et ton héroïne se conduit dans la grande tradition. Je ne sais dans la gueule de quel loup elle va se retrouver mais je parierais qu’ils vont tous être obligés de partir à sa recherche.

C’est trop triste la façon dont Nefret change la mention écrite derrière la photo. C’est étonnant de constater comme, en fin de compte, elle est si peu sûre d’elle, si persuadée qu’elle n’est pas à sa place parmi eux. Pas assez "aimable" ?

Et, pour parfaire le tout, elle offre le médaillon de Ramsès à Daria ! Je la trouve trop cruche à la fin. Elle cherche le cilice ou quoi ? Et je suis sûre qu’en plus, elle est persuadée qu’ils seront tous ravis de la décision qu’elle a adoptée. J’ai envie de la secouer comme un prunier ! Elle se conduit décidément tout à fait comme les héroïnes victoriennes.

« C’est aux hommes de protéger les femmes ! »
Pas très moderne, la future « madame « Ramsès » Walter Peabody-Emerson » ! Amelia ne serait pas ravie d'entendre ce genre de propos.

« Je souhaite vivre avant tout un beau rêve d’amour, pas une affaire d’état ! »
Daria montre, par ses paroles, combien elle est jeune et encore immature. Peu faite, en tout pour l’instant, pour le mariage, en particulier avec un Emerson ! S’ils se marient vraiment, le réveil risque d’être brutal.

« Un groupe de nationalistes indépendantistes égyptiens installait un harpon torpilleur à la proue de leur gabare. »
Si je comprends bien, son bateau va se faire torpiller. Bon sang, d’ici à ce qu’elle se retrouve prisonnière ou je ne sais quoi ! Et, comme de juste, c’est là que tu termines le chapitre.
C’est un autre "truc" des romanciers à suspense que tu as fort bien pris, Maria, cette propension à finir les chapitres par des rebondissements ou de perfides petites allusions, propres à titiller l’imaginative de tes lecteurs jusqu’à la lecture du chapitre suivant.

Chapitre 8. Lettres, liasse B

17 juin 1911 ! Maria, tu nous fais faire un bon de trois ans dans le temps comme rien. Je suis fébrile quant à l’idée de lire la suite. Tant de questions ! Pendant ces trois ans, qu’est devenue Nefret ? Son bateau a-t-il été torpillé ou non ? Daria a-t-elle épousé Ramsès ? Je trépigne et ça bout sous ma calotte crânienne !

« ...pleinement l’apprécier ( j’entends ce mot dans son acception première de « appréhender, percevoir par l’expérience personnelle » et non « porter un jugement favorable sur »). »
Tu as vraiment pénétré le style d’Elizabeth Peters et jusqu’aux tics de ses personnages. Je me régale vraiment à te lire.

Ainsi les Emerson sont sans nouvelle aucune de Nefret depuis trois ans. Je ne peux penser qu’elle soit morte. Alors ? Gravement blessée ? Mais trois ans, c’est long, même pour une blessure grave au début du XXème siècle. Si Nefret n’a pas pris contact avec eux, c’est qu’elle est dans l’incapacité de le faire. Soit on l’en empêche (mais qui ?), soit elle en est empêché elle-même. Difficile de ne pas évoquer une amnésie. Ou un mélange des deux ? Ou quelque chose de très différent que tu as concocté pour tes lectrices.

Ta fiction est toujours aussi passionnante, Maria, et j’ai toujours autant hâte de lire le chapitre suivant. Je vois d’ailleurs avec inquiétude ma réserve s’amenuiser ! Plus que trois chapitres d'avance.
Si j’ai tout de suite pensé à une amnésie, c’est que je suis, en parallèle, en train de lire Le Maître d’Anubis. J’y ai retrouvé avec émotion Nefret et un Ramsès déjà passionnément amoureux d’elle. J’y découvre l’amnésie du professeur Emerson. Par ailleurs, lire les deux en même temps, me permet de goûter la manière dont tu t’es emparé du style d’Elizabeth Peters ainsi que du caractère de ses personnages. Je savoure !

Il faudrait tout de même que je parvienne un jour à lire tous la série dans l’ordre. J’apprécie particulièrement les séries dont les héros récurrents vivent et vieillissent mais il est plutôt désagréable de les voir avoir dix-huit ans avant huit, et de découvrir au coin des pages de "vieux amis" ou de "vieux ennemis" dont je n’ai jamais entendu parler.

Tu dévores, Maïlys !! c’est très flatteur !!
Merci !!

Merci aussi pour tes compliments mais je ne suis pas aussi calée que ça en égyptologie : je me documente quand-même avant d’écrire !!

Si tu lis la série en parallèle, tu vas voir, du coup la structure de mon histoire. tu verras les reprises que je fais pour initier les néophytes au monde des Emersons. Scènes, descriptions, répliques ou commentaires d'Amelia, je pioche un peu partout en modifiant plus ou moins le propos initial, comme ça me sert le mieux !

Le chapitre 8, d’ailleurs, est truffé de propos glanés dans un tome ou dans un autre (pour ce qui est de sa première partie) : c'est pour ça que je ne répondrai pas au gentil commentaire que tu m'en fais, c'est directement tiré des livres . Ce chapitre était un grand clin d'oeil à la série !!

Ce qui se révèle, tu vois, particulièrement sympa à faire : écrire une fanfic d’après un roman offre d’autres possibilités par rapport à l’écriture d’après un film ou une B.D et les renvois qu’on peut faire à l’œuvre originale sont do,c très différents mais tout aussi amusants...
Et à la rigueur, c’est même presque mieux parce que là, on joue sur le même plan... les descriptions ou les pensées des personnages que je peux écrire ont une consonance beaucoup plus forte que celles que je peux faire sur LO car Ramsès et cie sont déjà des personnages dont un auteur a écrit les pensées profondes alors qu’une part de l’âme d’Oscar nous échappe toujours malgré les bulles du manga et les images de l’anime...
Enfin, c’est mon sentiment.


Alors, au vu de ton prochain franchissement de la ligne d'arrivée, je vais essayer d’avancer sur le chapitre 12 : ce chapitre qui vient est compliqué, il me prend donc du temps et je n’en ai pas eu beaucoup la semaine dernière, je n’ai pratiquement pas avancé.
Je vais essayer de remédier à cela cette semaine.

bonnne fin de lecture en attendant,
merci pour tes adorables messages !!
bises

Alors, comme on commence à être nombreuse à aimer les Emersons ( à mon plus grand bonheur ), je crois que je peux maintenant vous faire partager leurs visages...
ce ne sont pas les offciels, c'est juste moi qui les imagine comme ça ( comme ça vous me direz si on pense la même chose !)



Amelia
Elle, par contre, c'estla photo officielle. Amelia a la particularité de ne jamais montrer son visage sur aucune des couvertures des tomes de la série ( en France, du moins, parce que la version américaine, c'est toujours des images de l'Egypte, pas de personnages) donc le mystère restera entier, un peu comme Sethos, nul lecteur ne saura jamais qui elle est !!


Emerson et Nefret ici ( hmm... ais-je besoin de donner les noms )


Bon, là, le nom est déjà écrit !!
Préférence oblige, je n'ai pas pu m'empêcher de le dessiner plus de fois que les autres !!
en sachant que c'est tout blanc pour des raisons de pureté graphique mais il a bien les cheveux noirs et le teint halé par le soleil égyptien, tout comme son père !!



et David, quoique... Ramsès et David sont censés se ressembler comme deux gouttes d'eau donc au choix :
soit vous préférez que Ramsès ait la tête de l'image ci-dessus
soit vous préférez que Ramsès ait la tête de l'image ci-dessous
à vos votes !!
ps) David n'est pas à la même taille, désolée, mais l'hébergeur d'images refuse de me l'agrandir, allez savoir pourquoi...

Maintenant, tu illustres ta fiction !
La silhouette d'Amélia avec sa tenue de fouille et sa redoutable ombrelle.
Emerson et sa fossette (pardon, son creux ) au menton. :sszazq:
Ramsès, David (que je connais mal) et la jolie Nefret.
Toute la famille est là. Je remarque d'ailleurs que Daria n'est pas dans la série. Est-ce à dire qu'elle n'a pas épousé, et n'épousera pas, Ramsès ? Je suis méchante avec elle mais elle n'avait pas à s'immiscer entre Nefret et Ramsès.

Et tu travailles sur le chapitre 12.
Que des bonnes nouvelles.

Chapitre 9 Manuscrit H

Soulagement : Nefret n’est pas morte. La "Néréide de corail", c’est elle bien sûr. Et elle est amnésique, ce qui explique qu’elle n’a pas donné signe de vie à quiconque, en particulier aux Emerson.
Je me demande si la présence du minéralogiste sur l’île est juste un prétexte à raconter cette jolie légende que les pêcheurs ont inventée autour d’elle, ou s’il y a autre chose. Il me paraît bien curieux d’en savoir plus sur elle. D’autres que les Emerson rechercheraient Nefret ? Mais il ne s’agit peut-être qu’un vrai minéralogiste qui s’intéresse à la couleur locale...

« Beaucoup plus de personnes qu’il n’est cohérent l’ont réclamée... tous des Grecs ! »
Etonnant en effet. Je comprends que Nefret se soit réfugiée dans un couvent où elle est au calme. Il doit être particulièrement paniquant d’avoir tout oublié de qui l’on était, ce que l’on faisait et qui vous entourait.
Et je continue à trouver bien grande la curiosité du visiteur !

Et je ne suis apparemment pas la seule. Cet homme ne me dit décidément rien qui vaille. Mais il faut bien que quelqu'un tire Nefret de son couvent si je veux qu'elle retrouve un jour la mémoire et Ramsès. J'ai malheureusement peur que le processus ne soit pas très agréable et la mette peut-être en danger.

Je préfère Ramsès sur l'image d'en haut, où on le voit de profil.
Il est trop....... miam !!!

Nefret est très jolie ( trop pour ce bâtard de Percy !!! )

Allez Emerson, une petite colère !
Avec le regard que tu lui as fait, je l'imagine volontiers impressionnant. ( Y en a un qui pourrait s'en mordre les doigts... ^^ )

J'imagine tout à fait Emerson, dans son fauteuil fumant la pipe, homme d'apparence placide...
mais bombe à retardement si l'on touche à ses chers antiquités, ainsi qu'à sa famille.

Nefret, ne pourrait être autrement, une femme cosmopolite.

Amélia, bah, autant laisser l'imaginaire faire son effet.

Ramsès, vote pour la première version, le deuxième est plus enfantin.

Je remarque comme Maïlys, que Daria est absente, tant mieux, parce que je l'aime pas.
Je l'imagine, un visage d'ange dans un esprit

Et Sethos, diffiçile... Avec ses innombrables déguisements.

Chapitre 10. Le singe qui garde la balance

J’adore tes titres, Maria. Ils sont mystérieux au possible.

Ainsi Virginia-Nefret s’est fait un ami d’un vieil homme sur la plage. Et elle se sent coupable de préférer les Egyptiens aux Hébreux. Quels sentiers capricieux suit la mémoire pour se manifester.

« Dans ce cas, que venez- vous faire ici, avec moi, depuis un an ? Dans ce cas, pourquoi chercher sur la plage une évasion ? Et pourquoi vous accrocher à ces bribes de souvenirs qui vous appellent ailleurs ? »
Le père Gorkis me paraît parler sagement. Apparemment, Nefret veut se couler dans le nouveau moule que l’on a fabriqué pour elle mais sa véritable personnalité ne la laisse pas vraiment faire. Ira-t-elle jusqu’au bout de sa fuite ou regarderat-elle la réalité en face ?

Ce père Gorkis est tout de même un peu mystérieux, non ? Mais peut-être que je veux tout voir mystérieux autour de Virginia-Nefret. J’ai l’impression, je ne sais pourquoi, que cela arrange certaines personnes qu’elle reste amnésique. Mais qui ? Je n’oublie pas qu’elle a hérité d’une véritable fortune. A qui appartient celle-ci si Nefret est déclarée morte ?

En tout cas, je retrouve Nefret dans cette jeune fille décidée à en savoir plus sur elle-même avant de faire des choix définitif. Mais Nefret était à l’abri (de quoi ?) dans son couvent. Elle va se retrouver en pleine lumière et très vulnérable puisqu’elle ne sait pas qui elle est. On pourrait lui faire croire beaucoup de choses fausses. D’un autre côté, si elle réapparaît, les Emerson devraient finir par entendre parler d’elle, non ?

« Elle était enthousiaste, elle était impatiente... l’espace d’un instant, il crut qu’elle était redevenue elle-même. »
Si je comprends bien, le père Gorkis sait parfaitement qui est Virginia. Le fait qu’il ait pris du temps pour l’apprivoiser, qu’il l’ait laissé choisir elle-même sa voie, me plaît bien. Tout de même, j’aimerais bien savoir pourquoi il s’est tu pendant un an. Et pourquoi il emmène Nefret, et pour où ?

Sethos ! Alors j’ai bien raison d’avoir peur pour Nefret. Un Sethos qui s’est apparemment débrouillé pour séparer Nefret des Emerson, il y a deux ans, même s’il a échoué à cause du torpillage du bateau. Cherche-t-il toujours le chemin de l’oasis perdue et de ses trésors ?
Et je tremble à l’idée du "comité de réception" qui attend Nefret à Athènes. Qu’as-tu encore inventé, Maria ?

Chapitre 11. Percy et Violet

« Une conversation avec un homme de la mer ne ressemblait en rien à celle que l’on pouvait entretenir avec une religieuse. »
Comme c’est curieux !

Qui est cette jeune femme blonde qui a reconnu Nefret sur la place du marché ? Et qui l’a perdue de vue tout de suite. Fruit du hasard ou bousculade savamment orchestrée ? Il m’étonnerait que Sethos laisse évoluer Nefret dans Athènes sans la surveiller de près et je pense que la rencontre avec la jeune femme blonde était fortuite.

Encore des personnes qui reconnaissent Nefret : que de rencontres ! Fortuite celle-ci ou non ? C’est que, dans ce genre de récit, tout me paraît sujet à caution. Comme cette rencontre-ci n’a pas l’air d’être interrompue, je dirais que Sethos l’approuve et donc qu’elle est organisée par avance. Et certainement pas avec des gens qui veulent du bien à Nefret. Le fameux "comité de réception", sans doute.

Il faut être bilingue pour te lire, Maria. Moi qui déteste l’anglais, je suis servie.
Percy ? Autant que je me souvienne je n’ai jamais rencontré de Percy dans les livres d’Elizabeth Peters (mais je suis loin de les avoir tous lus). Mais je me sens déjà méfiante envers ce Percy.

« Atyourservicemiss »

Je m’étonne que Virginia suive ainsi ces inconnus, sans même plus penser qu’elle a rendez-vous avec le père Gorkis. Entre l’amnésie et le couvent, elle est vraiment devenue naïve.

Perceval Peabody ! Là je me sens frustrée. Comme je n’ai pas lu tous les romans, je n’en suis pas sûre mais je parierais qu’il n’existe pas de Perceval chez les Peabody. Amelia n’est d’ailleurs quasiment pas en contact avec sa famille. D’ici à ce que Percy soit Sethos en personne, vu son habileté dans le travestissement...
Ceci dit, je me demande s’il est suprêmement habile d’utiliser le nom de Peabody ou si ce nom, juste et aimé, ne risque pas de contribuer à éveiller la mémoire de Nefret. Ce qui, je suppose, ne ferait pas du tout l’affaire de Sethos. Qu’adviendrait-il alors de Nefret ? Et pourquoi l’enlever ainsi ? Attend-il quelque chose d’elle ? Désire-t-il se servir d’elle pour faire pression sur les Emerson ?

« La veille, elle s’était même mariée ! »
Eh là !
Cette Nefret-là va décidément beaucoup trop vite en besogne. A-t-on idée de se mettre pieds et poings liés à la merci du premier venu ! D’autant qu’à l’époque, le mari avait pleins pouvoirs sur sa femme... et ses biens. A mon avis, Nefret s’est fourrée jusqu’au cou dans les ennuis, et elle n’a fini de regretter ce mariage.

« Il n’était ni déçu ni fâché. Au contraire, il souriait en permanence. »
Et elle trouve cela normal ! Percy est beaucoup trop beau pour être vrai.

« Ce nom... ce nom, elle s’en souvenait !!! »
Un pas dans la bonne direction.

Oh là là ! Le récit du naufrage par Percy, quel dégoulinade de lieux communs et de bons sentiments ! Décidemment, Nefret a bien changé si elle apprécie un homme qui parle de cette manière.

« Ce n’est qu’une femme ! »
:hyhrhrt: Et Nefret laisse passer cela ? En tout cas, si le dénommé Percy continue dans ce registre, m’est avis que les relations entre lui et la jeune fille risquent de changer.

Nefret commence à se souvenir et, comme par hasard, Percy n’en est pas ravi. Je n’aime pas beaucoup la présence d’un médecin. J’espère qu’ils ne vont pas plus ou moins droguer Nefret. Et la future conversation ne s’annonce pas réjouissante pour la jeune fille.

Et voilà. Je suis au bout des chapitres que tu as déjà écrits, Maria.
Ton histoire est passionnante et, je me répète, tout à fait dans la veine des aventures d’Amélia Peabody et consorts. Maintenant, il ne me reste plus qu’à patienter, comme tout bon lecteur de roman feuilleton !

Coucou les filles !!!! Et qui c'est qui a bien travaillé cette semaine ?????
:tredfr: :tredfr: :tredfr:
l'article de journal est flou mais j'ai remis le texte en dessous donc ne vous abimez pas les yeux pour rien, surtout !!!


Cath, La lionne, vous avez bien cerné Emerson !
Aha !! le Ramsès du haut plait le plus. A moi aussi :applaudddiiii: !!
Non, je n'ai pas dessiné Daria,
ça va pas, la tête ?!!!!! :hyhrhrt:
j'ai dessiné que ceux que j'aimais bien... bon, j'aime Walter et Evelyn et Lia aussi ... en fait, j'ai dessiné que les principaux héros ( même si dans mon histoire, David est un peu mis de côté, mais il a une scène avec Ramsès dans le chapitre 13 pour vous montrer son rôle important quand même !)

Maïlys a écrit:

Qu’as-tu encore inventé, Maria ?

un tas de trucs !!!!!

Citation :

J’adore tes titres, Maria. Ils sont mystérieux au possible

Merci.Ce sont ceux de la VO !! et je me suis encore lancée un défi super compliqué à réaliser :aaqzaq: : c'est trop dur de les utiliser !!!! je dois me casser la tête comme pas possible pour trouver un élément qui les raccorde avec mes chapitres !!! mais pourquoi je n'ai jamais de bonnes idées, moi ?!!!!

Citation :

Il faut être bilingue pour te lire, Maria. Moi qui déteste l’anglais, je suis servie

c'est pour faire comme Elizabeth !! ( au mieux, vous comprenez Percy et vous vous sentez lecteur tout puissant, au pire, vous êtes comme la pauvre Virginia et vivez le suspense avec elle...) Et normalement, je suis censée écrire en arabe les répliques en arabe mais je ne parle pas cette langue ce qui m'ennuie, j'aurais adoré placer un ou deux mots !!). Faut que j'achète un mini-guide avec des expressions toutes faites, ça fera bien authentique, comme ça !

bon, bah, finalement, tu as bien calculé ton rythme de lecture, Maïlys !! :khkg:

Lavage de cerceau insidieux et très bien calculé, on lui suggère sans trop en dire, et ces médicaments ne sont surement étrangers à ces cauchemards qui l'induisent en erreur sur sa famille. L'étau est habilement reserré autourde Nefret.
L'épisode des retrouvailles est mouvementé et tout à fait adéquat, ça aussi avait été habilement orchestré pour donner un peu plus de poids encore à l'aversion subite et irraisonnée de Nefret sur les Emersons.
C'est machiavéliquement bien joué de la part de ce serpent de Peabody.
Mais les Emersons ne se laisseront pas faire, et je pense que Ramsès, jeune divorcé, ne manquera pas de jouer un rôle dans le prochain chap...

Un très long chapitre, bourré, j’en suis sûre, de péripéties et enrichi d’une coupure de presse et même d’une illustration : le bonheur ! Je m’y plonge tout de suite.

Cinq ans d’amnésie, c’est bien long. Que de choses ont dû changer depuis le départ de Néfret. Tu ne nous as d’ailleurs toujours pas dit si, oui ou non, Ramsès avait épousé Daria. Nefret comprendra-t-elle et pardonnera-t-elle le fait que les Emerson l’ait enterrée, même si c’était une démarche logique ?

Et Peabody est bien le nom de Perceval qui est le neveu d’Amélia. Donc il n’est pas Sethos a priori. J’avais oublié cette histoire d’héritage d’Amélia et le fait que sa famille lui en voulait.

« Gageons que cette nouvelle alliance saura pour le moins les réconcilier. »
Un peu vite dit, à mon avis.

Ah, enfin des nouvelles : Ramsès a visiblement été marié, sans doute à Daria, et vient d’en divorcer. Lui, au moins, est libre. Mais quelle drôle d’idée a eu Nefret d’épouser ce fat de Percy !

Un article "O’Connellien" en diable, qui va rendre furieuse Amélia.

Apparemment, je m’étais trompée dans mes suppositions. Les Peabody frère et sœur n’agissaient pas en accord avec Sethos. Et j’aimerais bien savoir ce que celui-ci mijote. Et pourquoi cette jolie brune qu’il habille avec des vêtements de Nefret. L’intrigue se complique. Ouvrons l’œil...

« Malgré elle, le corps de Nefret refusait cet amour. Il le fuyait. »
Sa mémoire corporelle a l’air plus fidèle que sa mémoire cérébrale. Ainsi, elle est tombée dans les bras de son mari ; et elle rêve de scènes antérieures avec lui. Scènes qui n’ont bien sûr jamais existé. Le docteur Attwood l’hypnotise ou quelque chose de ce genre ?
Cela me fait vraiment mal au cœur de voir Nefret à la merci de ces escrocs et vulnérable.
Et des comprimés en prime ! Quand je disais qu’ils allaient la droguer !
En tout cas, Percy est très habile. Il a l’art de lui dévider un mélange de vérités et de contre vérités qui ne doit pas être facile à démêler pour un esprit troublé. J’ai l’impression qu’elle n’est pas encore sortie de ses griffes, loin de là. D’ailleurs, pour qu’il ait pris le risque de la ramener en Angleterre, c’est qu’il est très sûr de lui. Trop ?
J’espère tout de même que les Emerson, Ramsès en tête, ne vont pas lui laisser les coudées franches.

« Ainsi, il sera directement sur place pour te donner des séances quotidiennes ! C’est tellement important... »
Ben voyons ! :hyhrhrt:

« C’est moi qui t’ai trouvée et j’ai bien l’intention de te garder... »
Et sa fortune avec !

« J’avoue également qu’il me tarde de revoir mon beau cousin... »
Est-ce à dire que Violet éprouve un penchant pour Ramsès ? Eh bien, tu compliques les données à plaisir, Maria.

« Le poids plume que le jeune homme représentait pour la silhouette massive de son adversaire fut aussitôt soulevé de terre et tenu à bout de bras, le dos plaqué contre la vitre du wagon qui se trouvait juste derrière eux... »
Vive le professeur Emerson !
Je déteste de plus en plus ce faux jeton de Perceval et je suis ravie de le voir quelque peu malmené.

J’adore le revirement du constable ! Mais j’ai peur que cela ne soit pas aussi simple.

« Je demande une mesure de protection ! Qu’il n’approche pas de ma famille !
- Qu’il n’approche pas de ma maison ! ajouta Nefret. »
Il a peut-être failli y laisser sa peau, et y a sûrement laissé un peu de sa dignité, mais Percy a superbement manœuvré. Il va désormais être difficile aux Emerson de rencontrer Nefret que le professeur a proprement terrorisée. Ceci dit, Amélia a déjà compris qu’elle est droguée et le professeur a une remarque fort pertinente sur le regard de la jeune femme.

Ils ont perdu une bataille mais pas la guerre ! Vivement le prochain round.

Sethos a revetu une nouvelle identité........ Qu'est ce qu'il mijote ???
Rien de bon ou est'il autre que ce que l'on pense ???

Ramsès, divorcé, une bonne nouvelle, toute une vie auprès de cette cruche
Qui avait raison ????? Nefret bien sur.

Percy un neveu d'Amélia, un neveu décrié par Emerson et sa tante et a qui on déjà refusé une demande.
Nefret est une riche héritière, quant à lui, on ignore si il est pauvre ou riche ???
Violet, serait la digne soeur de Daria.

Des cachets, des séances... Des drogues qui font voir à Nefret le monde selon Percy...
Je trouve que Nefret devient lisse, elle qui fonçer, avant de réfléchir, en rapport avec les pilules qu'on lui donne.

Quelle horreur ! Mais quelle horreur ! C'est horrible !!!!

Bon maria, il va me falloir un peu de temps pour me remettre de mes émotions...
(Autant dire que ton chapitre était bon !)

Nefret devient...horrible.
Percy, n'en parlons pas... Je regrette juste que le professeur ait écouter Amelia !
Violet, tu sais ce que j'en pense.

Beurk beurk beurk...........

Bon, finalement j'aime bien Sethos ! J'aime beaucoup Sethos !
Avec lui au moins, on sait où on met les pieds. C'est un méchant. Voilà !
Enfin, j'espère...
Parce que si Sethos devient gentil, tous mes repères sautent. Je n'ai plus qu'à appeler la maison de repos de toute urgence.


ps : Nefret ne mérite plus Ramsès. Il aurait peut-être mieux fait de rester marié en fin de compte.

Pauvre Nefret !! Elle s'est fait voler sa vie !! Tout ça à cause de ces put*** de médocs que ce ***** de ****** de fils de **** de percy lui donne !!

Percy !!! BERRRRRK !!! DOUBLE BERK!!!

C'est simple deux types d'expressions se sont succédées dans ce chapitre : une expression de fureur mortelle, avec les crocs dehors, les griffes prêtes à sévir, et les yeux électriques... et une expression amusée (surtout le "jusqu'à ce que la mort nous sé... arhagh !")

Donc, le bureau des plaintes est ouvert, et j'ai des choses à dire
Je commence par une chose gentille : Vive le professeur ! ce type est génial !!! Heureusement qu'il est là pour me remonter le moral en ces temps de rigueur budgétaire (je sais, c'est HS, mais que veux-tu, je suis comme ça...)

Ensuite, je vais frapper percy !! Encore, sa soeur la bécasse, je m'en fous un peu, parce qu'elle sait que piailler et dire des bêtises, mais lui!!!!!! un vrai pleutre ! en plus il drogue les filles pour les sau*** ! Encore heureux qu'ils aient pas consommé le mariage, sinon, je crois que je l'aurais tué définitivement !!! (d'ailleurs, si tu veux m'introduire dans ta fic dans le role d'un tueur à gages, je serais ravie de torturer percy jusqu'à ce qu'il me supplie de l'achever... on pourrait même appeler Saint-just, je sais pas pourquoi je pense à lui,mais j'aimerais bien qu'il tombe dessus !!!)

Troisièmement, Nefret me fait de la peine.... elle fait que des conneries à cause de ses pilules... elle se fait berner... et en plus l'autre poubelle ambulante ose dire "j'étais sûr qu'ils avaient changé"... non mais lui quand je vais le croiser à minuit dans une ruelle déserte, il va souffrir !

Dernière chose...; RAMSES !!!!!!!!!!!!! S'il te plaît reviens !!! Tu vois bien que c'est pas possible sans toi !!

Non franchement, il faut qu'il ramène sa tronche bouclée (il se barre au moment où je commence à l'aimer !! quel goujat) et qu'il mette deux gifles à Nefret pour la réveiller....
En plus, il est divorcé, c'est génial !


Enfiiiin.... bon. Moi je parle, je commente, je commente... mais je sais même pas si je suis pas super à côté de la plaque ! Si ça se trouve, j'ai trop rien compris...



Sinon, sache que je ne t'en veux pas trop pour ce chapitre qui m'a mise en colère (oui, parce que moi, contrairement à certaines, je suis clémente et pas despotique!!! hein !), et ce pour deux raisons :

-- le chapitre était bon
-- je sais que c'est une passage transitoire obligatoire...


En tout cas... j'ai besoin du chapitre 13 de toute urgence !

bisous !