Loufiction a écrit:

Merci Lénie J'ai tenté de retenir les leçons d'escrime de ma fille :p
Oui, je pense que Bonaparte va au devant d'une cruelle désillusion :p

Mon Pierrou est aussi escrimeur, j'essaie de retenir quelques petites choses

Lénie : à vrai dire je pense que Bonaparte ne s'y frottera pas disons que c'était surtout pour valider encore plus l'immense confiance qu'ils ont l'un en l'autre.
Il reste deux sujets importants à aborder à mon sens avant qu'ils ne puissent sereinement se marier. C'est ce qu'on appelle à mon bureau une "crucial conversation".
C'est dans ma tête mais pas le temps et ce week-end je vais chez mes parents et je passe chez mon frère.
En aparté : j'ai lu ton dernier chapitre et je sens que les anecdotes de taverne avec André pourraient arriver chez toi aussi :p sacrées muses

Lady Victoire : c'est qu'il la connait vraiment bien le bougre maintenant. J'avais vraiment envie de la remontrer dans une caserne et je n'avais pas envie de la remettre en situation de risque. D'un autre côté l'aspect "femme au foyer qui attend le retour de guerre de l'homme".... ce n'est pas elle, du tout du tout du tout et elle a déjà suffisamment donné dans ce registre.

Confidences sur l'oreiller pour nos 2 tourtereaux, chacun à leur tour, ils évoquent leur passé avec André, leur amitié et l'amour qu'Oscar aura tjrs pour lui. Ils sont francs, direct, ils ne se cachent rien. Y a pas à dire, ils forment un beau couple, leur compréhension mutuelle est parfaite !

Merci cath pour moi cette discussion concernant André était obligatoire il y aurait eu beaucoup trop de non-dits.

Quelle magnifique discussion entre nos deux futurs mariés !
Je trouve également que celle-ci était indispensable afin de tout mettre à plat avant le jour J. Je ne sais pas pourquoi, lors de précédent chapitre, lorsque Oscar refuse de se marier à Jarjayes, je me doutais bien que le souvenir d'André n'était pas étranger à ce refus. Et quelque part, ça semble logique. Jarjayes était leur foyer à tous les deux, c'était peut-être là qu'ils se seraient mariés s'ils l'avaient pu, et c'est donc normal qu'elle ne veuille pas épouser là bas l'autre homme de sa vie.
Le souvenir d'André sera toujours là, mais il faut repartir sur de nouvelles bases, et je pense qu'après cette conversation à coeur ouvert, ce sera possible.
Tous deux se sentent coupables vis à vis d'André, et je pense que c'est une réaction normale, même inévitable dans ce cas là. Oui, si André avait vécu, Oscar n'aurait jamais été amoureuse d'Alain, c'est bizarre quelque fois comme la vie fait les choses.
J'aime beaucoup l'idée de la lettre laissée par André au Général, c'est tout à fait le genre de chose qu'on aurait pu attendre de lui. En tout cas, ce passage était très émouvant, comme tout le chapitre d'ailleurs.
Hâte de lire la suite !

Merci Sabrina Je pense avoir planté toutes les bases d'un couple sain maintenant
Place au mariage, et si j'y arrive, peut-être à de la citronnade
Sauf que la muse embraye à la vitesse de la lumière sur des événements que je prévois plus tard et me laisse face à une page blanche pour ce qu'il y a entre les deux, elle est pénible cette muse!
Ce chapitre est sorti aux forceps.

Je suis d'accord avec Sabrina à bien des égards
Merci pour ce chapitre magnifique

Merci Marina

Un superbe chapitre doux-amer et nécessaire pour qu'Oscar et Alain puissent vivre heureux et apaisés ! Merci Loufiction

Merci Lady-Victoire
C'est vraiment ça, il fallait mettre les choses à plat Pas facile de passer après André.

J'ai lu hier soir sans commenter. C'est un moment important pour Oscar et Alain, on les sent aller encore un peu plus l'un vers l'autre. Forcément, André ne pouvait pas ne pas faire l'objet d'une conversation de fond entre eux. Il fallait parler de lui pour que son souvenir ne se dresse pas entre eux. 
Un très beau chapitre !

Merci Lénie, il me semblait en effet impossible de tourner autour du pot plus longtemps

Merci Lady Victoire J'avais peur d'aller trop loin avec le corsage, j'ai hésité à lui faire remettre l'uniforme, voilà donc le compromis :p
Oui, beaucoup de symboles, le passé et surtout l'avenir

Un mariage tout simple à leur image, beau symbole que la chemise d'Oscar, une façon de réunir le passé avec le présent, la présence du général de Grand-mère et ce rayon de lumière, bénédiction d'André pour alléger l'absence de cet ami/amoureux si cher..... Beau chapitre, Tranches de vie se bonifie à chaque chapitre, j'ai vraiment l'impression d'être spectatrice de leur bonheur !

cath merci infiniment pour ton commentaire, il me fait chaud au cœur d'autant plus que ce chapitre a été très compliqué à écrire.

J'ai déjà écrit/lu le mariage d'Oscar et je voulais éviter les redites.
C'est Alain et je voulais "autre chose".
André devait "apparaitre" d'une façon ou d'une autre.
Le général aussi.

Bref, compliqué ... mais bien moins que celui que je suis en train de faire :p La muse me complique la vie La bonne nouvelle c'est que j'ai un chapitre bien plus tardif de prêt :p

C'est un très beau chapitre ! Avec ce symbole du vêtement qui rappelle l'uniforme (au passage, tu as vraiment un don pour imaginer et décrire les vêtements ), la présence du général qui fait donation d'Arras à Oscar et cette lumière qui provient de la croix de Saint André (c'est le symbole que j'ai préféré !). Et Grand-Mère qui promet à Alain de tâter de sa louche s'il ne rend pas Oscat heureuse mais qui approuve l'union en leur unissant les mains. Une très belle image 
Et Alain qui retrouve l'hôtel particulier de sa famille. Leur arrivée est touchante quand ils découvrent l'abandon de la maison. Et quand Alain dit qu'il n'y a pas de souvenirs précis. Ça tombe bien, il s'en fera de magnifiques avec Oscar avec qui il inaugure une des chambres (la bleue ou la rose ? La bleue à mon avis )
On leur souhaite beaucoup de bonheur 

Merci Lénie
J'ai vraiment eu peur de de faire du too much entre le corsage bleu et la croix de Saint André... soulagée que ça passe finalement ! 
L'une des chambres va être inaugurée c'est certain
j'étais totalement bloquée sur ce genre de scène entre eux et "bimbadaboom" la muse a débarqué avec ses gros sabots hier soir et ne m'a pas lâchée... mais je dois peaufiner car je  n'en suis pas satisfaite.

J'attends avec anxiété vos commentaires sur la nouvelle tranche

Merci beaucoup Lady Victoire Il m'a fallu du temps pour oser franchir ce pas, mais alors au moment où je me suis décidée, la muse a foncé dans la brèche et a tout explosé sur son passage me faisant tout écrire hier soir presque en une fois!
J'avais vraiment envie de marquer la différence pour Alain, du coup j'ai peur d'avoir un peu trop focalisé sur lui :p

Je trouve que c'est plutôt équilibré

Merci

C'est doux et tendre, Alain en mode "première fois", ce n'est pas juste une histoire de coucherie, cette fois, il va faire l'amour avec la femme qu'il aime, il est mignon comme ça. Indécis, la peur accrochée au ventre et Oscar, hésitante elle-aussi pour autre chose, peur de mal faire.... Beau chapitre, ils sont magnifiques tous les deux

Oula, j'ai deux tranches de retard en commentaires, ça ne va pas ça ! ^^

Je commence par la première, celle du mariage, que j'ai vraiment beaucoup aimée. Comme vous l'avez dit, les différents symboles qui jalonnent ce chapitre sont tous très bien trouvés, et très forts en émotion. Mon préféré est celui de la croix de Saint André.  Forcément, il se devait d'être là quelque part quand même. Et j'ai bien ri à l'évocation de Grand Mère et de sa louche ! Malgré son grand âge, elle reste fidèle à ses principes !
L'idée d'avoir fait retrouver à Alain l'hôtel particulier de sa famille est excellente. ça va leur faire un projet commun de tout remettre en état.

Place ensuite à la tranche citronnée que j'ai ma foi bien appréciée vu la chaleur aujourd'hui !
Plus sérieusement, je l'ai trouvée très bien écrite, et parfaitement en adéquation avec le caractère des personnages. J'ai particulièrement apprécié le point de vue d'Alain qui, malgré son expérience des femmes, fait l'amour pour la première fois, au sens figuré du terme. Ce qui passe entre les deux est vraiment très beau, et donne très envie de lire les débuts de leur vie de couple marié ! Bravo !

cath a écrit:

C'est doux et tendre, Alain en mode "première fois", ce n'est pas juste une histoire de coucherie, cette fois, il va faire l'amour avec la femme qu'il aime, il est mignon comme ça. Indécis, la peur accrochée au ventre et Oscar, hésitante elle-aussi pour autre chose, peur de mal faire.... Beau chapitre, ils sont magnifiques tous les deux

Eh oui, finalement pour notre grand gaillard c'est une sorte de première fois, il connait la ... mécanique on va dire :p mais pas le reste.
Et Oscar finalement c'est presque le contraire :p Elle connait le reste mais à peine la mécanique.

Ils se complètent

Merci pour ton commentaire

Sabrina a écrit:

Oula, j'ai deux tranches de retard en commentaires, ça ne va pas ça ! ^^

Je commence par la première, celle du mariage, que j'ai vraiment beaucoup aimée. Comme vous l'avez dit, les différents symboles qui jalonnent ce chapitre sont tous très bien trouvés, et très forts en émotion. Mon préféré est celui de la croix de Saint André.  Forcément, il se devait d'être là quelque part quand même. Et j'ai bien ri à l'évocation de Grand Mère et de sa louche ! Malgré son grand âge, elle reste fidèle à ses principes !
L'idée d'avoir fait retrouver à Alain l'hôtel particulier de sa famille est excellente. ça va leur faire un projet commun de tout remettre en état.

Place ensuite à la tranche citronnée que j'ai ma foi bien appréciée vu la chaleur aujourd'hui !
Plus sérieusement, je l'ai trouvée très bien écrite, et parfaitement en adéquation avec le caractère des personnages. J'ai particulièrement apprécié le point de vue d'Alain qui, malgré son expérience des femmes, fait l'amour pour la première fois, au sens figuré du terme. Ce qui passe entre les deux est vraiment très beau, et donne très envie de lire les débuts de leur vie de couple marié ! Bravo !

Et dire que je trouvais l'histoire du vitrail archi cliché, j'ai bien fait de le garder Je voulais absolument une touche d'André,  voire du "mystique" à la façon de l'arc en ciel quelques tranches plus tôt. J'ai cherché les noms des églises parisiennes, il y a bien une église Saint André ... mais ça aurait été tricher, elle date du 19ème :p
Alors j'ai cherché des images et les histoires de Saint André, jusqu'à tomber sur son histoire de croix, et finalement, à lire tout ça, il a bien mérité son prénom notre André
Grand-Mère sans sa louche ne serait pas Grand-Mère et je pense qu'Alain aurait tout intérêt à prendre la menace au sérieux :p

L'hôtel particulier, c'est une illumination de la muse façon "je te réveille à 2h du matin avec cette idée en tête et tu as plutôt tout intérêt à l'écrire sur un bout de papier parce que c'est une bonne idée et tu l'oublieras demain matin (comment ça on est déjà demain? Mais non mais non, écris!!!!!!).... Et je suis contente que ça fonctionne, ils ne pouvaient pas continuer le squattage chez les Châtelets :p J'avoue que j'ai hésité, je n'ai absolument pas la notion de combien ça pouvait coûter à l'époque, je l'ai plutôt vu comme un bâtiment récupéré par la banque qu'on met aux enchères au plus offrant :p

La citronnade ... bon sang qu'il m'a fallu du temps pour y venir entre ces deux là ... j'aurais pu la placer plus tôt, limite j'aurais voulu, mais non, la muse a placé son véto, jusqu'à hier soir où elle était sous exta et m'a fait écrire tout d'un trait. J'ai relu ce matin, j'ai eu des scrupules car j'avais l'impression de trop évincer Oscar dans cette histoire et d'en faire des caisses avec les pensées d'Alain ... et puis zou, j'ai posté avec quelques minimes modifications/corrections parce que finalement la muse n'a rien cédé :p

Merci pour ton commentaire

Bon, je suis maso donc j'ai lu. Aussi parce que je suis curieuse et fan de tes textes...
N'empêche, il m'a fallu qq heures pour m'en remettre et commenter. Encore une autre preuve que l"émotion qui transparaît a fait mouche dans mon petit coeur sensible...

Qu'elle est savoureuse cette tranche au citron ! Tendre, fondante, pleine d'amour. C'est une sorte de première fois pour chacun d'entre eux. Oscar n'a pas cette évidence qu'elle a eu avec André (en même temps, cela s'est fait dans une sorte de parenthèse où ils quittent un qu'ils ont toujours connu pour aller vers autre chose, ils étaient comme en dehors de tout, loin de la société et de ce qui se fait ou non, là, c'est une nuit de noces qui vient après le mariage, tout est différent) mais elle l'aime et le désire. Alain a eu bien des femmes mais n'a jamais exprimé ses sentiments avec son corps. Il ne s'est jamais vraiment donné à une femme et aucune femme ne s'est jamais vraiment donné à lui. Et puis il y a une partie de lui qui n'en revient toujours pas. Ils sont vraiment beaux et touchants tous les deux à se découvrir l'un l'autre 

liberta a écrit:

Bon, je suis maso donc j'ai lu. Aussi parce que je suis curieuse et fan de tes textes...
N'empêche, il m'a fallu qq heures pour m'en remettre et commenter. Encore une autre preuve que l"émotion qui transparaît a fait mouche dans mon petit coeur sensible...

Loin de moi l'envie de te traumatiser Et j'apprécie vivement l'effort que tu fais pour me lire malgré cette ... uhm allergie? :p
Je suis ravie que ça ait fait mouche Concentre toi sur le A, le reste oublie-le :p
Merci d'avoir commenté

Lénie a écrit:

Qu'elle est savoureuse cette tranche au citron ! Tendre, fondante, pleine d'amour. C'est une sorte de première fois pour chacun d'entre eux. Oscar n'a pas cette évidence qu'elle a eu avec André (en même temps, cela s'est fait dans une sorte de parenthèse où ils quittent un qu'ils ont toujours connu pour aller vers autre chose, ils étaient comme en dehors de tout, loin de la société et de ce qui se fait ou non, là, c'est une nuit de noces qui vient après le mariage, tout est différent) mais elle l'aime et le désire. Alain a eu bien des femmes mais n'a jamais exprimé ses sentiments avec son corps. Il ne s'est jamais vraiment donné à une femme et aucune femme ne s'est jamais vraiment donné à lui. Et puis il y a une partie de lui qui n'en revient toujours pas. Ils sont vraiment beaux et touchants tous les deux à se découvrir l'un l'autre 

Merci Lénie
 
C'est vraiment ça, une première fois, pour Oscar avec un autre, pour Alain, avec des sentiments.
Et je l'ai vraiment vu comme ça, avec André, effectivement c'était hors du temps, une bulle une vraie, aucune question à se poser, c'était l'évidence, la suite logique.
Là, plus âgée, plus marquée par la vie, plus cérébrale peut-être.
Et lui, qui découvre à quel point c'est bien mieux en aimant sincèrement la personne

Et je pensais qu'il était intéressant de mettre une dose de "bon Dieu lui et elle!!!" parce qu'il ne doit pas en revenir à un instant :p

J'ai adoré ces deux chapitre  D'abord le mariage oui tu as bien fais de garder le ''cliché'' du vitrail, en tout cas moi j'ai beaucoup aimé. On sent les émotions, entre alain et oscar, mais aussi entre oscar et son père. 

Quand au citron j'ai beaucoup aimé aussi. Elle qui hésite au début, plus consciente de la réalité, lui qui est plus ébloui, a du mal à réaliser par moment qu'elle ''Oscar de Jarjayes'' est là. D'ailleur j'ai adoré quand il n'en reviens pas d'avoir fais ''jouir Oscar de Jarjayes''. On voit qu'il la mets quelque part sur un pied d'estal.

Tu dis que la muse a décidé de mettre le chap. plus de son point de vu, peut-être parce qu'elle veut t'en faire écrire d'autre du point de vu d'Oscar 

Carton plein pour le vitrail alors

Pour celles que ça intéresserait, voici le fameux vitrail (mais qui n'est absolument pas dans une église parisienne) :




Le citron, non pas sûre de faire le point de vue d'Oscar, il sera plutôt abordé dans le chapitre suivant mais sans citron
La muse a passé plus que la 2nde pour la suite éloignée, mais alors la suite directe, walou, chère auteure débrouille toi pour arriver là où la muse te mène ...

Merci pour le vitrail. Du coup, je vais aller faire qq recherches sur St André

Les muses doivent être sensibles à la chaleur... Ça leur donne des idées pour faire tourner les auteurs en bourrique
De mon côté, je suis en train de botter les fesses de la mienne qui m'a fait un sale coup aussi 

Lénie : il en existe un autre où l'on ne voit que la croix (la fameuse croix de Saint André est en fait un X). Mais le vitrail était bien trop moderne.